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Ref[1]
Ref toponymie du Pas-de-Calais[2]
Dictionnaire toponymique de la Marne [3]
Saison 2023-2024
[modifier | modifier le code]En terminant 1erde la Pro B, le club a la possibilité d'accéder directement à l'élite du basket-ball français qu'il a quittée en 1993, il y a exactement 30 ans. Après un temps d'hésitation, les responsables du club donnent leur accord pour la montée en Betclic Elite avec le maintien pour objectif, ce qui paraît irréalisable vu que le club a le plus petit budget de la division, qu'il faut recruter de nouveaux joueurs et qu'à la fin de cette saison, 3 clubs seront relégués directement en Pro B.
Pourtant, dès le début du championnat, les résultats montrent que le coach Julien Mahé a réussi un recrutement judicieux et a créé une cohésion et une efficacité évidente entre les joueurs de cette nouvelle équipe.
A la mi-championnat, le club est classé 6e et participe donc à la Leaders Cup 2024 où il échoue en quart de finale contre le Paris Basket. Les bons résultats se poursuivent dans la seconde partie du championnat malgré de nombreuses blessures. Le club finit de nouveau 6e de la saison régulière et participe aux playoff où il échoue contre Lyon-Villeurbanne.
Bilan donc plus que positif pour cette saison, avec des matches se jouant toujours à guichet fermé et des supporters
L'idéal serait de remplir le modèle:lien web. Un exemple : (en) « St. Riquier British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ). ce qui donne (en) « St. Riquier British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le 29 mars 2024). Matpib (discuter) 29 mars 2024 à 22:02 (CET) https://www.cwgc.org/visit-us/find-cemeteries-memorials/cemetery-details/2090440/st-riquier-british-cemetery/
Eglise Saint-Jean-Baptiste : extérieur
[modifier | modifier le code]-
Vue du chevet. -
Le portail roman. -
La nef. -
Bas-côté nord. -
Fonds baptismaux. -
Chemin de croix - 7è station.
L'ancienne église de Frampas
[modifier | modifier le code]GUERRE 14-18
[modifier | modifier le code]Beugny -
Première Guerre mondiale
Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village de Beugnâtre et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'au début de 1917. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : farine, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
En mars 1917, les Allemands décident de se retirer sur la Ligne Hindenburg, ligne fortifiée située à une dizaine de kilomètres à l'est.
Evacué de ses habitants dès janvier 1917, le village est complètement rasé, toutes les maisons dynamitées , les arbres coupés, les puits pollués. Le 17 mars 1917, les troupes britanniques prennent possession des ruines de Beugnâtre jusqu'en mars 1918 où il repassera de nouveau sous le contrôle des Allemands lors de l'Offensive du Printemps. Ce n'est que fin août 1918 que le secteur sera définitivement libéré.
Le village est complètement détruit. Peu à peu les habitants reviendront de leur lieu d'évacuation et commenceront, avec l'aide des dommages de guerre, une période de reconstruction qui durera plus de dix ans.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 le [4].
-
Carte de la ligne Hindenburg. -
Article relatant la libération du village le 27 août 1918. -
La carte des régions dévastées de 1920 montre que le village est complètement détruit.
Première Guerre mondiale
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La mairie annexe. -
Le monument aux morts. -
Tmbes de trois pilotes britanniques tombés le 19 juin 1944.
Dès , le village est occupé par les Allemands. Les habitants vivront pendant deux ans sous le joug de l'occupant avec brimades, requisitions, travaux forcés…. Dauthuille, habitant de Grévillers réfugié à Niort, a relaté, dans un cahier conservé aux Archives de la Charente, toutes les souffrances endurées par les Grévillois pendant cette période. Ce recueil est consultable sur le site de la Bibliothèque nationale de France (BnF)[5].
Le village, évacué de ses habitants, rasé par les Allemands en avant leur retrait sur la ligne Hindenburg, passe aux mains des troupes britanniques jusqu'en où il repassera de nouveau sous le contrôle des Allemands lors de l'offensive du Printemps. Ce n'est que fin que le secteur sera définitivemant libéré.
Le village est complètement détruit. Peu à peu les habitants reviendront de leur lieu d'évacuation et commenceront, avec l'aide des dommages de guerre, une période de reconstruction qui durera plus de dix ans.
-
Southern entrance pavilion to the cemetery
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The Stone of Remembrance at the cemetery entrance
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The Cross of Sacrifice and the tower in October 2007
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The Cross of Sacrifice and the tower in May 2014[6]
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Shelter forming the left wing of the memorial
Hydrogaphie
[modifier | modifier le code]Le village est traversé du sud au nord par La Voire, rivière d'une longueur de 56 km, qui prend sa source dans la commune de Dommartin-le-Franc et se jette dans l'Aube à Molins-sur-Aube, après avoir traversé 21 villages.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Aisonville: Le nom du village apparaît pour la première fois en 1151 sous l'appellation latine de Aisunvilla. Ce nom évoluera en fonction des différents transcripteurs :Aisunville en 1151 dans un cartulaire de l'Abbaye de Fesmy, puis Asionvilla, Aysonvilla, Aisonville, Esonville, Haisonville, Aizonville, Hezonville, Ysonville et enfin l'orthographe actuelle Aisonville sur la Carte de Cassini au milieu du XVIIIe siècle
[7].
Bernoville: Le nom du village apparaît pour la première fois en 1157 sous l'appellation latine de Bernonvilla puis Bernevilla, Bernonville et enfin l'orthographe actuelle Bernoville sur la Carte de Cassini au milieu du XVIIIe siècle
[8].
Carte de Cassini
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Ambulant postal
[modifier | modifier le code]Un service d' ambulant postal a fonctionné sur cette ligne avant la guerre 14. Les lettres étaient déposées dans les gares et, dans le train, un employé oblitérait le courrier avec un timbre à date rond à créneaux, typique des cachets d'ambulants postaux français du début du XXè siècle.
Passé ferroviaire du village
[modifier | modifier le code]De 1910 à 1955, Villers-Saint-Christophe a possédé une gare située sur la Ligne de Saint-Quentin à Ham.
La Compagnie des chemins de fer départementaux de l'Aisne met en service la section de Douchy à Villers-Aubigny le et la dernière portion Villers-Aubigny à Ham le [9].
La Régie des transports de l'Aisne (RTA), qui a repris l'exploitation en 1952, met fin au trafic voyageurs sur l'ensemble de la ligne le [9].
De 1900 à 1951, Montbrehain a possédé une gare située près de l'étang, dans le bas du village (de nos jours, la gare, magnifiquement rénovée et devenue une habitation, est située rue de Verdun). Elle faisait de la ligne de chemin de fer de Guise au Catelet, ligne à voie métrique réalisée sous le régime des « voies ferrées d'intérêt local » reliant Le Catelet-Gouy à Bohain puis Guise. Elle servait pour le transport du courrier, des marchandises, des betteraves et surtout des habitants et des ouvriers qui se rendaient soit à Bohain, pour travailler dans les usines textiles. Après 1945, le trafic décline, du fait de l'essor du transport des marchandises par camion et des voyageurs par autobus. Le département de l'Aisne, propriétaire de la ligne, décide de son déclassement le . La Régie des transports de l'Aisne (RTA), qui a repris l'exploitation en 1952, met fin au trafic voyageurs sur l'ensemble de la ligne le [9].
-
Train à l'arrêt dans la gare en direction de Villers vers 1910. -
Train à l'arrêt dans la gare en direction d'Aubigny vers 1910. -
Seuls subsistent aujourd'hui les rails qui traversent la chaussée. -
Jumelages
[modifier | modifier le code]Architecture
[modifier | modifier le code]L'église est construite en Brique.
Construit aux XIVe et XVe siècles, le clocher-tour à qutre niveaux , classé Monument historique en 1907, est le seul clocher en brique du Comminges [11].
XIIIe et XVe siècles
- Le Pont d'Atel
- La Fleuriais
- Les Quatre Croix
- Roblin
élu
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De style roman, l'église n'est éclairée que par un petit oculus dans la chapelle Saint-Joseph et deux autres petites baies.
L'église est construite en pierre de taille et est recouverte d'ardoises. A l'ouest, le clocher-mur , avec deux baies campanaires, qui comporte un portail, est supporté par deux imposants contre-forts.
Le plan est formé d'un vaisseau allongé et des voûtes d'ogives supportent l'ensemble. La nef simple avec deux chapelles latérales est terminée par un chevet plat.
La nef simple avec deux chapelles latérales est terminée par un chevet à trois pans dont les baies sont ornées de simples vitres.
L'église ne comporte pas de chemin de croix.
Le clocher-mur est percé de quatre ouvertures, mais ne comporte que trois cloches. Le porche gothique, au-dessus duquel une petite niche accueille une statue de saint Martin, comporte de nombreuses sculptures.
L'église, qui date du XIIe siècle, présente un plan de nef unique, avec transept, et abside voûtée en cul-de-four. La nef, à l'origine voûtée en berceau est couvert par un plafond en bois.
Le transept a été remanié au sud, mais le croisillon nord a gardé sa disposition primitive. La croisée du transept est portée par des piliers carrés flanqués de colonnes demi-cylindriques et couverte par une coupole sphérique sur pendentifs surmontée d'une calotte sur plan elliptique. La croisée du transept est surmontée d'une tour carré formant clocher.
Le porche occidental est constitué par un passage voûté en berceau et surmontée d'une tour carré à deux étages où se trouvent des pièces qui servaient le logement aux moines de l'abbaye d'Aubazine. Les faces intérieures du porche sont ornées d'une double arcature en plein-cintre avec colonnettes et chapiteaux sculptés et une décoration de bas-reliefs. Les bas-reliefs au nord représente la mort du mauvais riche et au sud, un avare aux prises avec un démon et un homme qui porte un énorme poisson. Le portail, encadré de fines colonnettes, s'ouvre sous une triple archivolte en tiers-point.
L'église, bâtie en grès rouge, n'est pas orientée franchement est-ouest comme nombre d'églises chrétiennes, mais plutôt est-nord-est / ouest-sud-ouest. Son clocher carré se situe au-dessus du chœur.
Architecture
[modifier | modifier le code]Comme la plupart des églises chrétiennes, l'édifice est orienté est-ouest.
Les murs sont en granit et pierre de taille. Le toit, autrefois en chaume, est actuellement recouvert d'ardoises.
A l'est, le clocher-mur aveugle, avec deux baies campanaires, est supporté par deux imposants contre-forts.
Au milieu du mur nord, l'unique portail latéral gothique est orné d'un arc en relief terminé par deux culs-de-lampe en forme de visage.
Cartes postales anciennes
[modifier | modifier le code]Heurtoirs
[modifier | modifier le code]-
Un aigle -
Chien ou montre -
Chien ou monstre -
Chein -
Dragon -
Hibou -
Lion -
Lion -
Chien ou monstre -
Poisson -
Poisson -
Poisson -
Cygne -
Serpent -
Poisson -
Poisson -
Ecureui - Monstre -
Bélier -
Cerf -
-
Lion -
Pic-vert
Heurtoir: personnages ou visage
[modifier | modifier le code]Eglise de Beuvron-en-Auge
[modifier | modifier le code]Type | |
---|---|
Destination initiale | |
Construction |
XVIIe et XXe siècles |
Propriétaire |
Commune |
Pays | |
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Département | |
Commune |
Coordonnées |
---|
L'église Saint-Martin est une église catholique située à Beuvron-en-Auge, en France.
Localisation
[modifier | modifier le code]L'église est située dans le département français du Calvados, dans la commune de Beuvron-en-Auge.
Historique
[modifier | modifier le code]L'église a été édifiée en 1642 sur un terrain appartenant à l'abbaye l'Abbaye du Bec-Hellouin.
Vers 1920, le clocher d'origine en mauvais état, est remplacé par un clocher en brique de style néogothique
[12]
D'importants travaux de restauration ont été réalisés entre 2010 et 2016.
Galerie: extérieur de l'église
[modifier | modifier le code]Galerie
[modifier | modifier le code]-
L'avenue de la plage vers 1910. -
Partie de croquet sur la plage en 1909. -
Sur la plage vers 1910. -
Pêcheurs au départ en 1915. -
Sur la plage vers 1910. -
Cabane de pêcheur en 1907. -
Le grand hôtel vers 1910.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65187188/f1.item.r=Roeux.zoom
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1101013/f1.item
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39298v/f210.image
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- « Une commune libérée adoptée en Charentes : Grévillers », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
- The original hornbeam trees planted in 1928 were removed in 2009.
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f49.item.zoom
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f71.item.zoom
- Erreur de référence : Balise
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesBlaisePichon-Ham-St-Quentin
- Annuaire des communes jumelées
- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Eglise_Saint-Adrien_de_L%27Isle-en-Dodon_-_Historique.jpg
- https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/d/df/Beuvron-en-Auge_-_Eglise_-_Historique.jpg
Annexes
[modifier | modifier le code]Liens internes
[modifier | modifier le code]Lien externe
[modifier | modifier le code]Catégorie:Église en Calvados|Beuvron -en -Auge]] Catégorie:Église dédiée à saint Martin|Beuvron-en-Auge]]
Église Saint-Pierre-ès-Liens de Sarran
[modifier | modifier le code]
Église Saint-Pierre-ès-Liens de Sarran | |
Vue latérale de l'église, au premier plan, le tilleul planté én 1831. | |
Présentation | |
---|---|
Type | Église |
Début de la construction | XVe siècle |
Fin des travaux | XXe siècle |
Protection | Classé MH (1988)[1] |
Géographie | |
Pays | France |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Corrèze |
Ville | Sarran (Corrèze) |
Coordonnées | 45° 24′ 35″ nord, 1° 56′ 15″ est |
modifier |
L'église Saint-Pierre-ès-Lien est une église située à Sarran dans le département de la Corrèze.
Histoire
[modifier | modifier le code]Au début du XVe siècle fut construite une chapelle qui devenue aujourd'hui l'église paroissiale. Autour de la clé de voûte le première travée, est gravée la date de construction de cette chapelle : Anno Domini MCCCCIX (1409) [2].
Deux chapelles latérales furent ensuite ajoutées.
A la fin du XIXe siècle, l'église fut agrandie avec la construction d'un nouveau clocher octogonal surmonté d'un toit conique. En 1931, ce clocher qui était en mauvais état fut démoli et remplacé par la cloche-mur actuel [3].
