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La Faculté de traduction et d'interprétation (FTI) est une faculté de l’Université de Genève en Suisse (Europe).
Présentation
[modifier | modifier le code]La Faculté de traduction et d'interprétation (FTI) de l’Université de Genève est située en ville de Genève. Elle est, dans son champ d’activités, l’un des plus anciens centres de formation et de recherche du monde. Fondée en 1941[1] sous le nom d’École d’interprètes de Genève (EIG), elle est devenue l’École de traduction et d’interprétation (ETI) en 1972[2], avec l’introduction d’un cycle d’études en traduction, puis la Faculté de traduction et d’interprétation (FTI) en 2011. Elle accueille plus de 600 étudiants du monde entier et compte plus d’une centaine d'enseignants et de chercheurs.
Installations et services
[modifier | modifier le code]Les étudiants ont accès à de nombreuses ressources informatiques et audiovisuelles, ainsi qu'à une bibliothèque spécialisée dans les domaines de la traductologie, de la traduction (théories, histoire, didactique, etc.), de l'interprétation consécutive et simultanée, de l'interprétation en langue des signes, de la linguistique computationnelle, de la terminologie et de la lexicologie.
Programmes de la FTI
[modifier | modifier le code]La Faculté propose les formations suivantes : Baccalauréat universitaire en communication multilingue, Maîtrise en traduction, Maîtrise en interprétation de conférence, Certificat complémentaire en traduction. Les étudiants choisissent leur combinaison linguistique parmi les langues de la Faculté, qui sont l’allemand, l’anglais, l’arabe, l’espagnol, le français, l’italien et le russe.
Les formations proposées donnent accès à tous les métiers langagiers de la communication multilingue, des relations publiques, des médias, de l'administration, du tourisme, des tribunaux et de la médiation linguistique, et bien entendu à la traduction et à l’interprétation de conférence, ou encore à l'enseignement et à la recherche.
Mobilité
[modifier | modifier le code]La FTI encourage et favorise la mobilité des étudiants et des enseignants. Elle a ainsi conclu des accords d’échange avec 70 universités dans plus de 20 pays du monde.
Recherche
[modifier | modifier le code]Groupes et axes de recherche
[modifier | modifier le code]Les groupes de recherche de la FTI mènent des projets financés par l’Union européenne ou le Fonds national suisse de la recherche scientifique. Ils couvrent entre eux les différents axes de la Faculté.
- Le Centre d'études en traduction juridique et institutionnelle (Transius) est spécialisé dans la traduction juridique et institutionnelle. Exemple de projet : LETRINT.
- L’Observatoire langue et formation (élf) se charge de l’axe « Multilinguisme et gouvernance ». Exemple de projet : MIME.
- Le Département de traitement informatique multilingue (TIM) est actif dans les domaines de la traduction automatique et de la reconnaissance vocale multilingue, ainsi que dans ceux de la terminologie/terminotique et de la lexicologie. Exemples de projet : ACCEPT, CALL-SLT.
- Le Département d’interprétation concentre ses travaux sur l’interprétation et la cognition, ainsi que sur l’interprétation humanitaire. Exemples de projet : Laborint, InZone.
Doctorat
[modifier | modifier le code]La FTI prépare à l'obtention d'un doctorat assorti de l'une des mentions suivantes :
- traductologie
- traitement informatique multilingue
- interprétation de conférence
- gestion de la communication multilingue
Relations internationales et services à la Cité
[modifier | modifier le code]La FTI collabore avec la Genève internationale. Elle forme des spécialistes en traduction, en interprétation de conférence et en communication multilingue qui sont autant de médiateurs linguistiques et culturels au service de la Cité.
Formation continue
[modifier | modifier le code]Dans le cadre de la formation continue universitaire, la FTI dispense des cours de formation continue diplômante ou qualifiante en traductologie, méthodologie de la traduction, traduction (économique, juridique, technique, littéraire), rédaction (langue active ou passive), rédaction technique, traduction assistée par ordinateur (TAO), terminologie et interprétation.
Réseaux européens et internationaux
[modifier | modifier le code]La FTI est membre de plusieurs réseaux européens et internationaux, dont :
- Programme ONU de collaboration avec les universités
- European Masters in Conference Interpreting
- European Masters in Translation
- CIUTI
- Universities Contact Group de l’International Annual Meeting on Language Arrangements, Documentation and Publications (IAMLADP)
Innovation technologique
[modifier | modifier le code]La FTI travaille sur des projets d’innovation technologique en collaboration avec la Cité. Un exemple en est le projet BabelDr, développé en collaboration avec les Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG) et qui a reçu le prix Innogap 2015.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- S. Stelling-Michaud, Histoire de l’Université de Genève, Georg, , « L’École d’interprètes de 1941 à 1956 », p. 317
- Claude Namy, « La réforme de l’École d’interprètes de Genève », L’interprète, vol. 28, nos 2-3, , p. 5
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Lien externe
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Nombre d'étudiants
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- Duret 1998, annexe G.
- Duret 1998, p. 19.
- Duret 1998, p. 29.
- Annuaire statistiques universitaires 1980/81, Université de Genève
- Annuaire statistiques universitaires 1987/88, Université de Genève
- Annuaire statistiques universitaires 1989/90, Université de Genève
- Base de données interne du Bureau des statistiques de l'Université de Genève
- Bureau des statistiques, « Statistiques universitaires 2005-2006, partie 1 » [PDF], sur www.unige.ch/dadm/stat/, Université de Genève, (consulté le ), p. 23
- Bureau des statistiques, « Statistiques universitaires 2007-2008 » [PDF], sur www.unige.ch/dadm/stat/, Université de Genève, (consulté le ), p. 19
- Bureau des statistiques, « Statistiques universitaires 2010-2011 » [PDF], sur www.unige.ch/dadm/stat/, Université de Genève, (consulté le ), p. 160
- Bureau des statistiques, « Statistique universitaire 2012-2013 » [PDF], sur www.unige.ch/dadm/stat/, Université de Genève, (consulté le ), p. 156
- Bureau des statistiques, « Statistiques 2015 » [PDF], sur www.unige.ch/dadm/stat/, Université de Genève, (consulté le ), p. 13