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Abdallah Benanteur

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Abdallah Benanteur
Abdallah Benanteur vers 1992.
Biographie
Naissance
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Conjoint
signature d'Abdallah Benanteur
Signature

Abdallah Benanteur, né le à Mostaganem[1] (Algérie) et mort le à Ivry-sur-Seine[2],[3],[1],[4], est un peintre et graveur algérien.

Installé en France en 1953, il est l'un des représentants de la peinture algérienne moderne. Il est l'époux de la poétesse Monique Boucher-Benanteur (1935-2014).

Abdallah Benanteur commence à peindre en 1943, des fleurs puis des natures mortes, les paysages de la région ainsi que des portraits et des autoportraits[5]. À partir de 1946, il fréquente les ateliers de sculpture, pendant deux ans, puis de peinture, pendant quatre ans, de l'école des beaux-arts d'Oran, dans l'atelier de Robert Martin[6] qui dirige parallèlement la galerie d'avant-garde Colline. Benanteur y rencontre le peintre Abdelkader Guermaz : « Il était miraculeux de voir un Algérien faire de la peinture et l'exposer. Peut-être que sans lui nous n'aurions pas fait de peinture, il nous montrait que c'était possible », confiera-t-il[7].

Vers 1946, Abdallah Benanteur et Mohammed Khadda se lient d'amitié et vont ensemble peindre dans les environs de Mostaganem. « Nous allions, en fin de semaine, Abdallah et moi, à la recherche du sujet : quelque rare verdure. Nos randonnées nous menaient le plus souvent au pied du Dahra », écrira Khadda : « Nos relations ont été déterminantes dans l'orientation de nos futurs itinéraires. Nous nous soutenions l'un l'autre et les découragements étaient nombreux dans cette petite ville fermée sur elle-même »[8]. En 1948, les deux jeunes peintres vont jusqu'à Alger rendre visite à un ami au sanatorium de Rivet (Meftah) et découvrir le musée des beaux-arts[9].

En 1953, Benanteur s'embarque avec Khadda[1] d'Oran pour Marseille, s'installe à Paris[10], puis à Ivry-sur-Seine. Il fréquente en 1954 et 1955 les cours du soir de l'académie de la Grande Chaumière[6].

« Quitter ce que j'avais de plus cher, c'était pour faire ce qui me touche le plus, la peinture […] Mohammed Dib avait publié L'Incendie. Je me suis dit : Il n'y a pas de raisons que je n'aille pas moi aussi, à Paris faire de la peinture […] Il y avait une certaine inconscience. Avant de faire de la peinture, il fallait vivre et vivre a été pénible. Puisque je me sentais peintre et que je n'avais aucune formation, il a fallu prendre ce qu'il y avait de plus dur, de plus rebutant. Ceci ne me touchait pas puisque j'avais un idéal, mais ça été très dur physiquement[11]. »

Il exerce différents métiers, manœuvre, ouvrier, puis devient en 1961 typographe-maquettiste dans l'imprimerie de son cousin Benbernou Abdelmadjid jusqu'à sa retraite en 1991[6]. Après avoir participé à plusieurs expositions collectives à partir de 1956, notamment à la galerie Duncan, il réalise sa première exposition personnelle à Paris en 1958. Il se lie d'amitié, la même année, avec le poète Jean Sénac, l'écrivain Henri Kréa, Jean Rousselot, le cinéaste Youri, Jean de Maisonseul, puis le peintre Marcel Bouqueton, le graveur Marcel Fiorini et le romancier Jean Pélégri. En 1955, Benanteur séjourne pour la première fois en Bretagne où il passe ensuite toutes ses vacances jusqu'en 1980[5]. Il se marie en avec Monique Boucher.

À partir de 1959, Benanteur pratique la gravure, illustrant de dix eaux-fortes Poésie de Jean Sénac, imprimée chez BAM (Benbernou Abdel Madjid)[6]. « Nous nous demandions avec Jean Sénac ce que nous pourrions faire pour servir notre pays. Sénac avait ses poèmes : j'ai eu envie de les illustrer. L'édition d'art m'avait toujours intéressé mais j'étais rebuté par les problèmes financiers. Alors, nous nous sommes dits : avec peu de moyens, ceux dont nous disposons, nous allons donner à l'Algérie une édition digne d'elle »[12]. Il réalise en 1961 quinze dessins pour Matinale de mon peuple de Jean Sénac, avec une préface de Mostefa Lacheraf[13]. Librement inspirés de la graphie arabe, ces dessins le placent aux côtés de Mohammed Khadda comme l'un des premiers peintres du signe, orientation dont son œuvre se détourne cependant rapidement. En 1961, il s'installe à Ivry-sur-Seine[5].

Dans les années suivantes, Benanteur illustre encore Espoir et parole, anthologie de la poésie algérienne de combat, et trois recueils d'Henri Kréa. En 1962, il présente à la Bibliothèque nationale d'Alger le recueil Poésie de Sénac qu'il a illustré de ses gravures. Il lui est alors proposé la direction de l'École des beaux-arts d'Alger mais, s'estimant incapable d'être peintre et fonctionnaire, il ne l'accepte pas. En 1963, Benanteur participe à l'exposition des « Peintres algériens » organisée à Alger pour les Fêtes du 1er novembre et préfacée par Sénac[n 1], puis en 1964 à celle qui est présentée à Paris au musée des Arts décoratifs. De 1960 à 1963, il est soutenu par Paul Gillon. En 1966, il participe à Paris à l'exposition Six peintres du Maghreb et l'accompagne en 1967 à Tunis.

Abdallah Benanteur et Monique Boucher-Benanteur à Ivry-sur-Seine en 1990.
Le poète Malek Alloula, Abdallah Benanteur et le peintre Mohamed Aksouh en 1993.