Sont classés:
- la cloche du clocher-mur
- la statue de Saint-Jean-Baptiste
- le demi-relief Les Noces de Cana
- Le demi-relief Le Cène
- la pieta
- le tabernacle
L'église a été classée en 1988
Extérieur de l'église
[modifier | modifier le code]Intérieur de l'église
[modifier | modifier le code]-
Vue de la nef. -
La nef côté porche. -
La pieta. -
. -
. -
Le demi-relief de la Cène.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Portail des monuments historiques français
- Portail de la Corrèze
- Portail de l’architecture chrétienne
- Portail du catholicisme
Catégorie:Église en Corrèze|Saint-Pierre-ès-Liens de Sarran]]
Catégorie:Église dédiée à Saint-pierre-ès-Liens|Sarran]]
Catégorie:Église monument historique en Corrèze|Sarran]]
Catégorie:Monument historique inscrit en 1988]]
===
[modifier | modifier le code]
Église Saint-Méloir de Saint-Méloir-des-Ondes | |||
L'église Saint-Méloir. | |||
Présentation | |||
---|---|---|---|
Culte | catholique | ||
Type | église paroissiale | ||
Rattachement | Archidiocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo | ||
Début de la construction | Seconde moitié du XVIIIe siècle |
||
Style dominant | néo-gothique | ||
Géographie | |||
Pays | France | ||
Région | Bretagne | ||
Département | Ille-et-Vilaine | ||
Commune | Saint-Méloir-des-Ondes | ||
Coordonnées | 48° 38′ 15″ nord, 1° 54′ 14″ ouest | ||
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : France
| |||
modifier |
L' Église Saint-Méloir de Saint-Méloir-des-Ondes est une église de le seconde moitié du XVIIIe siècle située à Saint-Méloir-des-Ondes, en France.
Localisation
[modifier | modifier le code]L'église est située au centre de la commune de Saint-Benoît-des-Ondes, dans le département d'Ille-et-Vilaine.
Architecture
[modifier | modifier le code]Comme la plupart des églises chrétiennes, l'édifice est orienté est-ouest.
Les hauts murs en granit sont consolidés par des contre-forts en pierre de taille. Le toit est recouvert d'ardoises.
A l'intérieur, la vaste nef de 45 m de longueur, éclairée par 5 baies en hauteur se termine par un chevet polygonal.
Historique
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Méloir a été édifiée de 1860-1884 en remplacement d'une ancienne église délabrée. Saint Méloir, martyr breton, est le patron de cette église [1].
-
Vue du clocher. -
Le chevet. -
La nef. -
La nef côté porche. -
Le bas-côté sud. -
Le maître-autel. -
Chemin de croix - Première station.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Portail d’Ille-et-Vilaine
- Portail de Saint-Malo et de sa région
- Portail de l’architecture chrétienne
Catégorie:Église en Ille-et-Vilaine|Saint-Méloir]] Catégorie:Église dédiée à saint Benoît|Saint-Méloir]]
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page présentation
[modifier | modifier le code]- High Tree Cemetery
- Calvaire Cemetery
- Cimetière britannique de Montbrehain
- Joncourt East British Cemetery
- Joncourt British Cemetery
- Extension britannique du cimetière communal de Beaurevoir
- Extension britannique du cimetière communal de Beaurevoir
- Jeancourt Communal Cemetery Extension
- Cimetière militaire de Marteville
- Prémont British Cemetery
- Cimetière militaire britannique de Brancourt-le-Grand
- Cimetière militaire allemand de Selvigny
- Cimetière militaire allemand de Cambrai page créée le 12 mai 2018 (250/an)
- Cimetière militaire allemand de Caudry page créée le 5 juin 2018 (94/an)
- Cimetière militaire russe de Cambrai page créée le 13 juin 2018, mise à jour le 28 aôut 2022 (108/an)
- Landrecies British Cemetery
- Landrecies Communal Cemetery
- Preux-au-Bois Communal Cemetery
- Cross Roads Cemetery de Fontaine-au-Bois
- Fontaine-au-Bois Communal Cemetery
- Englefontaine British Cemetery
- Conde-sur-l'Escaut Communal Cemetery
- Vaulx Hill Cemetery )
- Cimetière militaire britannique de Denain
- Cimetière militaire allemand de Bouchain (188/an)
- York Cemetery (Haspres)
- Haspres Coppice Cemetery
- Avesnes-le-Sec Communal Cemetery Extension
- Cimetière militaire allemand du Cateau-Cambrésis
- Cimetière militaire britannique d'Aulnoy-lez-Valenciennes
- Verchain-Maugré British Cemetery
- Cimetière militaire d'Aulnoye
- Berlaimont Communal Cemetery Extensionp
- Dourlers Communal Cemetery p
- Avesnes-sur-Helpe Communal Cemetery
- Ghissignies British Cemetery
- Glageon Communal Cemetery and Extension
- Maing Communal Cemetery Extension
- Thiant Communal Cemetery
- Sebourg British Cemetery
- Valenciennes (St-Roch) Communal Cemetery
- Conde-sur-l'Escaut Communal Cemetery
- Famars Communal Cemetery Extension
- Preseau Communal Cemetery Extension
- Villers-Pol Communal Cemetery Extension
- Ruesnes Communal Cemetery
- Vendegies-au-Bois British Cemetery
- Pont-sur-Sambre Communal Cemetery
- Cantimpré Canadian Cemetery, Sailly
- Poix-du-Nord Communal Cemetery Extension
- Cimetière communal de Hautmont
- Maubeuge Centre Cemetery]
- Maubeuge (Sous-le-Bois) Cemetery
-
Ussel
-
Queyrac
-
Basilique de Saint-Quentin
-
Eglise de Guémappe
-
Eglise de Gavrelle (Pas-de-Calais)
-
Eglise de Rue (Somme)
-
Le Touquet
-
Merlimont
-
Cucq
-
Cucq
-
Eglise Saint-Jean-Baptiste de Berck - Chemin de croix- Station XIV -
Ville de Corrèze. -
Sommeron -
Gergny -
Eglise de Beuvron-en-Auge (Calvados) -
Cathédrale Saint-Vincent de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) -
Cathédrale Notre-Dame du Havre (Seine-Maritime) -
Eglise Notre-Dame de Dives-sur-Mer (Calvados). -
Eglise Saint-Sauveur de Caen (Calvados) -
Abbaye aux Hommes de Caen (Calvados) -
Eglise d'Oyrières (Haute-Saône) -
Cathédrale Notre-Dame de Bayeux (Calvados) -
Eglise de Dozulé (Calvados) -
Eglise Saint-Jacques de Reims (Marne) -
Eglise Saint-Remi de Reims (Marne) -
Eglise de Vendays-Montalivet (Gironde) -
Eglise de Vensac (Gironde) -
Eglise de Montboyer (Charente) -
Eglise de Ronsenac (Charente) -
Eglise Saint-Malo de Dinan (Côtes-d'Armor) -
Eglise de Pleslin-Trivagou (Côtes-d'Armor) -
Eglise de La Fresnais (Ille-et-Vilaine) -
Cathédrale Saint-Samson de Dol-de-Bretagne (Ille-et-Vilaine) -
Saint-Méloir-des-Ondes (Ille-et-Vilaine) -
Eglise de Saint-Suliac (Ille-et-Vilaine) -
Cathédrale Notre-Dame de Bayeux (Calvados) -
Eglise Saint-Michel de Pont-l'Evêque (Calvados) -
Eglise Saint-Thomas de Touques (Calvados) -
Eglise de Chaumeil (Corrèze) -
Eglise de Saint-Salvadour (Corrèze) -
Eglise abbatiale Saint-André de Meymac (Corrèze) -
Eglise Pérols-sur-Vézère (Corrèze) -
Chapelle Notre-Dame de Fournol (Corrèze) -
Eglise de Gourdon-Murat <Corrèze) -
Eglise Saint-Pardoux de Bugeat (Ccorrèze) -
Abbaye Saint-Pierre de Vertheuil (Gironde) -
Chelin de croix extérieur de Sombacour (Doubs) -
Eglise Pauillac (Gironde) -
Eglise de Saint-Laurent-Médoc (Gironde) -
Eglise de Carcans (Gironde) -
Eglise de Jougne (Doubs) -
Eglise d'Harfleur (Seine-Maritime) -
Eglise d'Octeville-sur-Mer (Seine-Maritime) -
Eglise de Masnières (Nord) -
Eglise de Masnières (Nord) -
Chemin de croix extérieur à Labarthe-Inard (Haute-Garonne) -
Rocquigny (Pas-de-Calais) -
Villedieu-les-Mouthe (Doubs) -
Gellin (Doubs). -
Malbuisson (Doubs) -
Labergement Sainte-Marie (Doubs) -
Mouthe (Doubs) -
Eglise de Chaux-Neuve (Doubs) -
Rochejean (Doubs) -
Péronne (Somme) -
Saint-Estèphe (Gironde) -
Sepx (Haute-Garonne) -
Haplincourt (Pas-de-Calais) -
Monastère de Batalha (Portugal) -
Eglise d'Aubenton (Aisne) -
Eglise de Brunehamel (Aisne) -
Eglise de Brunehamel (Aisne) -
Eglise de Bancigny (Aisne) -
Harcigny (Aisne) -
Plomion (Aisne) -
Eglise fortifiée de Beaurain (Aisne) -
Eglise de Bapaume (Pas-de-Calais) -
Flagey (Doubs) -
Les Hôpitaux-Neufs (Doubs) -
Longevilles-Mont-d'Or (Doubs) -
Gray (Haute-Saône) -
Musée des Carmes Lisbonne (Portugal) -
Musée des Carmes -Lisbonne (Portugal) -
Saint-Jouan-des-Guérets (Ille-et-Vilaine) -
Igreja de Nossa Senhora da Vitoria - Lisbonne (Portugal) -
Igreja de Santo Antonio dos Congregados -Porto (Portugal) -
Igreja Paroquial de Cinfaes (Portugal) -
Pleurtuit (Ille-et-Vilaine) -
Marac (Haute-Marne) -
Eglise de-Saint-Nicolas-de-Véroce (Haute-Savoie) -
Taninges (Haute-Savoie) -
Uzerche (Corrèze) -
Lécussan (Haute-Garonne) -
Boulogne-sur-Gesse (Haute-Garonne) -
Sarran (Corrèze) -
Saint-Gervais (Haute-Savoie) -
Le Sourd (Aisne) -
Flixecourt (Somme) -
Saint-Père-Marc-en-Poulet (Ille-et-Vilaine) -
Saint-Marcan (Ille-et-Vilaine) -
Fourdrain (Aisne) -
Villers-sur-Mer (Calvados) -
Houlgate (Calvados) -
Oyrières (Haute-Saône) -
Marnay (Haute-Saône) -
Saint-Benoît-des-Ondes (Ille-et-Vilaine)
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Aubarède
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Aubarède
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Queyrac
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Queyrac
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Guémappe
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Gavrelle
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Eglise de Rue (Somme)
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Le Touquet
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Merlimont
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Eglise d'Etaples-sur-Mer -
Cathédrale Saint-Vincent-de Saint-Malo -
Cathédrale Saint-Vincent-de Saint-Malo -
Eglise Notre-Dame de Dives-sur-Mer. -
Cathédrale de Reims -
Cathédrale de Reims -
Eglise de Saint-Méloir-des-Ondes (Ille-et-Vilaine) -
Eglise de Bancigny (Aisne) -
Eglise de Jeantes (Aisne) -
Chapelle Saint-Claude - Jougne (Doubs) -
Eglise Saint-Isidore de Flagey (Haute-Marne) -
Eglise des Hôpitaux- Neufs (Doubs) -
Cathédrale de Gray (Haute-Saône) -
Eglise de Cinfaes - Portugal -
Moulis-en-Médoc (Gironde) -
Eglise de Pradines (Corrèze) -
Eglise de Saint-Jouan-les-Guérets (Ille-et-Vilaine) -
Eglise de Marac (Haute-Marne) -
Eglise de Marac (Haute-Marne) -
Eglise de Saint-Nicolas-de-Véroce (Hautes-Pyrénées) -
Eglise de Saint-Nicolas-de-Véroce (Hautes-Pyrénées) -
Le Sourd (Aisne) -
Eglise de Fourdrain (Aisne) -
Eglise de Saint-Suliac (Ille-et-Vilaine)
Voir aussi
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Dictionnaoire du pas de calais[1]
croisilles[2]
Vaulx-vraucourt[3]
château de Vaulx[4]
Lagnicourt texte[5]
Ligne drocourt -quéant[6]
Mory[7]
Saison 2022-2023
[modifier | modifier le code]Avec un effectif renouvelé à près de 80%, au vu des résultats décevants des matches de préparation et de la Leaders Cup, cette nouvelle saison s'annonce incertaine.
Pourtant, au fur et à mesure des matches, la cohésion et l'efficacité de l'équipe s'affirment, et, grâce à une invincibilité à domicile lors des 11 premiers matches et aussi à de précieuses victoires à l'extérieur contre des équipes prétendant à la montée, le club intègre le haut du tableau dès la mi-championnat.
A l'issue du dernier match de la saison régulière, Saint-Quentin Basket-Ball et Châlons-sur-Saône terminent en tête avec chacun 25 victoires. Avec un point-average favorable (+3) sur son adversaire, SQBB est champion de Pro B saison 2022-2023 et a ainsi la possibilité d'intégrer l'élite du basket français qu'il a quittée en 1993.
Le club a l'honneur de posséder en son sein les trois MVP de ProB de la saison:
- Julien Mahé meilleur entraîneur
- Mathis Dossou-Yovo meilleur joueur
- Melvin Ajinça meilleur jeune
Palmarès
[modifier | modifier le code]- Champion de Pro B saison 2022-2023 avec (Saint-Quentin Basket-Ball)
Histoire
[modifier | modifier le code]Si son origine remonte sans doute à la période Gallo-romaine, l’histoire de Vergèze n’a pas laissé de traces jusqu’au début du XIVe siècle. Au XVIIIe siècle, on peut signaler une bataille qui oppose les Camisards aux troupes royales, durant la guerre des Cévennes.
Jusqu’au XIXe siècle, Vergèze a surtout été un village à vocation agricole. La principale culture était la vigne et l’économie villageoise était tournée vers cette production. La plupart des habitants se répartissaient dans les professions suivantes : viticulteurs, tonneliers, négociants en vin. Cette empreinte peut encore s'observer sur les maisons de vignerons de la « rue Neuve » ou de la « rue d’Entrevignes », et la reconstitution d’un atelier de tonnellerie avec des mannequins animés, grandeur nature, se veut être un hommage à cette époque révolue.
De nos jours, si le vin produit par les viticulteurs est un excellent vin de table commercialisé par la cave coopérative des « Vignerons de la voie d’Héraclès », la richesse de la commune vient surtout de l’exploitation sur le territoire de la Source Perrier.
Connue depuis l’antiquité, l’eau de cette source était surtout consommée pour ses vertus médicales : atonie gastrique ou états nauséeux. La source d’eau minérale n’a cependant été exploitée industriellement que depuis le début du XXe siècle.
Actuellement, ce sont plus de 1 500 employés qui travaillent dans une usine dont les bâtiments couvrent plusieurs hectares et dont la production est exportée.
Margival [8]
Armorial de Lorraine [9]
Armorial illustré très bien[10]
- Médaille d’argent aux Jeux olympiques en 2021 à Tokyo.
- D’ailleurs son vieil ami le notaire, et transmutait tout en or et en argent qui venait se réunir secrètement aux sacs empilés dans le cabinet. Modèle:Source
- D’ailleurs son vieil ami le notaire, et transmutait tout en or et en argent qui venait se réunir secrètement aux sacs empilés dans le cabinet. Modèle:Source
Vernègues Château[11]
séisme de 1700[12]
nombre de morts[13]
Naissance Clédat[14]
papeteri de Thenailles [15]
Thernailles [16]
Abbaye de Thenailles [17]
Chemin de laon à Hirson Halte à Voyennes[18]
Lignes du département[19]
[20]
Réélu pour le mandat 2020-2026
XIXe siècle
[modifier | modifier le code][22]
[23]
( Espagne)
( France)
( Andorre)
Océan atlantique
( Suisse),Neuchâtel
( France)
Côtes-d'Armor
Vienne
La Manche
Le Rhône
(Alpes-de-Haute-Provence)
Estuaire de la Loire
La Loire
Océan atlantique
Ille-et-Vilaine
Deux-Sèvres
Loir-et-Cher
Sarthe
Indre-et-Loire
La Vienne
Le Cher
Vienne
Indre
Sarthe
Indre-et-Loire
XIXe siècle
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Vaucluse
Bouches-du-Rhône
Hérault
Ardèche
Gard
La Manche
Le Mesnil-Mauger (comm. ass. d'Écajeul)
élu
[modifier | modifier le code]Liste des monuments aux morts dazns le Gers
[modifier | modifier le code]Cet article vise à recenser les monuments aux morts dans les Ardennes, en France.
Liste
[modifier | modifier le code]Les monuments sont classés par ordre alphabétique de communes, ou anciennes communes.
Œuvre | Auteur | Commune | Localisation | Notes | Installation | Coordonnées | Illustration |
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Monument aux morts | À déterminer | Acy-Romance | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Aiglemont | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Aire | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Alincourt | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Alland'Huy-et-Sausseuil | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Amagne | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Ambly-Fleury | À déterminer | Monument surmonté d'un coq | À déterminer | à géolocaliser | |
Monument aux morts | À déterminer | Anchamps | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Angecourt | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Annelles | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Antheny | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Aouste | À déterminer | Soldat au repos | À déterminer | à géolocaliser | |
Monument aux morts | À déterminer | Apremont | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Ardeuil-et-Montfauxelles | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Arnicourt | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Arreux | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Artaise-le-Vivier | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Asfeld | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Attigny | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Aubigny-les-Pothées | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Auboncourt-Vauzelles | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Aubrives | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Auflance | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Auge | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Aure | À déterminer | Monumentsurmonté d'un coq | À déterminer | à géolocaliser | |
Monument aux morts | À déterminer | Aussonce | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Authe | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Autrecourt-et-Pourron | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Autruche | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Autry | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Auvillers-les-Forges | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Avançon | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Avaux | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Les Ayvelles | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Baâlons | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Bairon et ses environs (Louvergny) | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Bairon et ses environs (Le Chesne) | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Bairon et ses environs (Les Alleux) | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Balan | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Balham | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Ballay | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Banogne-Recouvrance | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Bar-lès-Buzancy | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Barbaise | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Barby | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Bayonville | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Beaumont-en-Argonne | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Beffu-et-le-Morthomme | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Belleville-et-Châtillon-sur-Bar (Belleville-sur-Bar) | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Belleville-et-Châtillon-sur-Bar (Châtillon-sur-Bar) | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | [[Belval (Ardennes)
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À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | Belval | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Belval-Bois-des-Dames | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | ||
Monument aux morts | À déterminer | Bergnicourt | À déterminer | À déterminer | à géolocaliser | Image manquante
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Monument aux morts | À déterminer | La Berlière | À déterminer | Monument moderne | À déterminer | à géolocaliser | |
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Liens externes
[modifier | modifier le code]- Pour l'ensemble des points mentionnés sur cette page : voir sur OpenStreetMap (aide), Bing Cartes (aide) ou télécharger au format KML (aide).
Catégorie:Culture dans le Gers Monuments aux morts Gers *
Notes et références
[modifier | modifier le code]- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36118c/f63.item.r=vraucourt
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36118c/f63.item.r=croisilles
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36118c/f125.item.r=vaulx-vraucourt
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36118c/f135.
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4533641r/f3.item.r=Lagnicourt.zoom
- https://www.archivespasdecalais.fr/Decouvrir/Chroniques-de-la-Grande-Guerre/Histoires-de-la-Grande-Guerre/Le-percement-de-la-ligne-Drocourt-Queant-2-3-septembre-1918
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36118c/f111.item.r=mory
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k61166709/f31.item.r=Montgarny
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54910319.r=Baissey?rk=21459;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111469d/f140.item
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56742417/f3.image.r=Vern%C3%A8gues?rk=128756;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62543700/f2.image.r=Vern%C3%A8gues?rk=450646;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k46408945/f2.item.r=Vern%C3%A8gues.zoom
- http://www.archinoe.fr/cg19/visu_affiche.php?PHPSID=1fad930c9a10257805f1f2185c1c5e17¶m=visu&page=1#
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f44.item.r=Thenailles
- http://www.histoireaisne.fr/memoires_numerises/chapitres/tome_02/Tome_002_page_080.pdf
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k454014z/f16.item.r=thenailles
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5499818p/f71.image.r=Voyenne?rk=1587990;4
- https://www.facs-patrimoine-ferroviaire.fr/histoire/les-chemins-de-fer-secondaires/liste/02
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
- https://www.habitants.fr/puy-de-dome-63
- http://www.habitants.ch/habitants_suisse_canton-de-vaud_02.html
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires du Pas-de-Calais
- Bataille de la Somme
- Commonwealth War Graves
- Hébuterne
élu
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Eglise de Notre-Dame de Seihac
[modifier | modifier le code]
Eglise Notre-Dame de Seilhac | |
Vue latérale de l'église. | |
Présentation | |
---|---|
Dédicataire | Notre-Dame |
Type | Église |
Début de la construction | XIIe siècle |
Fin des travaux | XIe siècle |
Style dominant | gothiqe |
Protection | Classé MH (1977) |
Géographie | |
Pays | France |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Corrèze |
Ville | Seilhac |
Coordonnées | 45° 22′ 00″ nord, 1° 42′ 40″ est |
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L'église Notre-Dame de Seilhac est une église située à Seilhac dans le département de la Corrèze.
Histoire
[modifier | modifier le code]https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Eglise_Notre-Dame_de_Seilhac_-_Informations.jpg
Architecture
[modifier | modifier le code]L'église est un des plus beaux exemples d'architecture romane en Bas Limousin. Elle a été classée Monument Historique le [1].
Extérieur de l'église
[modifier | modifier le code]-
Vue du côté sud. -
Le clocher. -
Le portail principal. -
Vue de la façade ocultée par un immense tilleul. -
Détail des modillons du chevet.
Intérieur de l'église
[modifier | modifier le code]-
Vue de la nef. -
Vue de la nef côté porche. -
Le choeur. -
Détail des peintures du chevet. -
Le bénitier.
Les statues
[modifier | modifier le code]-
Statue de Saint-Eutrope. -
Statue de Saint-Jacques. -
Statue de Saint-Roch. -
Statue de Saint-Jean-Baptiste. -
Pieta.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Eglise Saint-Pierre », notice no PA00099955, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
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Toponymie du pas de Calais
[modifier | modifier le code]Tropnymie [3]
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire du village est traversé du 'Omignon prend sa source au nord-ouest du village.
Le territoire de la commune n'est traversé par aucun cours d'eau.
Le territoire du village est traversé du sud au nord par la Selle, affluent de l' Escaut.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est traversée du sud au nord par le cours d'eau La Suize qui prend sa source à Courcelles-en-Montagne et qui se jette dans La Marne à Chaumont.
Deux vieux ponts en pierre permettent à la Rue du Pont et à la Rue de La Planche de franchir ce cours d'eau.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le Ru Lua se jette au centre du village dans le ruisseau L'Ordrimouille qui traverse le territoire du sud au nord et qui conflue avec l'Ourcq à Nanteuil-Notre-Dame.
Toponymie
[modifier | modifier le code]XVIIIe siècle
Vendresse: Le nom du village apparaît pour la première fois en 1136 sous le nom de Venderessa, puis Venderissa en 1185 dans un cartulaire de l'Abbaye de Vauclair. Le nom évoluera encore de nombreuses fois en fonction des différents transcripteurs: Communitas de Venderesse, Vendrece, Vanderesse, Venderesse-en-Laonnois, Vandresse enfin l'orthographe actuelle Vendresse au XVIIIe siècle sur la carte de Cassini
[4].
Troyon: hameau de la commune de Vendresse-et-Troyon est cité pour la première fois en 1136 sous le nom de Troion puis Troium, Tryon-en-Laonnois, Troions et enfin l'orthographe actuelle Troyon au XVIIIe siècle sur la carte de Cassini
[5]. Troyon a été uni a Vendresse par décret du 30 août 1804.
Beaulne: Est cité en 1143 sous le nom de Behelna puis Belna, Biaune, Byanne, Beaunne, Paroisse Saint-Victor de Beaulne, Beaulne et Chivy en 1709. La commune a été instituée par Philippe Auguste en 1184 [6].
Chivy: hameau de la commune de Beaulne-et-Chuvy, est cité en 1184 sous le nom de Chevis puis Chievi, Chiviacum-squper-Auxonam, Chivi-Beaune en 1474 et Chivy-Beaulne en 1685 [7].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom du village apparaît pour la première fois en 1136 sous l'appellation latine de Paxiacum. Ce nom évoluera ensuite de nombreuses fois en fonction des différents transcripteurs :Passi, Passeicum, Paissi, Paysi, Payssiacum, Territorium de Payssi, Passi, Paissiacum, Passiacum et enfin l'écriture actuelle Paissy sur la Carte de Cassini au milieu du XVIIIe siècle [8]
Histoire
[modifier | modifier le code]L'histoire de la commune est consultable dans le Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais paru en 1873 tome3[9]
L'histoire de la commune est consultable dans le Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais paru en 1873 [10].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Logny-lès-Aubenton est traversé par la D 38 qui relie Aubenton à Hannappes.
La ligne de chemin de fer d'Hirson à Liart traverse également le village. Un passage à niveau permet de franchir la Rue de Ribeauvillé.
Paysages et relief
[modifier | modifier le code]-
En arrière-plan, on peut apercevoir la chapelle Saint Jean des vignes.
-
Borne de nivellement sur le mur de l'église - Altitude 370 m.
Monographie
[modifier | modifier le code]La Bibliothèque nationale possède une monographie sur la commune fort complète écrite par Henry-Fernand Carpentier en 1896 consultable en cliquant sur le lien ci-après [11].
Première Guerre mondiale
BEUGNY
Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village de Morchies et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en 1918. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
En mars 1917, les Allemands décident de se retirer sur la Ligne Hindenburg, ligne fortifiée située juste devant Morchies. Le village est évacué de ses habitants. Avant leur départ, les Allemands détruisent tous les bâtiments, coupent les arbres, polluent les puits avec du fumier. Les ruines sont alors occupées par les troupes britanniques.
Le secteur sera de nouveau pris par les allemands le 31 mars 1918 au cours de l' Offensive du Printemps [12] puis de nouveau repris par les alliés en juillet.
Malgré de nombreuses tentatives britanniques percer la Ligne Hindenburg, Morchies ne sera libéré définitivement que le 4 septembre 1918 [13].
Après l'armistice, les habitants reviendront peu à peu dans la commune et une longue période de reconstruction du village commencera grâce aux dommages de guerre.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 le [14].
-
Beugny dans le secteur détruit lors du retrait sur la Ligne Hindenburg. -
Ruines de l'église de Beugny détruite par les Allemands en 1917.
GUERRE 14-18
[modifier | modifier le code]QUéant -
Première Guerre mondiale
Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village de Bullecourt et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en septembre 1918. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
En mars 1917, les Allemands décident de se retirer sur la Ligne Hindenburg, ligne fortifiée située à à la limite de Fontaine-lès-Croisilles.
La Ligne Hindenburg qui comprend un important réseau de barbelés, de bunkers, de postes de mitrailleuses et qui s'appuie sur les constructions non détruites des villages à l'arrière, résistera aux assauts incessants des alliés jusqu'au 27 aôut 1918, date du percement de la ligne Hindenburg entre Drocourt et Quéant par la première Division canadienne. [15].
Evacué de ses habitants dès 1917, le village est complètement détruit.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 le [16].
Alors commença une longue période de reconstruction de l'église, de la mairie, des routes et des habitations grâce aux dommages de guerre.
-
Carte postale de l'église avant 1914. -
Tranchée australiennes à Bullecourt le 8 mai 1917. -
En avril 1917, Fontaine-lès-Croisilles reste en zone allemande sur la Ligne Hindenburg. -
Article de Journal de 1917 relatant les combats à Fontaine-lès-Croisilles. -
Article de Journal relatant la libération de Fontaine-lès-Croisilles le 27 août 1918. . -
La carte des régions dévastées montre que le village de Fontaine-lès-Croisilles est complètement détruit à la fin de la guerre.
GUERRE 14-18
[modifier | modifier le code]QUéant -
Première Guerre mondiale
Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village de Bullecourt et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en septembre 1918. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
En mars 1917, les Allemands décident de se retirer sur la Ligne Hindenburg, ligne fortifiée située à à la limite de Fontaine-lès-Croisilles.
La Ligne Hindenburg qui comprend un important réseau de barbelés, de bunkers, de postes de mitrailleuses et qui s'appuie sur les constructions non détruites des villages à l'arrière, résistera aux assauts incessants des alliés jusqu'au 27 aôut 1918, date du percement de la ligne Hindenburg entre Drocourt et Quéant par la première Division canadienne. [17].
Evacué de ses habitants dès 1917, le village est complètement détruit.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 le [18].
Alors commença une longue période de reconstruction de l'église, de la mairie, des routes et des habitations grâce aux dommages de guerre.
-
Carte postale de l'église avant 1914. -
Tranchée australiennes à Bullecourt le 8 mai 1917. -
En avril 1917, Fontaine-lès-Croisilles reste en zone allemande sur la Ligne Hindenburg. -
Article de Journal de 1917 relatant les combats à Fontaine-lès-Croisilles. -
Article de Journal relatant la libération de Fontaine-lès-Croisilles le 27 août 1918. . -
La carte des régions dévastées montre que le village de Fontaine-lès-Croisilles est complètement détruit à la fin de la guerre.
Gare d'Aubenton
[modifier | modifier le code]
Aubenton | |
Vue de la gare côté voies en octobre 2022 | |
Localisation | |
---|---|
Pays | France |
Commune | Aubenton |
Adresse | Rue de la Gare |
Coordonnées géographiques | 49° 50′ 02″ nord, 4° 11′ 56″ est |
Gestion et exploitation | |
Propriétaire | SNCF |
Exploitant | (Gare fermée) |
Caractéristiques | |
Ligne(s) | Hirson à Amagne - Lucquy |
Voies | 2 |
Quais | 2 |
Altitude | 183 m |
Historique | |
Mise en service | 1885 |
modifier |
La gare d'Aubenton est une ancienne gare ferroviaire française, située sur le territoire de la commune d' Aubenton, dans le département de l' Aisne, en région Hauts de France.
Situation ferroviaire
[modifier | modifier le code]Etablie à 183 m d'altitude, la gare d'Aubenton est située au point kilométrique (PK) 14.450 de la Ligne d'Hirson à Amagne - Lucquy entre les gares de Martigny-Leuze (fermée) et Rumigny (fermée). Les gares ouvertes qui l'encadrent sont celles d' Hirson et de Liart.
Histoire
[modifier | modifier le code]-
La gare d'Aubenton vers 1910 vaec l'arrivée d'un train venant de Rumigny -
Le chef de gare et ses adjoints vers 1920.