En 1965, Benanteur fonde la collection « Charef », du prénom de son frère disparu durant la guerre d'Algérie[13], qui en une quarantaine d'années compte 1 500 ouvrages. Benanteur en choisit les textes parmi les anciens poètes mystiques arabes et persans — Mansur al-Hallaj, Omar Khayyam, Djalâl ad-Dîn Rûmî, Djami, Nizami, Farid al-Din Attar ou Saadi —, qu'il a lus dès son adolescence, les écrivains contemporains nés en Algérie — Djamel Amrani, Mourad Bourboune, Henri Kréa, Jean Pélégri, Jules Roy ou Jean Sénac —, les écrivains européens — Friedrich Hölderlin, Emily Dickinson, Arthur Rimbaud, Oscar Vladislas de Lubicz-Milosz, Marguerite Yourcenar ou Dylan Thomas — et les poèmes de sa femme, Monique Boucher, également artiste peintre. Benanteur conçoit la typographie de ses livres, exécute lui-même la composition et l'impression à un nombre limité d'exemplaires, qu'il enrichit d'épreuves d'essai de ses gravures, de dessins et de gouaches. Une rétrospectives de ses œuvres graphiques est présentée au musée d'Art moderne de la ville de Paris en 1970. Il achète la même année à Ivry-sur-Seine, non loin de son domicile, une ancienne boulangerie qu'il transforme en atelier.

Benanteur est professeur à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris (section Livre) puis à l'École nationale supérieure des arts décoratifs de 1971 à 1974. Il est nommé membre du comité de la Jeune gravure contemporaine, du comité national du livre illustré français, de la BnF et de la bibliothèque de l'Arsenal.

En 1980, Benanteur visite les musées de Madrid et de Tolède et effectue en 1981 un premier voyage en Italie où il revient chaque été jusqu'en 1987[5]. Il se consacre entièrement à la peinture à partir de 1983, exposant chaque année son travail à la galerie Claude Lemand[14] et réalise de très nombreux livres à exemplaire unique, illustrés de gravures, gouaches ou aquarelles. Sous le titre Abdallah Benanteur, le peintre des poètes, l'Institut du monde arabe expose en février et ses peintures et œuvres sur papier.

Il meurt le [3] à l'hôpital Charles-Foix à Ivry-sur-Seine[1],[4].

Il est le père du photographe Dahmane (de), né en 1959.

« J’ai été très jeune attiré par le dessin. Ma chance a peut-être été toute une suite de longues maladies infantiles qui m’ont retenu à la maison. À onze ans, je dessinais beaucoup, des fleurs, des natures mortes avec des citrons, plus tard des portraits. J’en suis arrivé à la peinture. J’ai copié des reproductions en noir et blanc de Rembrandt. J’ai aimé les classiques du XIXe siècle, notamment Monticelli de qui il y avait plusieurs toiles au musée d’Oran. Après, j’ai découvert Matisse, Paul Klee, éblouis par cet Orient coloré qu’ils avaient peint et que je ne connaissais pas. Mais aussi Franz Marc et l’expressionnisme allemand », a confié Benanteur[15].

Lorsqu'il s’installe en 1953 à Paris, c’est tout naturellement qu’il entre, formé dans la vision abstraite des signes qui parsèment les poteries, les tapis et les coffres de son enfance, dans le chemin de la non-figuration.

« L'art, dans nos pays, a eu généralement tout au long de l'histoire une expression abstraite […] Le langage des lignes, des formes et des couleurs s'adapte naturellement au sens intuitif des Algériens. Un Maghrébin, quel qu'il soit, voit abstrait », non sans préciser : « le rôle du peintre algérien est de s'intégrer dans la peinture tout court; le seul problème, pour nous, c'est d'être des peintres valables, d'Algérie ou d'ailleurs[16]. »

Entre gris et ocres éteints, bleus et verts assourdis, une lumière souvent lunaire éclaire alors ses toiles. Benanteur y desserre bientôt l’entrelacs de ses arabesques, Les lignes des ancêtres (1957) font paraître comme les fragments d’écritures disparues[17]. À travers un mince réseau de nervures et craquelures, leurs signes se ramifient puis s’enchevêtrent. Les tonalités aurorales virent aux bruns sourds des écorces, aux ocres des sables et des roches désertiques (Sur les bords du Nil, 1958 ; Hoggar, 1959).

« Le monochrome l’a emporté dans ma peinture », confiera Benanteur, « pendant cinq ans, c’est l’ocre qui a régné, avec ses dégradés, miel et sable »[15]. À partir de 1960, les larges touches de la couleur s’épaississent sur ses toiles, recouvrent la fine grille qui les articulait. Puis sa peinture semble, autour de 1962, s’installer au bord de terres obscures que n'éclairent plus que de lointaines marbrures. « Moi qui suis né dans ce pays, je ne vois pas l'Orient, le Maghreb tellement colorés. Finalement c'est une vision de l'Occident […] Ma peinture n'est pas colorée parce qu'on attache, le Maghrébin du moins, plus d'importance à l'espace […] Il est plus sensible, et c'est là qu'il est marqué, à ce qu'il y a de discret, de plus effacé : ce que les Européens ont tendance à taxer de monotonie »[12]. Après cette « période noire », c'est comme depuis l'autre côté de l'ombre que la lumière réapparaît, en 1970, par degrés, irréelle, dans les halos de mystérieux Pots ou flacons l'irradiant au milieu de l'ombre[13]. De leur clarté interne resurgissent les couleurs, intenses à nouveau. Quatre ans plus tard, après une visite à sa mère en Algérie, le cortège des Errantes, qui figurent dans la collection de l'Institut du monde arabe, annonce la longue suite des Visiteuses. Dans un espace de nulle part cheminent de toile en toiles de pâles présences indécises, sur le point de prendre forme au bord de leur disparition[13].

L'atelier de Benanteur à Ivry-sur-Seine vers 1990.