Catte gare a été inaugurée le 20 décembre 1885 quelques jours après la mise en servive de la ligne. Désaffectée depuis plusieurs années, la gare a été vendue à une personne privée et est actuellement dans un état de délabrement.
Articles connexes
Notes et références
[modifier | modifier le code]- SNCF, « Fréquentation en gares », sur data.sncf.com, (consulté le ).
- Ces estimations tiennent compte de l'ensemble des voyageurs transitant dans ces gares. Dans le cas où ces dernières sont également implantées sur d'autres lignes ouvertes (elles sont alors mentionnées en caractères gras), une partie du nombre de voyageurs indiqués n'a pas fréquenté la ligne de La Plaine à Hirson et Anor (frontière).
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1101013/f258.image
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f331.item.zoom
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f321.item.zoom
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f366.item.zoom
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f113.item.zoom
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f253.item.zoom
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k361218.r=Beugny?rk=42918;4
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36118c/f16.item
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k135269c/f1.item.r=Iviers
- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Morchies_-_Attaque_allemande_du_31_mars_1918.jpg
- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Morchies_4_septembre_1918.jpg
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- https://www.archivespasdecalais.fr/Decouvrir/Chroniques-de-la-Grande-Guerre/Histoires-de-la-Grande-Guerre/Le-percement-de-la-ligne-Drocourt-Queant-2-3-septembre-1918
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- https://www.archivespasdecalais.fr/Decouvrir/Chroniques-de-la-Grande-Guerre/Histoires-de-la-Grande-Guerre/Le-percement-de-la-ligne-Drocourt-Queant-2-3-septembre-1918
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste de gares en France
- Liste des gares de Champagne-Ardenne
- Ligne d'Hirson à Amagne - Lucquy
- Ligne de Liart à Tournes
- Ligne de Laon à Liart
- Chemin de fer de Romery à Liart
Chapelle-sainte Rradegonde
[modifier | modifier le code]Destination initiale | |
---|---|
Destination actuelle | |
Style | |
Construction |
XVIe siècle |
Propriétaire |
Commune |
Patrimonialité |
Pays | |
---|---|
Département | |
Commune |
Coordonnées |
---|
La chapelle Notre-Dame de Roumé est un édifice religieux situé dans la commune de Cieutat.
Localisation
[modifier | modifier le code]La chapelle est isolée dans la campagne, en bordure de la D 120, à 1 km au sud du village.
Historique
[modifier | modifier le code]Cette chapelle romane, dédiée à Notre-Dame, a connu plusieurs périodes de construction (XVIe siècle, XVIe siècle et XIXe siècle).
Son nom viendrait de Cami roumiou, route qu'empruntaient les pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle.
Classée Monument historique en 1956, elle a été restaurée en 1985.
Architecture
[modifier | modifier le code]La chapelle est édifiée sur un petit monticule et est entourée d'un muret de pierres sèches. Elle mesure 16 m de long sur 6 de large. L'appareil de maçonnerie est en pierre de taille, moellons et aussi galets. De plan trapézoîdal, elle se termine par un chevet à trois pans. La facade aveugle,comporte un clocher-mur avec une baie occupée l'unique cloche.
Intérieur de la chapelle
[modifier | modifier le code]Mobilier intérieur classé [1]:
- Le retable et la statue de la Vierge à l'enfant
- le pupitre d'autel
- la croix d'autel
- les canons d'autel
Galerie
[modifier | modifier le code]-
Ancienne porte murée surmontée d'un chrisme. -
Le chevet à trois pans.
Références
[modifier | modifier le code]Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Notre-Dame de Roumé Notre-Dame de Roumé Catégorie:Monument historique dans les Hautes-Pyrénées Catégorie:Monument historique classé en 1956
Eglise Saint-Médard de Bonnefond
[modifier | modifier le code]Destination actuelle | |
---|---|
Diocèse | |
Dédicataire |
Saint Médard |
Style |
roman |
Construction |
XVe siècle, XVIIIe siècle |
Propriétaire |
Commune |
Pays | |
---|---|
Département | |
Commune |
Coordonnées |
---|
L'église Saint-Médard est une église catholique située à Bonnefond, en France[1].
Localisation
[modifier | modifier le code]L'église est située dans le département français de la Corrèze, sur la commune de Bonnefond, au centre du village, juste à côté du tilleul de Sully.
Histoire
[modifier | modifier le code]L'église de Bonnefond est attestée pour la première fois dans les archives en 1202. Au XIVe siècle, elle dépendait de l'Abbaye de la Chaise-Dieu. Effondré en 1757, le clocher a été reconstruit peu après comme l'atteste une clé de voûte portant cette date[2].
Architecture
[modifier | modifier le code]De style roman, l'église n'est éclairée que par un petit oculus dans la chapelle Saint-Joseph et deux autres petites baies.
L'église est construite en pierre de taille et est recouverte d'ardoises.
A l'ouest, le clocher-mur , avec deux baies campanaires, qui comporte un portail, est supporté par deux imposants contre-forts.
Le plan est formé d'un vaisseau allongé et des voûtes d'ogives supportent l'ensemble.
La nef simple avec deux chapelles latérales est terminée par un chevet plat.
Objets protégés
[modifier | modifier le code]De nombreux objets de cette église, dont la plupart ne sont pas exposés pour éviter les vols, sont inscrits au titre de monuments historiques :
Une croix monumentale du XIVe siècle située contre le mur sud de l'église est inscrite au titre des Monuments historiques [5]
Galerie: extérieur de l'église
[modifier | modifier le code]-
la sacristie est située à l'érrière de l'église. -
. -
. -
La façade et le clocher-mur. -
Croix monumentale cklassée MH sur le mur sud.
Galerie: intérieur de l'église
[modifier | modifier le code]-
La nef. -
La chapelle de la Vierge. -
L'autel de Saint-Jospeh éclairé par un oculus. -
Clé de voûte datée de 1537. -
Statue de Saint-Roch. -
Statue de Saint-Médard.
Lien externe
[modifier | modifier le code]Annexes L'église Saint-Médard de Bonnefond est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[6].
Liens internes
[modifier | modifier le code]Portail|Corrèze|architecture chrétienne|catholicisme}}
Catégories:Liste des églises de la Corrèze|Bonnefond]]
Catégorie:Église dédiée à saint Médard de Noyon|Bonnefond]]
Fin
[modifier | modifier le code]
Gâteau au yaourt | |
Ingrédients typiques du gâteau au yaourt | |
Place dans le service | Dessert |
---|---|
Température de service | refroidi |
Ingrédients | yaourt, farine, sucre, huile, œufs, levure, zeste de citron |
modifier |
Le gâteau au yaourt est un dessert dont la base est un yaourt nature. Le pot du yaourt utilisé sert à doser les autres ingrédients, ce qui simplifie sa réalisation et la rend accessible aux enfants[7],[8].
Histoire
[modifier | modifier le code]Les premières recettes de gâteau au yaourt apparaissent vers 1950 en France[9], après la généralisation de la consommation de yaourt en 1945 après la fin de la Seconde Guerre mondiale[10].
Ingrédients
[modifier | modifier le code]Hormis le yaourt nature, les ingrédients sont basiques : farine, sucre, huile, œufs, levure et zeste de citron [11]. D'autres recettes remplacent l'huile par du beurre.
Ce gâteau peut servir de base en y ajoutant des fruits en morceaux ou en jus, ainsi que du chocolat, des épices, du rhum ou du sucre vanillé.
Recette
[modifier | modifier le code]Mélanger un à un les différents ingrédients dans un saladier en utilisant le pot de yaourt pour quantifier l'huile (1/2 mesure), le sucre (2 mesures), et la farine (3 mesures).
Ajouter 2 ou 3 œufs par pot de yaourt et 1 sachet de levure chimique. Parfumer avec un sachet de sucre vanillé ou un jus de citron.
Puis, beurrer un moule et y verser le mélange.
Enfin, cuire au four préalablement préchauffé pendant 30 minutes à 180° (Thermostat 6).
Diététique
[modifier | modifier le code]Le gâteau au yaourt est un dessert faiblement calorique : environ 200 Kcal pour 100 g[12].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/IA00029872
- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Bonnefond_-Eglise_Historique.jpg
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/IM19000644
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/IM19000645
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/IA00029748
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/IA00029872
- http://www.momes.net/recettes/gateau-yahourt.html
- « Activités manuelles gâteau au yaourt - fr.hellokids.com », sur HelloKids (consulté le ).
- http://www.gateau-yaourt.com/histoire-gateau-yaourt.html
- « Bref. C'est l'histoire du pot de yaourt. », sur Artichaut et cerise noire, (consulté le ).
- « Les ingrédients », sur gateau-au-yaourt.info (consulté le ).
- « CALORIES Gateau au yaourt », sur infocalories.fr (consulté le ).
Annexes
[modifier | modifier le code]Attention : la clé de tri par défaut « Gateau au yaourt » écrase la précédente clé « Église de Sarran ».
BOITE DEROULANTE Modèle vide
[modifier | modifier le code]Boite déroulante Modèles Galerie de photos
[modifier | modifier le code]Galeries : L'église Notre-Dame de Seilhac
Galerie
[modifier | modifier le code]Gallerie sans contour
[modifier | modifier le code]-
Vue de l'arrière de l'église. -
L'église. -
La place de l'éeglise. -
Le calvaire de l'église. -
Ancien puits public devant l'église. -
Photos des soldats de la commune morts pour la France. -
Hommage aux résistants de la commune.
Gallerie avec double contour
[modifier | modifier le code]Gallerie avec contour et nombre de vignettes alignées
[modifier | modifier le code]-
L'église Saint-Éloi.
-
Le colombier près de l'église.
-
Le monument aux morts.
-
Ancien puits public.
-
La rue de l'église.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Ces armoiries sont utilisées par la commune de Morlancourt depuis le milieu du XIXe siècle. Ce sont les armes de la famille de Morlancourt. Elles nous sont connues notamment par un sceau du chevalier Geoffroy de Morlancourt, seigneur du lieu en 1240. Ce sceau est conservé aux Archives départementales de la Somme[1]. Blasonnement :
Ornement extérieur :
|
Boite déroulante Description Eglises
[modifier | modifier le code]Architecture
[modifier | modifier le code]Architecture
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Mathurin : c'est un petit édifice d'une extrême simplicité, se composant d'un vaisseau unique non voûté, avec un chevet à pans coupés et un petit clocher en charpente assis sur l'extrémité occidentale du toit. Les murs sont en brique, assemblées pour former des motifs décoratifs simples, ce qui permet de situer la construction au xvie ou xviie siècle.
La charpente en carène renversée de la nef est le seul élément remarquable de l'église. Contemporaine de sa construction, elle présente des monstres avalant les entraits, et les sablières sont décorées de rinceaux, masques et animaux fantastiques
L'église a été reconstruite entre 1723 et 1728 sur les plans de Jean-François Lurion de l'Egouthail. C'est un édifice orienté, de plan en croix latine. Il comprend un clocher porche hors-œuvre, une nef unique de trois travées, des chapelles latérales et un transept, un chœur d'une travée entre deux sacristies. Abside à trois pans. L'édifice est entièrement voûté d'arêtes. Comme nombre d'églises chrétiennes, l'édifice est orienté est-ouest.
À l'ouest, un clocher massif permet d'accéder à l'édifice par un portail roman dont les chapiteaux ont subi l'usure du temps[3]. Le narthex, surmonté d'une tribune est suivi par une nef simple, terminée par le chœur. Il n'y a pas de chevet, la partie orientale de l'édifice étant mitoyenne d'une maison. La nef est flanquée au sud d'une chapelle latérale.
Le clocher-tour au nord a été bâti en 1671 – 1672 par Jean Labarthe, maitre maçon de Sarrancolin. Au XIXe siècle, les couvertures de la nef et du chœur ont été refaites.
Le plan de l'église de style roman, est simple C'est une nef unique prolongée par une abside semi-circulaire complétée au nord et au sud par deux chapelles latérales. Un imposant clocher-tour à trois niveaux s'élève au nord de l'église.
À l'intérieur, le maître-autel est surmonté d'un tabernacle doré, réalisé à la fin du XVIIe siècle par Baignères, sculpteur de Simorre. Dans le chœur, sont conservées les statues des Quatre Évangélistes (Matthieu, Marc, Luc et Jean).
La chapelle nord de l'église , celle de Saint-Joseph était autrefois dédiée à Sainte-Catherine . Au sud, une autre chapelle était le siège de la confrérie de Notre-Dame-du-Rosaire.
L'église est désorientée, l'abside se trouve accolée au mur oriental du clocher.
La nef unique est prolongée par un chevet plat et l'abside est de forme semi-circulaire. La nef et le clocher sont deux parties distinctes.
L'accès à l'église se fait à l'est par un portail en pierre marbrière, composée de pilastres, de chapiteaux portant un tympan, d'une corniche et d'un fronton surmonté d'un oculus.
Un tympan roman historié (probablement du XIIIe siècle) en réemploi, est situé au-dessus de l’entrée intérieure.
Sur l’autel, le petit tabernacle du XVIIIe siècle a été rénové en 2002. Les vitraux datent des années 1920.
L'église de style roman est bâtie suivant un plan simple. C'est une nef unique voûtée en plein cintre prolongée par une abside semi-circulaire couverte en cul-de-four.
Elle est éclairée uniquement par une baie moulurée dans la paroi sud et par une étroite fenêtre axiale percée dans le contrefort.
L'entrée s'ouvre au nord par un portail dont le vantail est décoré de quatre pentures en fer forgé.
Le clocher-mur a été transformé en clocheton et couvert d'un toit en pavillon.
Le retable monumental et le tabernacle du maître-autel ont été réalisés en 1703 et 1704 par Jean Soustre d'Asté, ancien élève de Jean I Ferrère.
Le retable est dédié à saint Jean le Baptiste. Les colonnes autour de saint Jean le Baptiste sont décorées avec des feuilles de vignes et des grappes de raisins. Les colonnes sont surmontées de chapiteaux corinthiens. Les côtés gauche et droit du retable sont décorés avec des feuillages, des grappes de raisins, des fleurs et des anges. Au sommet du retable est représenté Dieu le Père bénissant et entouré d'anges.
Le tabernacle est dédié à la Vierge Marie.
Sur la porte du tabernacle est représenté la crucifixion de Jésus avec à gauche la Vierge Marie, et à droite saint Jean l'évangéliste. De chaque côté sont placées les statuettes de saint Pierre et de saint Paul.
Sur les panneaux latéraux sont représentés ː
à droite ː l'Annonciation, la statuette placée à droite représente saint Catherine,
à gauche ː l'Assomption de Marie, la statuette placée à gauche représente un apôtre.
Au sommet du tabernacle est placé une statuette de la Vierge à l'Enfant, à droite est placé un ange tenant un chophar.
Le maître-autel est en bois sculpté avec des ornements dorés et des peintures imitant le marbre. Sur la façade est représenté l'Agneau de Dieu.
Le choeur polygonal est voûté avec six branches d'ogives, à la base de chacune est placé une sculpture en pierre de la tête d'un personnage souriant.
Cimetière militaire de la Somme - Forest Communal Cemetery
[modifier | modifier le code]Cimetière militaire britannique de
Forest-en-Cambrésis.
Pays | |
---|---|
Département | |
Commune | |
Tombes |
125 |
Mise en service |
octobre 1918 |
Coordonnées |
Le cimetière « Forest Communal Cemetery » est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale situé sur le territoire de la commune de Forest-en-Cambrésis, Nord.
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière est situé dans le village, au nord-est, à l'angle de la Grande-Rue et de la rue de Fontaine.
Historique
[modifier | modifier le code]l y a maintenant plus de 100 victimes de guerre de 1914 à 1918 commémorées sur ce site. Parmi eux, un petit nombre n’est pas identifié. Tous tombèrent en octobre et novembre 1918, dans les clairières de Forest et des environs. Ils ont été enterrés par les 17e, 33e et 38e divisions (galloises). Treize tombes allemandes d'octobre et novembre 1918 ont ensuite été retirées du cimetière.
Le terrain communal a été conçu par William Harrison Cowlishaw
Total des enterrements : 125.
Victimes identifiées : Royaume-Uni 121.
Victimes non identifiées : 4. Occupée dès la fin août 1914 par les troupes allemandes, Cantaing-sur-Escaut est restée loin des combats jusqu'au 21 novembre 1917, premier jour de la bataille de Cambrai, date à laquelle le village a été capturé par la 51e division britannique avec appui de chars. Il a été tenu contre une attaque le , mais abandonné quelques jours plus tard. Le village a été définitivement repris à la fin de septembre 1918. Ce cimetière a été créé à cette date[4]. [5]. https://www.ww1cemeteries.com/forest-communal-cemetery.html Il y a maintenant plus de 100 victimes de guerre de 1914 à 1918 commémorées sur ce site. Parmi eux, un petit nombre n’est pas identifié. Tous tombèrent en octobre et novembre 1918, dans les clairières de Forest et des environs. Ils ont été enterrés par les 17e, 33e et 38e divisions (galloises). Treize tombes allemandes d'octobre et novembre 1918 ont ensuite été retirées du cimetière
Caractéristique
[modifier | modifier le code]Il y a maintenant 68 victimes de guerre 1914-18 commémorées sur ce site dont 5 ne sont pas identifiées. Le cimetière couvre une superficie de 55 mètres carrés et est entouré par un mur de moellons sur trois côtés.
Galerie
[modifier | modifier le code]Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Royaume-Uni | 125 |
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- Jacques Estienne et Mireille Louis, Armorial du Département et des Communes de la Somme, préface de Pierre-Marcel Wiltzer, Préfet de la régopn Picardie, Préfet de la Somme, Abbeville, 1972, Imprimerie F. Paillart
- Erreur de référence : Balise
<ref>
incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesnote
- (en) « Forest Communal Cemetery - Cemetery Details », sur CWGC (consulté le ).
- (en) « Forest Communal Cemetery - Cemetery Details », sur CWGC (consulté le ).
Liens internes
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Forest-en-Cambrésis
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires du Nord
- Commonwealth War Graves
Liens externes
[modifier | modifier le code]http://www.inmemories.com/Cemeteries/forest.htm
Attention : la clé de tri par défaut « Cimetière militaire britannique de Cantaing-sur-Escaut » écrase la précédente clé « Gateau au yaourt ». [[Catégorie:Cimetière militaire britannique dans le département du Nord [[Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Nord|Cantaing British Cemetery
Cimetière militaire du Pas-de-Calais- Avesnes-le-Comte Communal Cemetery Extension
[modifier | modifier le code]Cimetière militaire d'Avesnes-le-Comte
Pays | |
---|---|
Département | |
Commune | |
Tombes |
337 |
Mise en service |
avril 1916 |
Coordonnées |
Le Avesnes-le-Comte Communal Cemetery Extension est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune d'Avesnes-le-Comte, dans le département du Pas-de-Calais, à l'ouest d'Arras.
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière est situé à 500 m au sud-est de l'agglomération, Rue de Bailleul à la limite des dernières habitations.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le village d'Avesnes-le-Comte fut pendant quelque temps le quartier général du VIe Corps. Les 37e et 30e postes d'évacuation des blessés étaient là à partir d'avril 1916, le 42e en juin 1916 et le 41e en janvier 1917. Le cimetière communal contient 2 sépultures du Commonwealth de la Première Guerre mondiale, toutes deux réalisées en avril 1916. Par la suite, des sépultures ont été faites. dans l'extension, qui contient 333 tombes, dont 4 non identifiées. La plupart d'entre eux appartenaient au 37e CCS qui resta dans le village jusqu'en juillet 1917. L'extension contient également 4 sépultures de la Seconde Guerre mondiale. L'extension a été conçue par Charles Holden. Le village d'Avesnes-le-Comte fut pendant quelque temps le quartier général du VIe Corps. Les 37e et 30e postes d'évacuation des blessés étaient là à partir d'avril 1916, le 42e en juin 1916 et le 41e en janvier 1917.
Le cimetière communal contient 2 sépultures du Commonwealth de la Première Guerre mondiale, toutes deux réalisées en avril 1916.
Par la suite, des sépultures ont été réalisées dans l'extension, qui contient 333 tombes, dont 4 non identifiées. La plupart d'entre eux appartenaient au 37e CCS qui resta dans le village jusqu'en juillet 1917.
Total des enterrements : 337.
Victimes identifiées de la Première Guerre mondiale : Royaume-Uni 322, Canada 4, Afrique du Sud 3. Total 329.
Victimes non identifiées de la Première Guerre mondiale : Royaume-Uni 4.
Victimes identifiées de la Seconde Guerre mondiale : Royaume-Uni 4.
L'extension a été conçue par Charles Holden et William Cowlishaw
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Ce vaste cimetière a un plan rectangulaire de 50 m sur 35.
Il est entouré par un muret de briques .
Le cimetière a été conçu par Sir Reginald Blomfield et William Harrison Cowlishaw.
Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Canada | 382 |
Royaume-Uni | 126 |
Total | 508 |
Galerie
[modifier | modifier le code]Liens internes
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires du Pas-de-Calais
- Commonwealth War Graves
- Bataille d'Arras
- Thélus
Catégorie:Cimetière militaire britannique dans le Pas-de-Calais]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Pas-de-Calais]]
Cimetière militaire du Pas-de-Calais- Bois-Carré British Cemetery
[modifier | modifier le code]Cimetière britannique du Bois-Carré
Pays | |
---|---|
Département | |
Commune | |
Tombes |
508 |
Mise en service |
avril 1917 |
Coordonnées |
Le Bois-Carré British Cemetery, Thélus est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Thélus, dans le département du Pas-de-Calais, au nord-est d'Arras.
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière est situé à 500 m au sud-est de l'agglomération, Rue de Bailleul à la limite des dernières habitations.
Histoire
[modifier | modifier le code]
NINE ELMS" était le nom donné par l'Armée à un groupe d'arbres situé à 460 mètres à l'est de la route principale Arras-Lens, entre Thélus et Roclincourt. Le cimetière a été commencé, après la prise de la crête de Vimy, par l'inhumation dans l'actuel Parcelle I, rangée A de 80 hommes du 14e Bataillon d'infanterie canadien, tombés le 9 avril 1917, et cette rangée ainsi que la suivante furent comblées en juin 1917. Trois enterrements furent effectués dans la parcelle I, rangée C, en juillet 1918.
tombé les 9 et 10 avril 1917. LE CIMETIÈRE ROCLINCOURT SQUARE (ou Roclincourt Forward Cemetery No.5), à 1 kilomètre au nord du village de Roclincourt, renfermait les tombes de 23 soldats de la 51e (Highland) Division tombés le 9 avril 1917. 1917. SEAFORTH GRAVE, ROCLINCOURT (ou Roclincourt Forward Cemetery No.4), un peu au nord-ouest du cimetière Square. Ici furent enterrés douze sous-officiers. et des hommes du 1er/4e Bn. Seaforth Highlanders tombé le 9 avril 1917. *Les nombreux groupes de tombes creusés à cette époque par l'officier des funérailles du Corps canadien n'étaient, en règle générale, pas nommés, mais numérotés et numérotés en série. Près de 700 victimes de guerre de 1914 à 1918 sont aujourd'hui commémorées sur ce site. Parmi eux, près de 150 ne sont pas identifiés et un mémorial spécial est érigé en l'honneur d'un soldat canadien, qui serait enterré parmi eux. D'autres monuments commémoratifs spéciaux enregistrent les noms de 44 soldats du Canada et dix du Royaume-Uni, enterrés dans d'autres cimetières, dont les tombes ont été détruites par des tirs d'obus. Quatre tombes du Parcelle IV, identifiées dans leur ensemble mais non individuellement, sont marquées par des pierres tombales portant la mention supplémentaire : « Enterrée à proximité de cet endroit ». La grande majorité des tombes britanniques datent d’avril 1917 ; les Français sont de 1914 et 1915. 177 tombes françaises ont été déplacées vers d'autres cimetières. Le cimetière couvre une superficie de 3 355 mètres carrés et est entouré d'un muret de briques.
Le village de Thélus a été capturé par l'armée canadienne le 9 avril 1917, premier jour de la Bataille d'Arras et est resté aux mains des Britanniques jusqu'à la fin de la guerre.
Le cimetière britannique de Bois-Carré a été commencé par des unités de la 1re Division canadienne en avril 1917 pour inhumer les doldats victimes des combats. Il fut utilisé jusqu'en joint juin suivant.
Après l'armistice, ce cimetière fut considérablement agrandi par la concentration des nombreuses tombes des cimetières provisoires des environs.
Il y a maintanant 502 victimes de la Première Guerre Mondiale et 6 de la Seconde Guerre commémorées sur ce site dont 59 ne sont pas identifiés
[3],[4].
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Ce vaste cimetière a un plan rectangulaire de 50 m sur 35.
Il est entouré par un muret de briques .
Le cimetière a été conçu par Sir Reginald Blomfield et William Harrison Cowlishaw.
Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Canada | 382 |
Royaume-Uni | 126 |
Total | 508 |
Galerie
[modifier | modifier le code]Liens internes
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires du Pas-de-Calais
- Commonwealth War Graves
- Bataille d'Arras
- Thélus
Catégorie:Cimetière militaire britannique dans le Pas-de-Calais]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Pas-de-Calais]]
Cimetière militaire du Pas-de-Calais- Ayette British Cemetery Photos à mettre + nombre de victimes
[modifier | modifier le code]Pays | |
---|---|
Département | |
Commune | |
Tombes |
678 |
Mise en service |
avril 1918 |
Coordonnées |
Le Ayette British Cemetery est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune d' Ayette, dans le département du Pas-de-Calais, au sud d'Arras.
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière est situé derrière une cour de ferme, au nord-ouest de l'hôtel de ville. Il est accessible depuis la Rue du 11 Novembre par un chemin d'une centaine de mètres.
Histoire
[modifier | modifier le code]
Le village d'Ayette resta aux mains des Britanniques de mars 1916 jusqu'au 27 mars 1918, date à laquelle il tomba aux mains des Allemands lors de l'Offensive du Printemps. Il fut le théâtre de combats de la Division des Gardes le 28, et fut repris par la 32e Division le 3 avril 1918. Le cimetière britannique d'Ayette fut construit par les unités combattantes en mars-juin 1918
[5],[6].
Six cents mètres plus au sud se trouve le cimetière indien et chinois d'Ayette.
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Ce cimetière présente un plan rectangulaire de 23 m sur 13.
Il est entouré entièrement clos par un muret de brique.
La Croix du Sacrifice se dresse sur un plateau surélevé contre le mur nord.
Le cimetière a été conçu par William Cowlishaw.
Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Royaume-Uni | |
Allemagne | |
Total |
Galerie
[modifier | modifier le code]Liens internes
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires du Pas-de-Calais
- Commonwealth War Graves
- Bataille d'Arras
- Averdoingt
Catégorie:Cimetière militaire britannique dans le Pas-de-Calais]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Pas-de-Calais]]
Cimetière militaire du Pas-de-Calais- Ligny-St-Flohel British Cemetery, Averdoingt
[modifier | modifier le code]Entièrement fini manquenr les photos
Pays | |
---|---|
Département | |
Commune | |
Tombes |
678 |
Mise en service |
avril 1918 |
Coordonnées |
Le Ligny-St-Flohel British Cemetery, Averdoingt est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune d' Averdoingt, dans le département du Pas-de-Calais, au sud-ouest d'Arras.
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière est situé à 1 km au nord-ouets du la commune, sur la D81, en limite de la commune de Ligny-Saint-Flochel.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le secteur resta, tout au long de la guerre, loin du front qui se situait à un vingtaine de kilomètres à l'est aux environs d'Arras. Le village servira de base arrière à l'armée française jusqu'en juin 1915 puis aux armées du Commonwealth.
En avril 1918, en prévision d'une avancée allemande, des hôpitaux militaires furent implantés dans les secteur. C'est à cette date que fut commencé ce cimetière pour inhumer les soldats décédés des suites de leurs blessures. Il y a aujourd'hui 632 sépultures du Commonwealth de la Première Guerre mondiale dans ce cimetière et 46 autres tombes de guerre allemandes
[7],[8].
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]ce cimetière présente un plan quasi-carré de 40 m de côté.
Il est entouré entièrement clos par un muret de brique.
Le cimetière a été conçu par Sir Reginald Blomfield.
Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Royaume-Uni | 632 |
Allemagne | 46 |
Total | 678 |
Galerie
[modifier | modifier le code]Liens internes
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires du Pas-de-Calais
- Commonwealth War Graves
- Bataille d'Arras
- Averdoingt
Catégorie:Cimetière militaire britannique dans le Pas-de-Calais]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Pas-de-Calais]]
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière est situé à l'ouest du village, à proximité des dernières habitations.
Histoire
[modifier | modifier le code]Situé à quelques kilomètres de la ligne de front, c'est dans ce secteur qu'ont été implantés des hôpitaux de campagne pour soigner les blessés évacués de la zone de combats lors de la Bataille de la Somme .
Le cimetière d'Acheux fut commencé en juillet 1916.
Il fut abandonné en novembre et le resta jusqu'à ce que les Allemands lancent leur Offensive du Printemps qui ramena la ligne de front alliée à moins de 8 kilomètres à l'est d'Acheux en avril 1918. De nouvelles inhumations eurent lieu à cette période [9].
Le cimetière compte aujourd'hui 180 sépultures de la Première Guerre mondiale.
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Ce cimetière a un plan quasi rectangulaire de 40 m sur 20.
Il est clos par un muret de moellons sur trois côtés et d'une haie d'arbustes.
Le cimetière a été conçu par N. A. Rew.
Sépultures
[modifier | modifier le code]Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Royaume-Uni | 179 |
Canada | 1 |
Total | 180 |
Galerie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires de la Somme
- Bataille de la Somme
- Commonwealth War Graves
- Acheux-en-Amiénois
- Portail de la Première Guerre mondiale
- Portail de la Somme
- Portail de la Picardie
- Portail du Royaume-Uni
Catégorie:Cimetière militaire britannique en France|Acheux Military Cemetery ]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans la Somme| Acheux Military Cemetery]] Catégorie:Cimetière dans la Somme| Acheux-en-Amiénois]]
Pays | |
---|---|
Région | |
Département | |
Commune | |
Tombes |
1 220 |
Mise en service |
1916 |
Coordonnées |
Le Varennes Military Cemetery est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Varennes-en-Croix, dans le département de la Somme, au nord-est d'Amiens.