La peinture de Benanteur ne cesse par la suite de s’ajourer, s’imprègne après 1976 de toutes les tonalités de l’aube et du couchant. Dans ses coulées d'ambre parmi des massifs de bleus profonds, un polyptyque de cinq mètres de longueur reconduit en 1981 le peintre dans les gammes les plus solaires. Une sorte d' « ultra-lumière », comme en fusion, décolore de son incandescence le centre ou la partie supérieure de ses toiles. Dans les diptyques et polyptyques qu'il multiplie alors Benanteur retrouve les rives d'une Méditerranée dont l'au-delà du souvenir avive les éclats (Paysage à Médéa, 1984 ; Pâturages de lumière, 1985 ; Retour à Tipaza, 1986 ; Le Printemps au village, 1988)[17]. « J'ai toujours le sentiment de n'avoir jamais quitté mon pays parce qu'il m'accompagne partout », dit Benanteur[18]. Aériennes, plus claires ou plus obscures selon l’élément devant lequel elles glissent, de minuscules silhouettes les demeurent, solitaires ou réunies en groupes, que le peintre nomme au gré de son humeur (Les Élus, 1987 ; Les Contemplatifs, 1988 ; Les Faiseurs de nuages, Les Pythonisses, 1989 ; La Poétesse, Les Couples, 1990). Tout à la fois visions oniriques de l'univers des ancêtres, résurgence des marchés et fêtes de l'enfance, dialogue avec les œuvres classiques de la peinture italienne ou flamande, cette foule anonyme donne à l'espace une dimension d'immensité, un climat de Sérénité (1989).

À partir de 1991, Benanteur s’engage dans une série de plus larges « voyages » imaginaires (Promenade en Perse, En Orient, En Inde, Au Pakistan, En Algérie, Djurdjura, Au Cachemire). De toile en toile s'étend un « Haut-Pays » resserré de gorges et défilés, cols et falaises, éboulis, clairières et bosquets. Les horizons s’y étagent en lointains massifs, la couleur semblant sourdre des porosités de la roche, des écailles du sol, des failles des montagnes[13]. Dans des lumières plus voilées ces paysages non figuratifs laissent place, sur la fin des années 1990, à une présence plus diffuse des éléments. Jamais Benanteur n'y représente la nature dans la réalité de ses spectacles mais, en réfractant l'élan pur de couleurs et de lumières, jamais sa peinture ne la quitte d'un instant.

« Chaque matin, quand j’ouvre la porte de mon atelier, j’entends l’art se dire : "Voici le toqué qui vient chez moi". J’adresse ma reconnaissance à l’art mais je ne l’ai jamais entendu me remercier. Je voudrais m’effacer dans l’art. Être peintre, c’est être le « larbin » de l’art, et peu de gens l’acceptent. Ça me chagrine d’être un enfant de notre époque car elle est artistiquement la plus mauvaise et la plus complaisante. Tout en étant petit artistiquement, on a la possibilité d’être consacré grand médiatiquement. Ce sont les médias qui créent, diffusent et consacrent les célébrités. Finalement, ce que l’on sait sur la personne n’existe pas, la personne du peintre est un obstacle entre lui et la peinture. C’est en nous effaçant en elle que nous la ferons exister. Dans les musées, devant la glorieuse production du passé, je ne me sens pas un seul instant peintre. Devant les glorifications de la modernité, par contre, je me sens à nouveau peintre. Chaque fois que je regarde les œuvres du passé, ma foi dans l’art en tant que valeur sûre et absolue augmente. »

— « Entretien avec Benanteur, propos recueillis par O. Hadjari »[19]

Musées et collections publiques

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Souffle mouillé
Les Visiteuses n° 18, 1975, huile sur toile, 130 x 262 cm
Les Visiteuses n° 20, 1976, huile sur toile, 130 x 262 cm
Les Échos, 1978, diptyque, huile sur toile, 146 x 228 cm
Le Défilé des Montagnes, 1980, huile sur toile, 150 x 150 cm
Le Bois d’Amour, 1981, huile sur toile, 130 x 97 cm.
Le Huitième jour, Vendredi, 1982, huile sur toile, 120 x 60 cm[20]
Le Huitième jour, Samedi, 1982, huile sur toile, 120 x 60 cm[20]
Le Mont des Oliviers, 1983, huile sur toile, 120 x 120 cm
Pâturage de lumière, 1985, triptyque, huile sur toile, 81 x 180 cm
Le Départ de Halouma, 1986, huile sur toile, 100 x 100 cm[21]
Les Élus, 1986, huile sur toile, polyptyque, 150 x 350 cm[22]
L’Élu, 1987, huile sur toile, triptyque, 150 x 350 cm[23]
Les Elus du soir, 1987, huile sur toile, triptyque, 150 x 350 cm[24]
L’Été à Ivry, 1988, diptyque, huile sur toile, 130 x 324 cm[25]
Les Contemplatifs, 1988, huile sur toile, 150 x 150 cm[26]
Le Détour, 1989, huile sur toile, 162 x 130 cm
Soufi dans son jardin, 1989, huile sur toile, 162 x 130 cm
La Montagne, 1989, huile sur toile, 162 x 130 cm[27]
Le Courroux, 1989, huile sur toile, 195 x 130 cm
Les Saisons. Eté, 1990, diptyque, huile sur toile, 50 x 300 cm
Les Saisons. Hiver, 1990, diptyque, huile sur toile, 50 x 300 cm
L’Arrivée, 1990, huile sur toile, 80 x 80 cm
Poètes et lointain, 1990, huile sur toile, 80 x 80 cm
Promenade en Perse, 1991, huile sur toile, 80 x 80 cm
L'Indifférente, 1991, huile sur toile, 80 x 80 cm
La Pente, 1991, huile sur toile, 80 x 80 cm[28]
Promenades, 1991, polyptyque, huile sur toile, 150 x 300 cm
Méditerranéens, 1992, huile sur toile, 130 x 162 cm[29]
Le Lointain, 1992, huile sur toile, tondo, 150 cm[30]
Le Témoin, 1992, huile sur toile, diamètre 130 cm[31]
Au Cachemire, 1992, huile sur toile, tondo 130 cm[32]
Syracuse, 1992, huile sur toile, tondo 120 cm[33]
Le Pays, 1992, huile sur toile, diamètre 120 cm
La Montée, 1992, huile sur toile, 100 x 81 cm[34]
Les Ascensionnistes, 1992, huile sur toile, 100 x 81 cm
Andalousie, 1992, huile sur toile, 150 x 150 cm[35]
A Ouessant, 1992, diptyque, huile sur toile, 150 x 300 cm
Soleil couchant, 1994, huile sur toile, 114 x 146 cm[36]
Les Ruraux, 1994, huile sur toile, 114 x 146 cm
Les Apparitions, 1994, triptyque, huile sur toile, 130 x 291 cm
Le Pays, 1997, huile sur toile, 140 x 140 cm
L’Aube, 1997, huile sur toile, 140 x 140 cm
Les Nostalgiques n°1, 1999, diptyque, huile sur toile, 200 x 240 cm
Mélancolie, 2001, huile sur toile, 60 x 60 cm
L'Aube, 2001, huile sur toile, 60 x 60 cm
Les Larmoyants, 2002, huile sur toile, 120 x 120 cm
Le Ravage, 2002, huile sur toile, 120 x 120 cm
Les Naufragés, 2003, huile sur toile, 120 x 120 cm
Les Croisés, 2003, huile sur toile, 120 x 120 cm
Le Naufrage, 2009, diptyque, huile sur toile, 150 x 300 cm
La Caravane du soir, 2010, diptyque, huile sur toile, 100 x 200 cm
Chargé de sable, 2011, huile sur toile, 150 x 150 cm