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière, situé au nord-oust du village, Route de Léalvillers, non loin du cimetière communal.
Histoire
[modifier | modifier le code]Situé à quelques kilomètres de la ligne de front, c'est dans ce secteur a qu'ont été implantés des hôpitaux de campagne pour soigner les blessés évacués de la zone de combats lors de la Bataille de la Somme.
Le cimetière a été commencé en septembre 1916 pour inhumer les soldats décédés des suites de leurs blessures.
Il fut abandonné en novembre et le resta jusqu'à ce que les Allemands lancent leur Offensive du Printemps dans le secteur en avril 1918 date à laquelle de nouvelles inhumations eurent lieu
[10].
Ce vaste cimetière comporte 1220 sépultures, principalement de soldats britanniques (1192). Comme les soldats arrivaient blessés avec leur plaque d'identification, contrairement aux cimetières de la ligne de front, ici un seul n'est pas identfié.
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Ce vaste cimetière a un plan quasi carré de 55 m de côté .
Il est clos par une haie d'arbustes sur trois côtés.
Ce cimetière a été conçu par Sir Reginald Blomfield.
Sépultures
[modifier | modifier le code]Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Royaume-Uni | 1 192 |
Australie | 2 |
Canada | 5 |
Nouvelle-Zélande | 16 |
Afrique du Sud | 4 |
Allemagne | 1 |
Total | 1 220 |
Galerie
[modifier | modifier le code]-
Soldats tombés lors de l'Offensive du Printemps allemande en septembre 1918. -
Soldats blessés lors de la Bataille de la Somme et décédés en ce lieu en novembre 1916.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires de la Somme
- Bataille de la Somme
- Commonwealth War Graves
- Varennes-en-Croix
- Portail de la Première Guerre mondiale
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Catégorie:Cimetière militaire britannique en France|Varennes Military Cemetery ]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans la Somme| Varennes Military Cemetery]] Catégorie:Cimetière dans la Somme| Varennes-en-Croix]]
Style | |
---|---|
Construction |
XVIIe siècle, XVIIIe siècle et XIXe siècle |
Propriétaire |
Commune |
Patrimonialité |
Pays |
France |
---|---|
Département | |
Commune |
Coordonnées |
---|
L'église Saint-Martin est une église située sur le territoire de la commune de Féron, dans le département du Nord [12].
Localisation
[modifier | modifier le code]L'église est située sur la commune de Féron, dans le département du Nord.
Description
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Martin est protégée par un imposant donjon à base carré de 8 m de côté surmonté d'un toit à quatre pans en ardoise. Trois niveaux de construction sont bien démilmités: les deux niveaux inférieurs en granit grosier et la partie supérieure en brique. Les deux niveaux supérieurs sont eux-mêmes divisés chacun en deux étages avec une porte centrale et des meurtrières ( la porte du haut a été remplacée par l'horloge).
Sur la partie en brique sont fixés les quatre chiffres en fer forgé qui scellent la date de construction de l'édifice: 1614.
Historique
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Martin est construite en 1614. Des phases de reconstruction de la nef auront lieu au XVIIIe siècle et XIXe siècle.
Mobilier
[modifier | modifier le code]L'essentiel du mobilier de l'église est classé à l'inventaire général du patrimoine culturel en particulier :
- Le maître-autel en bois peint du XVIIe
- L'autel de la Sainte-Vierge et son retable
- La statue de la Vierge à l'enfant
- Le groupe sculpté de Saint Marin et le pauvre
- La statue de Saint-Nicolas
Galerie
[modifier | modifier le code]Cartes postales anciennes
[modifier | modifier le code]-
. -
Carte postale de l'église vers 1910. -
Carte postale de l'église vers 1910. -
.
Extérieur de l'église saint-Martin
[modifier | modifier le code]-
Vue latérale de l'église côté sud. -
Vue du donjon côté sud. -
Le donjon portant la date de construction: 1614. -
Tour flanquée sur le côté nord du donjon. -
Vue latérale.
Intérieur de l'église saint-Martin
[modifier | modifier le code]-
La nef. -
La nef côté porche. -
Pierre tombale datée de 1674. -
Plaque hommage 14-18. -
Les stalles. -
La cuve baptismale.
Intérieur de l'église saint-Martin : éléments classés
[modifier | modifier le code]-
Autel de la Vierge et son retable du XVIIIe siècle . -
Autel de Saint-Martin. -
Le maître-autel en bois peint du XVIIIe siècle. -
Groupe sculpté Saint-Martin et le pauvre en bois taillé polychrome du XVIIe siècle . -
Saint Nicolas et les trois clercs au saloir en bois pein du XVIIIe siècle. -
Socle de croix en pierre daté de 1559.
Annexes
[modifier | modifier le code]Liens internes
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- (en) « Avesnes-le-Comte Communal Cemetery Extension », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
- (en) « =Avesnes-le-Comte Communal Cemetery Extension », sur https://www.ww1cemeteries.com/avesnes-le-comte-communal-cemetery-extension.html (consulté le Mois invalide (mail))
- (en) « Crump Trench British Cemetery, Fampoux », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
- (en) « Cremp Trench British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
- (en) « Crump Trench British Cemetery, Fampoux », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
- (en) « Cremp Trench British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
- (en) « Crump Trench British Cemetery, Fampoux », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
- (en) « Cremp Trench British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
- https://www.cwgc.org/visit-us/find-cemeteries-memorials/cemetery-details/11501/acheux-british-cemetery/
- https://www.cwgc.org/visit-us/find-cemeteries-memorials/cemetery-details/7200/varennes-military-cemetery/
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00107525
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00107525
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Catégorie:Féron]] Catégorie:Église fortifiée en Thiérache|Féron]] Catégorie:Monument historique inscrit en 1934]] Catégorie:Église dédiée à saint Martin|Féron]] Catégorie:Église monument historique dans le Féron Saint-Martin]]
= GUERRE 14-18
[modifier | modifier le code]Première Guerre mondiale
Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands envahissent la France et poursuivent leur route vers l'ouest. Le front se stabilisera ensuite du côté de Péronne. Pour cette raison, Morlancourt restera loin des combats jusqu'au printemps 1918. En juillet 1916, un hôpital de campagne britannique s'installe à l'ouest du village pour soigner les victimes de la Bataille de la Somme. Les soldats décédés des suites de leurs blessures seront inhumés dans le cimetière qui porte le nom de Morlancourt British Cemetery N°1.
En mars 1918, l'Etat-Major allemand lance l'Offensive du printemps dont le but est de prendre Amiens. Peu de temps après, les Allemands s'emparent de Morlancourt. Evacué des tous ses habitants, le village restera sur la ligne de front jusqu'à sa libération par les troupes britanniques fin août 1918 et sera complètement détruit.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 le [1].
Alors commença une longue période de reconstruction de l'église, de la mairie, des routes et des habitations grâce aux dommages de guerre.
-
Carte postale de l'église avant 1914. -
Vue du village avant 1914. -
Ruines du village en septembre 1918. -
Journal relatant les combats à Morlancourt en août 1918. -
Le village en ruines en 1919. -
La carte des régions dévastées montre que le village est complètement détruit.
Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Neuilly-sur-Suize
[modifier | modifier le code]Style |
Gothique |
---|---|
Construction |
XVe siècle |
Propriétaire |
Commune |
Patrimonialité |
Pays | |
---|---|
Département | |
Commune |
Coordonnées |
---|
L' église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Neuilly-sur-Suize est une église de style gothique située à Neuilly-sur-Suize, dans le département de la Haute-Marne, en France.
Historique
[modifier | modifier le code]Cette église qui date de la fin du XVe siècle est de style gothique flamboyant. Cinq chapelles latérales d'inégales dimensions (3 du côté sud et 2 du côté nord) s'ouvrent sur la nef terminée par un chevet plat. Le clocher est bâti au-dessus de la dernière chapelle du côté nord [2].
Objets d'art
[modifier | modifier le code]- Statue de Saint-Pierre, pape, pierre polychrome du XVIe siècle
- Vierge à l'enfant en pierre polychrome du XVIe siècle
- Vierge de pitié en pierre polychrome du XVIe siècle
- Saint-Hubert, statue équestre en pierre polychrome du XVIe siècle
- Retable d'autel en pierre datant de 1611
- Maître autel en bois sculpté peint doré du XVIIIe siècle
- Cadran solaire à l'angle de la chapelle sud daté de 1608
L'église est inscrite au titre de monument historique le [3].
Intérieur de l'église saint-Martin
[modifier | modifier le code]-
Le nef. -
Le bas-Côté sud. -
La chaire. -
Vitrail monumental. -
Le choeur. -
Chemin de croix de style moderne.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Neuilly-sur-Suize_-_Eglise_Historique.jpg
- « Eglise Notre-Dame de l'Assomption », notice no PA00079158, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
Liens internes
[modifier | modifier le code]
- Portail des monuments historiques français
- Portail de l’architecture chrétienne
- Portail de la Haute-Marne
Catégorie:Église monument historique en Haute-Marne| Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Neuilly-sur-Suize]] Catégorie:Monument historique inscrit en 1928]] Catégorie:Église dédiée à Saint-Pierre-et-Saint-Paul |Neuilly-sur-Suize]]
Église Saint-Eutrope de Grandsaigne
[modifier | modifier le code]
Église Saint-Eutrope-de-Saintes de Grandsaigne | |
Vue de la façade avec son clocher-mur. | |
Présentation | |
---|---|
Dédicataire | Saint Eutrope |
Type | Église |
Début de la construction | XIVe siècle |
Style dominant | roman |
Géographie | |
Pays | France |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Corrèze |
Ville | Grandsaigne |
Coordonnées | 45° 29′ 23″ nord, 1° 55′ 07″ est |
modifier |
L'Église Saint-Eutrope-de-Saintes de Grandsaigne est une église située à Grandsaigne dans le département de la Corrèze.
Architecture
[modifier | modifier le code]Comme la plupart des églises chrétiennes, l'édifice est orienté est-ouest. Les murs sont en granit et pierre de taille. Le toit est actuellement recouvert d'ardoises. A l'ouest, percé d'un portail de style roman, le clocher-mur avec deux baies campanaires, est supporté par deux imposants contre-forts.
Intérieur
[modifier | modifier le code]La nef simple avec deux chapelles latérales est terminée par un chevet à trois pans dont les baies sont ornées de simples vitres.
L'église ne comporte pas de chemin de croix.
Mobilier remarquable
[modifier | modifier le code]- Le maître-autel
- statue de Saint-Madeleine
- statue en bois du Christ
- retable de Saint-Eutrope
Extérieur de l'église
[modifier | modifier le code]-
Vue latérale de l'église. -
Portail latéral. -
Sculpture sur le fronton du portail. -
Vue du clocher-mur. -
.
Intérieur de l'église
[modifier | modifier le code]-
La nef. -
La nef côté porche. -
Statue de Saint-Roch. -
Le maître-Autel. -
Retable de Saint-Eutrope. -
La chapelle de la Vierge. -
Statue de Sainte-Madeleine détail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]
Catégorie:Église en Corrèze|Grandsaigne]]
Catégorie:Église dédiée à Saint Eutrope|Grandsaigne]]
Église Saint-Pierre-ès-Liens de Sarran
[modifier | modifier le code]
Église Saint-Pierre-ès-Liens de Sarran | |
Vue latérale de l'église, à gauche les tours du château, au premier plan, le tilleul planté én 1831. | |
Présentation | |
---|---|
Dédicataire | Notre-Dame |
Type | Église |
Début de la construction | XIIe siècle |
Fin des travaux | XIXe siècle |
Style dominant | roman |
Protection | Classé MH (1977)[1] |
Géographie | |
Pays | France |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Corrèze |
Ville | Sarran (Corrèze) |
Coordonnées | 45° 22′ 00″ nord, 1° 42′ 40″ est |
modifier |
L'église Notre-Dame de Seilhac est une église située à Seilhac dans le département de la Corrèze.
Histoire
[modifier | modifier le code]Architecture
[modifier | modifier le code]L'abside à pans coupés et le chœur ont été classés au titre des Monuments historique e 1977. [2].
Extérieur de l'église
[modifier | modifier le code]Intérieur de l'église
[modifier | modifier le code]
Cartes postales anciennes
[modifier | modifier le code]Galerie
[modifier | modifier le code]
Notes et références
[modifier | modifier le code]Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Portail des monuments historiques français
- Portail de la Corrèze
- Portail de l’architecture chrétienne
- Portail du catholicisme
Attention : la clé de tri par défaut « Eglise Notre-Dame de Seihac » écrase la précédente clé « Cimetière militaire britannique de Cantaing-sur-Escaut ». Catégorie:Église en Corrèze|Notre-Dame Seilhac]] Catégorie:Église dédiée à Notre-Dame|Seilhac]] Catégorie:Église monument historique en Corrèze|Seilhac Notre-Dame]] Catégorie:Monument historique inscrit en 1977]]
Église Saint-Pierre de Saint-Père-Marc-en-Poulet
[modifier | modifier le code]
Église Saint-Pierre de Saint-Père-Marc-en-Poulet | |||
Vue du clocher de l'église. | |||
Présentation | |||
---|---|---|---|
Culte | catholique | ||
Type | église paroissiale | ||
Rattachement | Archidiocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo | ||
Début de la construction | 1901 | ||
Fin des travaux | 1904 | ||
Style dominant | néo-gothique | ||
Protection | Inscrit MH (1996) | ||
Géographie | |||
Pays | France | ||
Région | Bretagne | ||
Département | Ille-et-Vilaine | ||
Commune | Saint-Père-Marc-en-Poulet | ||
Coordonnées | 48° 34′ 12″ nord, 1° 58′ 24″ ouest | ||
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : France
| |||
modifier |
L'église Saint-Pierre de Saint-Père-Marc-en-Poulet est une église du XXe siècle située à Saint-Père-Marc-en-Poulet, en France.
Localisation
[modifier | modifier le code]L'église est située au centre de la commune de Saint-Père-Marc-en-Poulet, dans le département d'Ille-et-Vilaine.
Historique
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Pierre de Saint-Père-Marc-en-Poulet a été construite entre 19o1 et 1904 pour remplacer une église du XXe siècle jugée trop vétuste. Une pierre gravée insérée dans le mur nord rapelle la date de construction de l'église primitive[1]. L'église Saint-Pierre[2] possède un vitrail comportant des fragments du XIVe siècle, classé monument historique en tant qu'objet[3], remontés par le maître verrier Charles Lorin de Chartres dans les années 1920.
Galeries
[modifier | modifier le code]Extérieur de l'église
[modifier | modifier le code]-
-
Vue du chevet. -
La façade. -
Le clocher -
Le porche latéral. -
Pierre tombale des seigneures de Saint-Père.
Extérieur de l'église
[modifier | modifier le code]-
Vue de la partie sud. -
Le chevet plat. -
. -
Le portail principal. -
Le portail principal.