II. DESSINS : - 10 Dessins. Encre de Chine sur papier Japon, 1971. Environ 40 x 30 cm. - 15 Dessins. Encre de Chine et lavis sur carton, 1979. Environ 40 x 30 cm. - 10 Dessins. Encre de Chine sur papier, années 2000. Environ 40 x 30 cm.

III. AQUARELLES et GOUACHES : - 10 Aquarelles sur papier, 1971. Environ 40 x 30 cm. - 10 Gouaches sur papier, 1971. Environ 40 x 30 cm. - 10 Gouaches sur papier journal sur carton, 1973-75. Environ 25 x 20 cm. - 10 Aquarelles sur papier, 1982. Environ 30 x 50 cm. - 10 Aquarelles sur papier, 1982. Environ 40 x 30 cm. - 3 Projets de tapisserie, 1983. Gouache sur papier, 20 x 60 cm. - 7 Projets de tapisserie, 1983. Gouache sur papier, 10 x 30 cm. - 10 Aquarelles sur papier, années 1990. Environ 20 x 30 cm. - 10 Aquarelles sur papier, années 1990. Environ 30 x 40 cm. - 10 Aquarelles sur papier, années 2000. Environ 40 x 30 cm. - 10 Aquarelles sur papier, années 2000. Environ 20 x 40 cm. - 1 Portrait de l’Oiseau-Qui-N’Existe-Pas, 2005. Aquarelle sur papier 65 x 50 cm. - 5 Portrait de l’Oiseau…, 2005. Technique mixte sur papier, 28 x 28 cm.

IV. GRAVURES : - 10 Gravures sur ardoise, sur plomb ou lino, années 1960. - 25 Gravures sur cuivre ou zinc, années 1970. - 30 Gravures sur zinc, années 1980. - 4 Gravures sur cuivre, 1992.

V. LIVRES en EDITION : Poèmes typographiés et illustrés de gravures : - Anonyme, Prière des Indiens, 1965-66. Livre en feuilles. - Ibrahim Misri, Je meurs, 1966. Livre en feuilles, 15,3 x 19,5 cm. - Monique Boucher, Arabia, 1967. Livre en feuilles, 70 pages. - Jules Rory, Mes lois de l’écriture, 1971. Livre en feuilles, 40 pages. - Monique Boucher, L’Air pauvre, 1971. Livre en feuilles, 20 gravures, 40 x 30 cm. - Issa, Le Voleur de fleurs, 1974. Livre en feuilles, 72 pages, 16,2 x 17 cm. - Monique Boucher, Exquis Hiroshige, 1972. Livre en feuilles, 10 gravures, 44 pages, 65 x 22,5 cm. - Youri, La pêche aux évidences, 1972. Livre en feuilles, 48 pages. - Omar Khayyam, Dix robaïs, 1974. Livre en feuilles. - Monique Boucher, Le Demi-jour, 1974. Livre en feuilles, 44 pages. - Al-Hallaj, Qasaid, 1975. Livre en feuilles. - Kamal Ibrahim, Vivre en cas de terre, 1975. Livre en feuilles, 25 x 21 cm. - Jalal al-Din Roumi, Huit quatrains, 1975. Livre en feuilles. - Monique Boucher, Ce matin très tard, 1977. Livre en feuilles. - Monique Boucher, Une grande fleur fatiguée, 1977. Livre en feuilles. - Bahar, Mes colombes, 1977. Livre en feuilles. - Milosz, Une rose pour, 1977. Livre en feuilles. - Yourcenar, Le dernier amour du prince Genghi, 1988. Livre en feuilles, 28 x 38 cm. - Yourcenar, Le dernier amour … Plaques des gravures et matrices des empreintes. - Arnould Gréban, Le Mystère de la Passion, 1994. Livre en feuilles, 28 x 38 cm.

VI. LIVRES UNIQUES : Poèmes avec empreintes, dessins et aquarelles : - Emily Dickinson, Poèmes, 1961-64. Premier essai d’édition de l’artiste. - Claude Aveline, Monologue pour un disparu, 1998, 25 x 35 cm. - Ossip Mandelstam, Poèmes, 1999, 31 x 43 cm. - Al-Hallaj, Diwan, 1999, 31 x 43 cm. Manuscrit en Français. - Rachid Boudjedra, La Pluie, 1998, 25 x 32,5 cm. - Georges Schéhadé, Les Poésies, 1999, 31 x 43 cm. - Francesco de Lemene, Poèmes, 1999, 310 x 430 mm. - Malek Alloula, L’Accès au corps, 1999, 325 x 250 mm. - Monique Boucher, Les Laudes, 1999, 250 x 325 mm. - Joachim Du Bellay, Poésies, 1999, 250 x 325 mm. - Hâfez Shirâzi, Divân 2, 1999, 167 x 327 mm. Bilingue. - Issa, Haiku 2, 1999, 106 x 300 mm. - Collectif, Paroles du Japon 1, 1999, 250 x 360 mm. - Jean Robertet, Bon rondeau, 1999, 250 x 325 mm. - Stéphane Mallarmé, Poésie, 1999, 250 x 325 mm. - Emily Dickinson, Quatrains 3, 2000. Bilingue, 325 x 250 mm. - Khalil Gibran, Poème, 2000, 250 x 325 mm. - Maurice Scève, Poésies, 2000, 250 x 325 mm. - Joachim Du Bellay, Poèmes, 2001, 250 x 325 mm. - Poètes de Chine, La Montagne vide 1, 2001, 16,3 x 25,3 cm. - Chine, La Montagne vide 5, 2001, 163 x 253 mm. - Japon, Les Montagnes, les rizières et la mer 3, 2001, 126 x 327 mm. - Badr Shâker Al-Sayyâb, A Djamila Bouhired, 2001, 32,5 x 42 cm. Poème manuscrit en arabe par l'artiste sur empreinte originale et orné de 27 aquarelles et 4 croquis. - Badr Shâker Al-Sayyâb, Complainte de Jaykour, …, 2001, 16,7 x 32,5 cm. En Arabe. - Badr Shâker Al-Sayyâb, Le Christ après la crucifixion, 2001. Livre en feuilles, 88 pages, 32,5 x 32,5 cm. - Badr Shâker Al-Sayyâb, Testament d’un agonisant, 2001, 18 x 25 cm. En Arabe. - Badr Shâker Al-Sayyâb, Le Chantre a vieilli, 2001, 25 x 32,5 cm. En Arabe. - Badr Shâker Al-Sayyâb, Un Poème de Daram, 2001, 25 x 325 cm. En Arabe. - Mahmoud Darwish, Rita et le Fusil, 2001, 124 pages, 25,2 x 28,5 cm. En Arabe. - Louis Massignon, Akhbâr Al-Hallâj, 2002, manuscrit, 25 x 32,5 cm. En Arabe. - Li Bai, Florilège 1, 2001, 125 x 325 mm. - Ryokan, Haiku, 2002, 163 x 500 mm. - Christine de Pisan, Poèmes, 2003, 250 x 325 mm. - Charles d’Orléans, Poèmes, 2003, 250 x 325 mm. - Guillaume Apollinaire, La Chanson du mal-aimé, 2003, 32,5 x 50 cm. - Henri Michaux, Poèmes, 2003, 325 x 500 mm. - Issa, Haikus, 2003, 135 x 500 mm. - Japon, Haikus, 2003, 135 x 500 mm. - Japon, Haikus, 2003, 135 x 500 mm. - Yosa Buson, Printemps, 2003, 140 x 500 mm. - Adam Mickiewicz, Poèmes, 2003, 250 x 270 mm. - Neruda, Hauteurs du Macchu Picchu, 2004, 325 x 500 mm. - Federico Garcia Lorca, Poésies, 2004, 315 x 500 mm - Aveline, Portrait de l’Oiseau-Qui-N'Exoste-Pas, 2004. Livre en feuilles, 40 pages, empreintes, 10 aquarelles, 20 x 50 cm. - Aveline, Portrait de l’Oiseau-…, 2004. Livre en feuilles, 20 aquarelles et 41 croquis, 20 x 25 cm.

74 gravures et 50 livres de bibliophilie[37]
Bédouine, eau-forte, 40,2 x 32,7 cm
Selon Charef n° 2, 1960, huile sur toile, 200 x 200 cm
Trois flammes (Au peuple souverain), 1988, estampe, 79 x 57,5 cm Fait partie d'une suite de 13 estampes originales en couleur éditées par le conseil général du Val-de-Marne à l'occasion du bicentenaire de la Révolution française pour le Fonds départemental d'art contemporain.
Rose, 2002, encre sur papier
L'Espagnole, 1972, huile sur toile, 116 x 81 cm
La Fugue, 1975, diptyque, huile sur toile, 130 x 324 cm
Rentrée des foins, 1991, huile sur toile, 120 x 120 cm
Sources du Nil, 1997, huile sur toile, 120 x 120 cm
Nuit à Baghdad, 2003, huile sur toile, 120 x 120 cm

Principales expositions personnelles

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  • 1957 : Benanteur, peintures, galerie Cimaise, Paris.
  • 1958 : Benanteur, peintures et aquarelles, Club des Quatre-Vents, Paris.
  • 1959 : Benanteur, peintures, Worpswede Kunstalle (Allemagne). Exposition itinérante, Stuttgart, Hambourg, Copenhague.
  • 1960 : Benanteur, aquarelles, Philadelphie.
  • 1960 : Benanteur, aquarelles, Hambourg.
  • 1960 : Benanteur, peintures et aquarelles, Lausanne.
  • 1961 : Matinales de mon peuple, poèmes de Jean Sénac, dessins de Benanteur, librairie-galerie Le Fanal (Paul Moatti), Paris.
  • 1962 : Diwân du môle, poèmes de Jean Sénac, gravures de Benanteur, librairie Dominique, Paris ; Bibliothèque nationale, Alger.
  • 1963 : Espoir et parole, anthologie poétique par Denise Barrat, dessins de Benanteur, Imprimerie de Beaune, Paris.
  • 1964 : Benanteur, peintures, aquarelles et gravures, galerie Herbinet, Paris.
  • 1965 : Six poèmes d'Emily Dickinson, gravures de Benanteur, librairie-galerie Le Fanal, Paris.
  • 1967 : Benanteur, peintures, Association France-Algérie, Paris.
  • 1967 : Benanteur, aquarelles, galerie Bernier, Paris.
  • 1970 : Benanteur, peintures, aquarelles et livres, Centre Jean Dolent, Paris.
  • 1970 : Benanteur, œuvres graphiques, A.R.C., musée d'Art moderne de la ville de Paris.
  • 1971 : L'Air pauvre, poèmes de Monique Boucher, gravures de Benanteur, librairie Les Aliscans, Paris.
  • 1972 : Œuvres graphiques; La Pêche aux évidences, poèmes de Youri, gravures de Benanteur, Art-Investigation, Paris.
  • 1977 : Benanteur, peintures et œuvres graphiques, palais des Arts et de la Culture, Brest.
  • 1979 : Benanteur, gravures, galerie Bernier, Paris.
  • 1980 : 32 ouvrages composés, illustrés et imprimés par Benanteur, librairie Nicaise, Paris.
  • 1982 : Benanteur, Les illuminations de Al-Hallaj, polyptyque, Lyon.
  • 1984 : Benanteur, 72 livres de bibliophilie, librairie Nicaise, Paris.
  • 1986 : Benanteur, peintures récentes, galerie Protée, Paris.
  • 1987 : Benanteur, peintures, Centre culturel algérien, Paris.
  • 1987 : Benanteur, peintures, aquarelles, dessins, gouaches, livres de bibliophilie, Palais des congrès, Bruxelles.
  • 1988 : Benanteur, peintures et lavis, galerie Étienne Dinet, Paris.
  • 1988 : Exquis Hiroshige, poèmes de Monique Boucher, gravures de Benanteur, librairie Nicaise, Paris.
  • 1989 : Benanteur, Pâturages de lumière, peintures ; Le Dernier Amour du Prince Genghi de Marguerite Yourcenar, gravures de Benanteur, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 1989 : Benanteur, gravures, galerie ISMA, Alger. Donation de l'artiste au profit d'une association algérienne pour enfants ...
  • 1990-1991-1992 : Benanteur, peintures récentes, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 1993 : Benanteur, œuvres sur papier, musée national des beaux-arts, Alger. Donation de l'artiste au profit d'une association algérienne pour enfants ...
  • 1993 : Benanteur, peintures récentes, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 1994 : Benanteur, peintures des années 80, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 1994 : Benanteur, peintures récentes, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 1995 : Benanteur, Lumière et mémoire, Peintures de 1991 à 1995, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 1996 : Benanteur, Le triomphe de la Peinture, grands formats, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 1997 : Benanteur, peintures et aquarelles récentes, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 1998 : Benanteur, Pays-Paysages, Peintures récentes, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 1998 : Benanteur, aquarelles, 1958-1996, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 1999-2000-2001 : Benanteur, peintures récentes, galerie Claude Lemand, Paris..
  • 2002 : Benanteur, peintures et signature du volume 1 de la monographie, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 2003 : Benanteur, peintures, 1960-2003, Art Paris, Carrousel du Louvre, stand de la galerie Claude Lemand, Paris.
  • 2003 : Abdallah Benanteur, le peintre des poètes, rétrospective, Institut du monde arabe, Paris.
  • 2003 : Benanteur, Paysages de la Colère, peintures récentes, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 2003 : Benanteur, Paysages de la Nostalgie, peintures anciennes, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 2004 : Benanteur, peintures récentes et portfolios, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 2005 : Benanteur, œuvres graphiques et signature du volume 2 de la monographie, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 2006 : Benanteur, peintures récentes, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 2007 : Benanteur, artiste du Livre, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 2008 : Benanteur, peintures récentes, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 2008 : Benanteur, peintures, Art Paris, galerie Protée, Paris.
  • 2010 : Benanteur, peintures des années 80, Espace Claude Lemand, Paris.
  • 2010 : Benanteur, peintures, 1995-2010, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 2011 : Benanteur, peintures récentes, 2001-2011, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 2012 : Benanteur, Un itinéraire, peintures, 1959-2011, grands formats, Espace Claude Lemand, Paris.
  • 2012 : Benanteur, Un itinéraire, peintures, 1957-2011, formats moyens et petits, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 2013 : Benanteur, Paysages au-delà du Paysage, peintures des années 1990, Espace Claude Lemand, Paris.
  • 2013 : Benanteur, Du Désert au Jardin, peintures de 1959 à 1989, Espace Claude Lemand, Paris.
  • 2013 : Benanteur, Paysages au-delà du Paysage, peintures de 1959 à 1999, Espace Claude Lemand, Paris.
  • 2014 : Benanteur, Le Chant de la Terre, peintures, 1982-1992, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 2015 : Benanteur, Art Dubai Modern 2015, stand de la galerie Claude Lemand, Paris.
  • 2015 : Benanteur, peintures, 1959-2011', Espace Claude Lemand, Paris.
  • 2016 : Benanteur, Une Passion à partager, peintures, 1955-2011, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 2017 : Benanteur, Le Testament, peintures ultimes, 2003-2011, galerie Claude Lemand, Paris.
  • 2018 : Abdallah BENANTEUR, Le Chant de la Terre, Peintures et oeuvres graphiques, Rétrospective-Hommage, Musée de l'Hospice Saint-Roch, Issoudun.
  • 2019 : Benanteur. Une oeuvre de lumière, peintures 1953-2003, Centre d'art Le Garage, Amboise.
  • 2021 : Benanteur. Le Chant de la Terre, peintures des années 1980, Musée des beaux-arts, Angoulême.

Notes et références

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Références

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  1. a b c et d Ameziane Ferhani, « S’effacer dans l’art », sur elwatan.com, (consulté le ).
  2. Acte de décès, année 2018, no 10, date et heure du décès : trente et un décembre deux mil dix sept à vingt heures cinquante cinq minutes à Ivry-sur-Seine. Acte établi le 2 janvier 2018 à 13 h 54.
  3. a et b Guy Boyer, « Le peintre franco-algérien Abdallah Benanteur s’est éteint », sur connaissancedesarts.com, (consulté le ).
  4. a et b Zine B, « Mort du fondateur de la peinture algérienne Abdallah Benanteur », sur ALG24, (consulté le ).
  5. a b c et d Michel-Georges Bernard, « Éléments de biographie », dans Benanteur, œuvres sur papier, présentation de Malika Bouabdellah, textes de Monique Boucher et Michel-Georges Bernard, Alger, musée national des beaux-arts, 1993.
  6. a b c et d Sénac 2000 (2002), p. 225.
  7. Pierre Rey, Michel-Georges Bernard et Roger Dadoun, Abdelkader Guermaz, 1919-1996, p. 22.
  8. Mohammed Khadda, « Benanteur », dans Benanteur, Gravures, Alger, , p. 19 et 20.
  9. Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, p. 29.
  10. Jeune Afrique, 1987, lire en ligne.
  11. Cité par Michel-Georges Bernard dans « Parmi les saisons de la lumière, Les itinéraires de Benanteur », in Benanteur, Gravures, Alger, 1989, p. 23.
  12. a et b Cité par Michel-Georges Bernard, op. cit., p. 25.
  13. a b c d et e Hadjari 1993, p. 29.
  14. Préfaces des catalogues par Monique Boucher, Michel-Georges Bernard, Bruno Jaubert, Raoul-Jean Moulin, Bernard Fabre et Youri.
  15. a et b Hadjari 1993, p. 30.
  16. Cité par Michel-Georges Bernard, op. cit., p. 24-25.
  17. a et b Bernard 1991.
  18. Cité par Michel-Georges Bernard, op. cit., p. 28.
  19. In Ruptures, no 19, Alger, 18-24 mai 1993, p. 30.
  20. a et b Monographie page 47.
  21. Monographie page 68.
  22. Monographie pages 72-73.
  23. Monographie pages 70-71.
  24. Monographie pages 74-75.
  25. Monographie pages 80-81.
  26. Monographie page 76.
  27. Monographie pages 1 et 224.
  28. Monographie page 117.
  29. Monographie page 159.
  30. Monographie page 20.
  31. Monographie page 139.
  32. Monographie page 138.
  33. Monographie page 140.
  34. Monographie page 147.
  35. Monographie page 16.
  36. Monographie page 181.
  37. Listes des gravures et livres.
  38. https://dafbeirut.org/en/abdallah-benanteur#Top

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Monographie

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Catalogues d'expositions personnelles

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  • Benanteur, texte de Monique Boucher, édité à l'occasion d'une exposition à la galerie Herbinet, Paris, 1964.
  • Benanteur, texte de Jean Pélégri (Les Songes d'Abdallah), 1967 [accompagne l'exposition de Benanteur au Musée d'art moderne de la ville de Paris en 1970].
  • Abdallah Benanteur, œuvres graphiques, texte de Monique Boucher, édité à l'occasion de l'exposition de Benanteur au musée d'Art moderne de la ville de Paris, 1970.
  • Benanteur, texte de Monique Boucher, édité à l'occasion de l'exposition de Benanteur à Art investigation, Paris, 1972.
  • Livres illustrés n° 17 [essentiellement consacré aux ouvrages de Benanteur, notices de Monique Boucher], Librairie Nicaise, Paris, 1975
  • Benanteur, 72 livres de bibliophilie, librairie Nicaise, Paris, 1984.
  • Benanteur, peintures, aquarelles, dessins, gouaches, livres de bibliophilie, invitation : préface de B. Stapfer, Centre culturel algérien, Paris, 1987.
  • Benanteur, peintures et lavis, préface de B. Stapfer, galerie Étienne Dinet, Paris, 1988.
  • Benanteur, invitation : préface de Bruno Jaubert (Les Jardins de Benanteur), galerie Claude Lemand, Paris, 1992.
  • Benanteur, œuvres sur papier, présentation de Malika Bouabdellah, textes de Monique Boucher (Benanteur et l'aquarelle et Michel-Georges Bernard (Voyages en peinture), musée national des beaux-arts, Alger, 1993.
  • Benanteur, diptyques et triptyques, préface de Youri (Notre Benanteur), galerie Claude Lemand, Paris, 1993.
  • Benanteur, préface de Bernard Fabre (L'Art de Benanteur), galerie Claude Lemand, Paris, 1993.
  • Benanteur, Le peintre des poètes, préface de Brahim Alaoui, textes d'Alain Jouffroy et Malek Alloula, Institut du monde arabe, Paris, 2003.
  • Abdallah BENANTEUR. Le Chant de la terre, Ville d'Issoudun, 2018. Catalogue de l'exposition du musée, 112 pages, format A4. Textes de Claude Lemand et Emmanuel Daydé, reproduction de toutes les peintures et oeuvres graphiques exposées.
  • Abdallah Benanteur. Une oeuvre de lumière, peintures 1953-2003, Ville d'Amboise, 2019. Catalogue de l'exposition, 40 pages, format 15 x 21 cm.Texte de Claude Lemand, reproduction de toutes les peintures exposées.

Catalogue d'exposition collective (sélection)

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  • Peintres algériens, préface non signée de Jean Sénac, graphisme de Benanteur, salle Ibn Khaldoun, Fêtes du 1er novembre, Alger, 1963.
  • Peintres algériens, textes d'Edmond Michelet et Mourad Bourboune, musée des arts décoratifs de Paris, Paris, 1964.
  • Aksouh, Baya, Benanteur, Bouzid, Guermaz, Khadda, Maisonseul, Manton, Martinez, Nallard, Zérarti, Galerie 54, animateur Jean Sénac, Alger, 1964.
  • Fiorini-Benanteur, texte de Monique Boucher, édité à l'occasion de l'exposition présentée à la Librairie-galerie Le Fanal (Paul Moatti), Paris, 1965.
  • Poésie au Sud, Jean Sénac et la nouvelle poésie algérienne d'expression française, Archives de la ville de Marseille, 1983.
  • METISS'ART, Centre culturel Boris Vian, Les Ulis ; Espace Libertés, Aubervilliers, 1991.
  • Les effets du voyage, 25 artistes algériens, (textes de Fatma Zohra Zamoum, Ramon Tio Bellido, Michel-Georges Bernard et Malika Dorbani Bouabdellah), Palais des Congrès et de la Culture, Le Mans, (ISBN 978-2-9509698-0-4).
  • Mère Algérie, couleurs du Sud, Musée de Gajac, Villeneuve-sur-Lot, 2003.
  • Algérie mon Amour, 2021, Exposition de 18 artistes Algériens de la collection du musée de l'IMA, Institut du monde arabe, Paris. Textes de Claude Lemand, Anissa Bouayed et Emilie Goudal.

Article de pesse

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  • Jean Rousselot, « Benanteur », dans L'Écho d'Oran, .
  • Jean Sénac, « Abdallah Benanteur, peintre algérien », dans Action, Tunis, .
  • « 10 peintres du Maghreb » [entretien avec Benanteur], dans Révolution africaine n° 16, Alger, .
  • « Art et nations » [dont un entretien avec Benanteur], dans El Moudjahid n° 152, Alger, .
  • A. H., « Abdallah Benanteur à la Galerie Herbinet à Paris », Al Djazairi, Alger, .
  • « Benanteur : éléments pour un art nouveau (suite) », dans Révolution africaine n° 79, Alger, .
  • François Pluchart, « Benanteur », dans Combat, Paris, .
  • Jean Cathelin, « Benanteur », dans France-Observateur, Paris, .
  • Michel Conil Lacoste, « Benanteur », dans Le Monde, Paris, .
  • Jean-Jacques Lévêque, « L'écrin pour le poème », dans Arts, Paris, .
  • Paule Gauthier, « Abdallah Benanteur, peintre en révolte », dans Les Lettres françaises, Paris, , p. 28.
  • Jean Sénac, « Peinture algérienne », dans Jeune Afrique n° 488, Paris, .
  • Sophie El Goully, « Benanteur au Musée d'art moderne », dans Jeune Afrique n° 514, Paris, .
  • Raoul-Jean Moulin, « Benanteur et les pouvoirs de l'épreuve », dans Les Lettres françaises, Paris, 1970.
  • Jean Pélégri, « L'art de Benanteur », 1970.
  • Raoul-Jean Moulin, « Sur des dessins de Benanteur », dans L'Humanité, .
  • Mourad Bourboune, « Les moissons d'Abdallah », 1986.
  • Rachid Boudjedra, « Abdallah Ben Anteur, l'exil et le royaume », dans Révolution africaine, .
  • Djilali Kadid, « Abdellah dans les échelles de la lumière », dans Actualité de l'émigration n° 87, Paris, -.
  • Ameziane Ferhani, « Benanteur, l'universel », dans Algérie-Actualité n°1258, Alger, 23-.
  • Michel-Georges Bernard, « Benanteur, Pâturages de lumière », Cimaise, Paris, no 210,‎ .
  • Marc Hérissé, « Benanteur », dans La Gazette de l'Hôtel Drouot, Paris, , p. 80.
  • Anne-Catherine Benchelah, « Des pas perdus comme des touches de couleur », dans Phréatique n° 57, Paris, été 1991.
  • O. Hadjari, « Le haut-pays de Benanteur », Ruptures, Alger, no 3,‎ .
  • O. Hadjari, Entretien avec Benanteur, dans Ruptures, no 19, Alger, 18-, p. 30.
  • Marc Hérissé, « Benanteur », dans La Gazette de l'Hôtel Drouot, Paris, .
  • Marc Hérissé, « Benanteur », dans La Gazette de l'Hôtel Drouot, Paris, .
  • Marc Hérissé, « Benanteur », dans La Gazette de l'Hôtel Drouot, Paris, .
  • Marc Hérissé, « Abdallah Benanteur », dans La Gazette de l'Hôtel Drouot, Paris, .
  • « Benanteur », dans La Gazette de l'Hôtel Drouot, Paris, .
  • Benanteur, dossier, dans Algérie Littérature / Action, no 71, Éditions Marsa, Paris, .
  • Lydia Harambourg, « Les merveilleux nuages de Benanteur », dans La Gazette de l'Hôtel Drouot, Paris, , p. 131.
  • Lydia Harambourg, « Benanteur, peintures 1995-2010 », dans La Gazette de l'Hôtel Drouot, Paris, , p. 275.
  • Lydia Harambourg, « Benanteur, Le testament, peintures de 2003 à 2011 », dans La Gazette de l'Hôtel Drouot, Paris, , p. 231.

Ouvrages généraux

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Filmographie

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  • Entrons dans l'espace de Benanteur, film de Youri, FR3, 1979.
  • Portrait : Abdallah Benanteur, Mosaïque, FR3, 1987.
  • Benanteur, RT Belge, 1987.

Articles connexes

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Liens externes

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