Intérieur de l'église
[modifier | modifier le code]-
La nef. -
La nef côté porche. -
Le maître-autel. -
Le balcon intérieur en pierre sculptée. -
Le bénitier.
Vitraux
[modifier | modifier le code]-
Vitrail de la Résurrection, baie 10.
-
Détail baie 10.
-
Vitrail du souvenir, baie 7.
-
Détail baie 7.
-
Détail baie 7.
-
Vitrail de saint Malo, baie 5.
Annexes
[modifier | modifier le code]Liens internes
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Eglise_Saint-Pierre_de_Saint-P%C3%A8re-Marc-en-Poulet_-_historique.jpg
- « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00130811, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Verrières : scènes de la Résurrection et du Jugement dernier », notice no PM35000641, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Portail des monuments historiques français
- Portail d’Ille-et-Vilaine
- Portail de Saint-Malo et de sa région
- Portail de l’architecture chrétienne
Catégorie:Église en Ille-et-Vilaine|Saint-Pierre]] Catégorie:Monument historique en Ille-et-Vilaine]] Catégorie:Monument historique classé en 1996]] Catégorie:Église monument historique en Bretagne|Saint-Père-Marc-en-Poulet]]
Eglise de Notre-Dame de Seihac
[modifier | modifier le code]
Eglise Notre-Dame de Seilhac | |
Vue latérale de l'église, à gauche les tours du château, au premier plan, le tilleul planté én 1831. | |
Présentation | |
---|---|
Dédicataire | Notre-Dame |
Type | Église |
Début de la construction | XIIe siècle |
Fin des travaux | XIXe siècle |
Style dominant | roman |
Protection | Classé MH (1977)[1] |
Géographie | |
Pays | France |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Corrèze |
Ville | Seilhac |
Coordonnées | 45° 22′ 00″ nord, 1° 42′ 40″ est |
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L'église Notre-Dame de Seilhac est une église située à Seilhac dans le département de la Corrèze.
Histoire
[modifier | modifier le code]Une première église est mentionnée au Xe siècle dans un legs au monastère de Tulle sous le nom de Sainte-Marie de Seilhac [2]. En 1154, une bulle du pape Adrien II mentionne le seconde église dont il ne subsiste aujourdh'hui que le chœur. En 1660, un incendie détruisit la nef qui e fut reconstruite qu'un siècle plus tard. En 1955, la flèche fut détruite par un incendie provoqué par la foudre.
Architecture
[modifier | modifier le code]L'abside à pans coupés et le chœur ont été classés au titre des Monuments historique e 1977. [3].
Extérieur de l'église
[modifier | modifier le code]-
Carte postale du village avec vue de l'église avant 1914. -
Carte postale de l'église avant 1914.
Cartes postales anciennes
[modifier | modifier le code]-
Vue du village en 1908. -
La Grande-Rue, actuelle Rue Léon Mougeot. -
La Grande-Rue, vue du bas. -
La Grande-Rue avec le garde-champêtre. -
Vue de la mairie vers 1910.. -
Panorama du village.
Extérieur de l'église
[modifier | modifier le code]-
Le vaste escalier conduisant au porche. -
Le clocher-mur. -
Les trois cloches. -
Vue du côté sud. -
Le porche couvert.
Intérieur de l'église
[modifier | modifier le code]-
La nef -
La nef côté porche -
Chemin de croix -Station VII. -
Retable de la Vierge. -
Statue de Saint Roch.
Intérieur de l'église=
[modifier | modifier le code]-
La nef. -
Le bas-côté nord -
Statue de Saint-Pierre. -
Détail des sculptures de la chaire. -
Un vitrail.
Intérieur de l'église
[modifier | modifier le code]-
La nef. -
Le retable du maître-autel. -
Autel de la Vierge. -
Détail des sculptures de la chaire. -
Le bas-côté sud.
Eglise Saint-Martin
[modifier | modifier le code]-
Monument hommage à Jean Ségurel. -
Ancienne Auberge Jean Ségurel. -
Sépulture de Jean Ségurel au cimetière de Chaumeil.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Portail des monuments historiques français
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- Portail de l’architecture chrétienne
- Portail du catholicisme
Catégorie:Église en Corrèze|Notre-Dame Seilhac]]
Catégorie:Église dédiée à Notre-Dame|Seilhac]]
Catégorie:Église monument historique en Corrèze|Seilhac Notre-Dame]]
Catégorie:Monument historique inscrit en 1977]]
Cimetière militaire du Pas-de-Calais- Quebec Cemetery, Chérisy
[modifier | modifier le code]Pays | |
---|---|
Département | |
Commune | |
Tombes |
337 |
Mise en service |
avril 1916 |
Coordonnées |
Le Quebec Cemetery, Chérisy est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Chérisy, dans le département du Pas-de-Calais, au sud-est d'Arras.
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière est situé à 500 m au sud-est de l'agglomération, Rue de Bailleul à la limite des dernières habitations.
Histoire
[modifier | modifier le code]Cavalerie : Lorsque l'impasse sur le front occidental prit fin en 1918, la cavalerie alliée reprit l'offensive, poursuivant et attaquant les forces allemandes en retraite. La cavalerie canadienne traverse un pays nouvellement capturé près de Cherisy.© IWM (CO 3230) Le village de Cherisy fut capturé par la 18e Division le 3 mai 1917, mais perdu la même nuit. Il est ensuite resté aux mains des Allemands jusqu'à ce qu'il soit repris par le Corps canadien le 27 août 1918. Le cimetière de Québec a été construit par des unités combattantes et ceux qui y sont enterrés, principalement des hommes des 22e et 24e bataillons d'infanterie canadienne (tous deux du Québec), ont été tués entre 26 août et 28 septembre 1918. Le cimetière de Québec contient 195 sépultures de la Première Guerre mondiale, dont 12 non identifiées. Le cimetière a été conçu par G H Goldsmith.
Le village de Cherisy fut capturé par la 18e Division le 3 mai 1917, mais perdu la même nuit. Elle resta ensuite aux mains des Allemands jusqu'à ce qu'elle soit reprise par le Corps canadien le 27 août 1918.
Le cimetière de Québec a été construit par des unités combattantes et ceux qui y sont enterrés, principalement des hommes des 22e et 24e bataillons d'infanterie canadienne (tous deux originaires de Québec), ont été tués entre le 26 août et le 28 septembre 1918.
Le cimetière de Québec contient 195 sépultures de la Première Guerre mondiale, dont 12 non identifiées.
Total des sépultures : 195.
Victimes identifiées : Canada 179, Royaume-Uni 4. Total 183.
Victimes non identifiées : Canada 10, Royaume-Uni 2. Total 12.
Le cimetière a été conçu par G H Goldsmith
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Ce vaste cimetière a un plan rectangulaire de 50 m sur 35.
Il est entouré par un muret de briques .
Le cimetière a été conçu par Sir Reginald Blomfield et William Harrison Cowlishaw.
Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Canada | 382 |
Royaume-Uni | 126 |
Total | 508 |
Galerie
[modifier | modifier le code]Liens internes
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires du Pas-de-Calais
- Commonwealth War Graves
- Bataille d'Arras
- Thélus
Catégorie:Cimetière militaire britannique dans le Pas-de-Calais]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Pas-de-Calais]]
Cimetière militaire du Nord- Saint-Vaast Communal Cemetery Extension
[modifier | modifier le code]Extension du cimatière communal de Saint-Vaast
Pays | |
---|---|
Région | |
Département | |
Commune | |
Tombes |
46 |
Mise en service |
novembre 1916 |
Coordonnées |
Le Hunter's Cemetery (Le Cimetière des Chasseurs) est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale situé sur le territoire de la commune de Beaumont-Hamel, dans le département de la Somme, au nord-est d'Amiens.
Cimetière militaire du Pas-de-Calais- Quebec Cemetery, Chérisy
[modifier | modifier le code]Pays | |
---|---|
Département | |
Commune | |
Tombes |
337 |
Mise en service |
avril 1916 |
Coordonnées |
Le Quebec Cemetery, Chérisy est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Chérisy, dans le département du Pas-de-Calais, au sud-est d'Arras.
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière est situé à 500 m au sud-est de l'agglomération, Rue de Bailleul à la limite des dernières habitations.
Histoire
[modifier | modifier le code]Cavalerie : Lorsque l'impasse sur le front occidental prit fin en 1918, la cavalerie alliée reprit l'offensive, poursuivant et attaquant les forces allemandes en retraite. La cavalerie canadienne traverse un pays nouvellement capturé près de Cherisy.© IWM (CO 3230) Le village de Cherisy fut capturé par la 18e Division le 3 mai 1917, mais perdu la même nuit. Il est ensuite resté aux mains des Allemands jusqu'à ce qu'il soit repris par le Corps canadien le 27 août 1918. Le cimetière de Québec a été construit par des unités combattantes et ceux qui y sont enterrés, principalement des hommes des 22e et 24e bataillons d'infanterie canadienne (tous deux du Québec), ont été tués entre 26 août et 28 septembre 1918. Le cimetière de Québec contient 195 sépultures de la Première Guerre mondiale, dont 12 non identifiées. Le cimetière a été conçu par G H Goldsmith.
Le village de Cherisy fut capturé par la 18e Division le 3 mai 1917, mais perdu la même nuit. Elle resta ensuite aux mains des Allemands jusqu'à ce qu'elle soit reprise par le Corps canadien le 27 août 1918.
Le cimetière de Québec a été construit par des unités combattantes et ceux qui y sont enterrés, principalement des hommes des 22e et 24e bataillons d'infanterie canadienne (tous deux originaires de Québec), ont été tués entre le 26 août et le 28 septembre 1918.
Le cimetière de Québec contient 195 sépultures de la Première Guerre mondiale, dont 12 non identifiées.
Total des sépultures : 195.
Victimes identifiées : Canada 179, Royaume-Uni 4. Total 183.
Victimes non identifiées : Canada 10, Royaume-Uni 2. Total 12.
Le cimetière a été conçu par G H Goldsmith
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Ce vaste cimetière a un plan rectangulaire de 50 m sur 35.
Il est entouré par un muret de briques .
Le cimetière a été conçu par Sir Reginald Blomfield et William Harrison Cowlishaw.
Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Canada | 382 |
Royaume-Uni | 126 |
Total | 508 |
Galerie
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[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires du Pas-de-Calais
- Commonwealth War Graves
- Bataille d'Arras
- Thélus
Catégorie:Cimetière militaire britannique dans le Pas-de-Calais]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Pas-de-Calais]]
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière est situé à l'intérieur du Mémorial terre-neuvien de Beaumont-Hamel.
Histoire
[modifier | modifier le code]L'extension du cimetière communal de Saint-Vaast a été réalisée par la division des gardes dans la seconde moitié d'octobre 1918, après la prise du village, lorsqu'ils ont enterré 31 de leurs officiers et hommes dans les rangées A, B et C. La rangée D a été ajoutée après la Armistice lors du transfert des tombes du CIMETIÈRE COMMUNAL DE HASPRES EXTENSION ALLEMANDE. L'extension contient 45 sépultures et commémorations de la Première Guerre mondiale. L'une des sépultures n'est pas identifiée et il existe des mémoriaux spéciaux pour deux victimes enterrées dans l'extension allemande à Haspres, dont les tombes n'ont pu être retrouvées. [5].
Caractéristique
[modifier | modifier le code]Ce cimetière a un plan circulaire de 15 m de diamètre. Il est entouré par un muret de moellons.
Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Royaume-Uni | 46 |
Galerie
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Catégorie:Cimetière militaire britannique en France| Hunter's Cemetery]]
Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans la Somme| Hunter's Cemetery]]
Catégorie:Cimetière dans la Somme| Hunter's Cemetery]]
Historique
[modifier | modifier le code]Le village a été occupé par les Allemands dès fin et est resté loin des combats jusqu'à libération par les troupes britanniques en .
Au cours de la guerre, le cimetière de Ligny a été utilisé par les Allemands pour inhumer leurs morts et les soldats britanniques rapatriés dans le shôpitaux de l'arrière, décédés des suites de leurs blessures. Les tombes allemandes ont été enlevées après l'armistice [6].
L'extension du cimetière communal de Saint-Vaast a été réalisée par la division des gardes dans la seconde moitié d'octobre 1918, après la prise du village, lorsqu'ils ont enterré 31 de leurs officiers et hommes dans les rangées A, B et C. La rangée D a été ajoutée après la Armistice lors du transfert des tombes du CIMETIÈRE COMMUNAL DE HASPRES EXTENSION ALLEMANDE. L'extension contient 45 sépultures et commémorations de la Première Guerre mondiale. L'une des sépultures n'est pas identifiée et il existe des mémoriaux spéciaux pour deux victimes enterrées dans l'extension allemande à Haspres, dont les tombes n'ont pu être retrouvées.
Cimetière militaire de la Somme - Bouzincourt Communal Cemetery Extension
[modifier | modifier le code]Pays | |
---|---|
Région | |
Département | |
Commune | |
Tombes |
624 |
Mise en service |
1916 |
Coordonnées |
Le Bouzincourt Ridge Cemetery, Albert est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale situé sur le territoire de la commune de Bouzincourt, dans le département de la Somme, à l'est d'Amiens.
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière est situé au nord-ouest du village, Rue Jérôme, au fond du cimetière communal.
Histoire
[modifier | modifier le code]En 1916, le village de Bouzincourt, situé loin de la ligne de front, fut utilisé par des ambulances de campagne pour soigner les blessés rapatriés des zones de combat. C'est à cette date que fut commencé le premier cimetière situé dans le cimetière communal, pour inhumer les soldats décédès des suites de leurs blessures.
L'extension du cimetière fut ensuite utilisée jusqu'en 1917.
De fin mars à septembre 1918, lors de l'Offensive du printemps de l'armée allemande, de nombreuse vistimes des combats furent inhumées.
L'extension contient désormais 322 sépultures et commémorations du Commonwealth de la Première Guerre mondiale dont 108 ne sont pas identifiées. Il y a également 2 tombes de soldats allemands.
L'extension a été conçue par Sir Reginald Blomfield
De 1915 à 1917, le village de Dernancourt, situé loin de la ligne de front, fut utilisé par des ambulances de campagne pour soigner les blessés rapatriés des zones de combat. C'est à cette date que fut commencé ce cimetière pour inhumer les soldats décédès des suites de leurs blessures.
En mars 1918, lors de l'Offensive du printemps, le secteur fut occupé par les Allemands. Lors de la Première bataille de Dernancourt de violents combats eurent lieu pour la conquête de la voie ferrée . Le secteur fut définitivement repris en août 1918.
Ce cimetière comporte les tombes de 2 165 soldats du Commonwealth
Caractéristique
[modifier | modifier le code]Ce vaste cimetière a un plan quasi rectangulaire de 45 m sur 40.
Il est entouré d'une mur de moellons sur trois côtés et d'une haie d'arbustes pour la séparation avec le cimetière communal.
L'extension a été conçue par Sir Reginald Blomfield.
Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Royaume-Uni | 670 |
Australie | 35 |
Canada | 6 |
Total | 711 |
Galerie
[modifier | modifier le code]Liens internes
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires de la Somme
- Commonwealth War Graves
- Bataille de la Somme
- Albert
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Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans la Somme|Bouzincourt Ridge Cemetery, Albert ]]
Catégorie:Cimetière dans la Somme|Bouzincourt Ridge Cemetery, Albert]]
Cimetière militaire de la Somme -Bagneux British Cemetery
[modifier | modifier le code]Pays | |
---|---|
Région | |
Département | |
Commune | |
Tombes |
1 374 |
Mise en service |
avril 1918 |
Coordonnées |
Le Bagneux British Cemetery est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale situé sur le territoire de la commune de Gézaincourt, dans le département de la Somme, au nord d'Amiens. Il existe un second cimetière britannique sur la commune: le Gézaincourt Communal Cemetery Extension.
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière est implanté à 500 m au sud-ouest de la commune, Rue de la gare, le long de l'ancienne voie ferrée.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le village est resté éloigné du front tout au long de la guerre 14-18.
En mars 1918, l'armée allemande lance, depuis les environs de Cambrai, son Offensive du Printemps en vue conquérir Amiens. Après 3 mois de durs combats, cette offensive est finalement stoppée le 18 juilet à une vingtaine de kilomètres de Gézaincourt par les troupes du Commonwealth.
Dès le mois de mars, des hôpitaux militaires sont implantés sur la commune pour soigner les nombreux blessés des combats.
Pour suppléer l'extension du cimetière communal, ce cimetière fut commencé en avril 1918 pour inhumer les soldats décédés des suites de leurs blessures.
Il y a aujourd'hui 1 374 militaires du Commonwealth inhumés dans ce lieu, dont seulement 3 ne sont pas indentifiés
[8]
[9].
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Le cimetière britannique a un plan rectangulaire 75 m sur 45.
Il est entouré d'une haie d'arbustes.
Le cimetière a été conçu par Sir Edwin Lutyens et George Hartley Goldsmith.
Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Australie | 985 |
Royaume-Uni | 860 |
Canada | 9 |
Nouvelle-Zélande | 6 |
Afrique du Sud | 2 |
Total | 1 862 |
Galerie
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[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires de la Somme
- Commonwealth War Graves
- Bataille de la Somme
- Gézaincourt
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Catégorie:Cimetière dans la Somme|Bagneux British Cemetery ]]
Cimetière militaire du Pas-de-Calais --Bellacourt Military Cemetery, Rivière
[modifier | modifier le code]Pays | |
---|---|
Département | |
Commune | |
Tombes |
539 |
Mise en service |
octobre 1914 |
Coordonnées |
Le Bellacourt Military Cemetery, Rivière est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Rivière (Pas-de-Calais), dans le département du Pas-de-Calais, au sud-ouest d'Arras.
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière est situé à 500 m à l'ouest du village, au lieu-dit Bellacourt, chemin de Basseux.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le cimetière a été commencé par les troupes françaises en octobre 1914 lors des combats de la Course à la mer. La dédense du secteur a été confiée aux Britanniques début 1916 et les victimes britanniques et canadiennes ont été inhumées dans ce cimetière jusqu'à la fin de la guerre. Il y a 434 sépultures du Commonwealth de la guerre de 1914-18 commémorées sur ce site, dont 1 seule non identifiées. Il y a également 116 sépultures françaises ici et 1 sépulture allemande inconnue [10].
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Ce vaste cimetière mesure 70 m sur 60.
La terrase du fond du cimetière, accessible par deux escaliers monumentaux, où sont posées la Croix du sacrifice et la stèle de la mémoire, représente un rectagle de 35 m sur 15.
Le cimetière couvre une superficie de 3 600 mètres carrés et est entouré d'un mur de moellons.
Le cimetière a été conçu par Sir Edwin Lutyens et le capitaine Wilfred Clement Von Berg.
Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Royaume-Uni | 259 |
Canada | 173 |
France | 116 |
Allemagne | 1 |
Total | 539 |
Galerie
[modifier | modifier le code]-
Le carré français, dans la partie drote du cimetière.
Liens internes
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires du Pas-de-Calais
- Commonwealth War Graves
- Ligne Hindenburg
- Rivière (Pas-de-Calais)
Catégorie:Mémoire collective|Liste des mémoriaux et cimetières militaires du Pas-de-Calais|Bellacourt Military Cemetery, Rivière]] Catégorie:Cimetière militaire en France|Bellacourt Military Cemetery, Rivière]] Catégorie:Monument dans le Pas-de-Calais|Bellacourt Military Cemetery, Rivière ]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Pas-de-Calais|]Bellacourt Military Cemetery, Rivière]
Cimetière militaire du Pas-de-Calais- Beaurain Road Cemetery a terlminer photos = tombes
[modifier | modifier le code]Pays | |
---|---|
Département | |
Commune | |
Tombes |
335 |
Mise en service |
avril 1918 |
Coordonnées |
Le Beaurains Road Cemetery est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Beaurains, dans le département du Pas-de-Calais, au sud d'Arras.
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière est situé au nord de l'agglomération, en bordure de la D917, Rue de La République.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le cimetière a été commencé quelques jours avant la capture de Beaurains par les forces du Commonwealth le 18 mars 1917 lors de l'Offensive du Printemps. C'était un mois avant le début de la première Bataille d'Arras. Le cimetière fut utilisé jusqu'au début du mois de juin par les unités combattantes pour inhumer les soldats victimes des combats. Il fut de nouveau utilisé pendant une courte période en août et septembre 1918, lors de la deuxième bataille d'Arras.
Il contenait, à la date de l'Armistice, les tombes de 129 soldats britanniques, 15 soldats français et quatre prisonniers allemands. Il fut agrandi après l'armistice lorsque des tombes furent rapportées des champs de bataille des environs.
Le cimetière contient désormais 331 sépultures et commémorations du Commonwealth de la Première Guerre mondiale dont 23 des ne sont pas identifiées. Il y a également quatre tombes allemandes
[11],[12].
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Ce cimetière a un plan trapézoïdal dont les plus grands côtés mesurent 55 m et 40 m.
Il est entouré entièrement clos par un muret de pierre naturelle.
La Croix du Sacrifice se dresse en bordure de route à l'angle sud.
Le cimetière a été conçu par Sir Edwin Lutyens.
Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Royaume-Uni | 318 |
Canada | 14 |
Allemagne | 3 |
Total | 335 |
Galerie
[modifier | modifier le code]Liens internes
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires du Pas-de-Calais
- Commonwealth War Graves
- Bataille d'Arras
- Offensive du Printemps
- Beaurains
Catégorie:Cimetière militaire britannique dans le Pas-de-Calais]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Pas-de-Calais]]
Cimetière militaire du Pas-de-Calais --Le Fermont Military Cemetery, Rivière
[modifier | modifier le code]Pays | |
---|---|
Département | |
Commune | |
Tombes |
81 |
Mise en service |
mars 1916 |
Coordonnées |
Le Le Fermont Military Cemetery, Rivière est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Rivière (Pas-de-Calais), dans le département du Pas-de-Calais, au sud-ouest d'Arras.
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière est situé à 1,5 km au nord-est du village, rue du Fermont.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le secteur était situé juste à l'arrière de la ligne de front. Ce cimetière a été commencé en mars 1916 et fermé en mars 1917, à l'exception d'un enterrement en mars 1918. Il contient 81 sépultures de la Première Guerre mondiale.
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Ce cimetière a un plan rectangulaire de 35 m sur 16.
Il est entouré d'un muret de moellons sur 3 côtés.
Ce cimetière a été conçu par l'architecte William Harrison Cowlishaw.
Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Royaume-Uni | 81 |
Galerie
[modifier | modifier le code]
Liens internes
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires du Pas-de-Calais
- Commonwealth War Graves
- Rivière (Pas-de-Calais)
Catégorie:Mémoire collective|Liste des mémoriaux et cimetières militaires du Pas-de-Calais|Le Fermont Military Cemetery, Rivière]] Catégorie:Cimetière militaire en France|Le Fermont Military Cemetery, Rivière]] Catégorie:Monument dans le Pas-de-Calais|Le Fermont Military Cemetery, Rivière ]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Pas-de-Calais|]Le Fermont Military Cemetery, Rivière]
Cimetière dans l'aisne : Saint-Erme Communal Cemetery Extension =
[modifier | modifier le code]Pays | |
---|---|
Département | |
Commune | |
Tombes |
84 |
Mise en service |
fin 1918 |
Coordonnées |
Le Saint-Erme Communal Cemetery Extension est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Saint-Erme-Outre-et-Ramecourt, dans le département de l'Aisne, à l'est de Laon.
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière jouxte le cimetière communal au nord-est du village de Saint-Erme. Pour y accéder, il faut pénétrer à l'intérieur dudit cimetière.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le secteur de Saint-Erme-Outre-et-Ramecourt a été aux mains des Allemands pendant presque toute la guerre de 1914-1918 et ne fut libéré qu'en octobre 1918.
C'est après l'armitice que ce cimetière a été créé par le regroupement de tombes de soldats britanniques unhumés par les Allemands dans leurs cimetières. La plupart sont décédés de leurs blessures en 1918 après avoir été recueillis par les Allemands, notamment 18 victimes le 24 juillet 1918 lors de la contre-offensive alliée.
Au cours de la Seconde Guerre Mondiale, les corps de huit aviateurs (6 Britanniques et 2 Canadiens) seront inhumés dans ce cimetière après que leur avion ait été abattu le 16 avril 1943.
Ce cimetière comporte 76 sépultures du Commonwealth de la guerre 1914-18, dont 7 non identifiées et 8 de la guerre 1939-1945
[13]
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Ce cimetière a un plan rectangulaire très allongé aux angles arrondis de 45 m sur 12.
Il est entouré d'un muret de moellons.
Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Royaume-Uni | 84 |
Galerie
[modifier | modifier le code]Liens internes
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires de l'Aisne
- Commonwealth War Graves
- Ligne Hindenburg
- Chemin des Dames
- Saint-Erme-Outre-et-Ramecourt
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Boite mémorial
[modifier | modifier le code]
Mémorial de Louverval | |||
Présentation | |||
---|---|---|---|
En mémoire de | disparus de la bataille de Cambrai(1917) | ||
Inscription | A la gloire de Dieu et à la mémoire durable de 7048 officiers et soldats des forces de l'empire britannique qui tombèrent à la bataille de Cambrai 20 NOV - 5 DEC 1917 mais n'ont pas de sépulture connue ici leurs noms sont inscrits | ||
Date de construction | 1930 | ||
Architecte | H Chalton Bradshaw, Charles Sargeant Jagger | ||
Géographie | |||
Pays | France | ||
Adresse | 1 rue de Malet, 62147 Doignies, France | ||
Coordonnées | 50° 08′ 13″ nord, 3° 00′ 55″ est | ||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||
modifier |
Le monument à la mémoire des Disparus de Cambrai (parfois appelé Mémorial de Louverval)[14] est un mémorial de la Première Guerre mondiale situé sur le territoire de la commune de Doignies, dans le département du Nord.
Il a été édifié à la mémoire des 7 048 soldats du Commonwealth disparus durant les 15 jours de la Bataille de Cambrai de 1917 sur le Front de l'Ouest[15].
Localisation
[modifier | modifier le code]Le monument se trouve à l'extrémité du cimetière miliaire de Louvernal. Le cimetière a été édifié par la Commonwealth War Graves Commission sur le site du Château de Louverval[16]. 124 soldats de l'empire britannique y sont enterrés[17].
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Le mémorial cite les noms des 7048[18] soldats originaires du Royaume-Uni et d'Afrique du Sud morts pendant la bataille de Cambrai en novembre et décembre 1917 et qui n'ont pas été retrouvés[19].
Le mémorial a été conçu par Harold Chalton Bradshaw qui a également conçu le monument à la mémoire des Disparus de Ploegsteert en Belgique[20]. Ce mémorial comporte une sculpture de Charles Sargeant Jagger. De part et d’autre de la rotonde semi-circulaire, sont gravées deux scènes de la vie des tranchées : l’assaut et l’évacuation des blessés. Au centre de l’hémicycle se dresse la pierre du souvenir[21].
Il a été inauguré le par le Lieutenant-Général britannique Sir Louis Ridley Vaughan.
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Le mémorial cite les noms des 7048[22] soldats originaires du Royaume-Uni et d'Afrique du Sud morts pendant la bataille de Cambrai en novembre et décembre 1917 et qui n'ont pas été retrouvés[19].
Le mémorial a été conçu par Harold Chalton Bradshaw qui a également conçu le monument à la mémoire des Disparus de Ploegsteert en Belgique[20]. Ce mémorial comporte une sculpture de Charles Sargeant Jagger. De part et d’autre de la rotonde semi-circulaire, sont gravées deux scènes de la vie des tranchées : l’assaut et l’évacuation des blessés. Au centre de l’hémicycle se dresse la pierre du souvenir[23].
Il a été inauguré le par le Lieutenant-Général britannique Sir Louis Ridley Vaughan.
Maladie | |
---|---|
Agent infectieux | |
Date d'arrivée |
juillet 1854 |
Date de fin |
octobre 1854 |
Sous le règne de Napoléon III, pendant l’été de l’année 1854, une épidémie de choléra s’est produite à Montbrehain.
Ce village situé dans le département de l'Aisne, dans les Hauts-de-France comptait à l'époque environ 2 000 habitants qui tiraient leurs ressources essentiellement du tissage et de l'agriculture.
La maladie
[modifier | modifier le code]Le choléra est une maladie épidémique contagieuse due à une bactérie , le bacille virgule. Elle est caractérisée par des diarrhées brutales et très abondantes. La forme majeure est mortelle dans plus de la moitié des cas, en l’absence de traitement (de quelques heures à trois jours). La contamination est orale, d’origine fécale, par l’eau de boisson ou des aliments.
Contrairement à la grippe ou à la Covid 19 dues à un virus qui se transmet par voie aérienne, le choléra ne se transmet que par par l'ingestion d'aliments ou d'eau souillés .
Historique
[modifier | modifier le code]Le dernier le 12 octobre :« Acte n° 73 : Décès de Fidélie CLASSE âgée de 21 ans, brodeuse mariée à Louis Joseph PINCHON 22 ans tisseur [24] »
.« Acte n° 213 : Décès de Rosa Flore SARRAZIN âgée de 2 jours fille de Charles Louis SARRAZIN 32 ans, meunier et de Marie Julie LECART 27 ans, lamière [25] »
Le décès suivant n’a eu lieu que le 4 novembre soit 24 jours plus tard.
Cette épidémie a donc duré pratiquement 100 jours et 120 habitants de Montbrehain ont été victimes de cette maladie. Presque aucune journée sans décès et le 21 juillet, 7 personnes sont décédées.
Intervention
[modifier | modifier le code]L’état de pauvreté et la vie misérable que menaient la plupart des habitants du village de Montbrehain à cette époque montrent que le choléra a trouvé là un terrain favorable à son développement.
Devant la gravité de cette situation, pour éviter que la maladie ne se répande dans les villages et les contrées alentour, le village a été mis en quarantaine. Le Ministre de l’Agriculture (qui s’occupait de la santé à l’époque) a commissionné le Docteur Lunel pour établir un rapport et essayé d’enrayer cette épidémie.
« La commune de Montbrehain est un village d'environ 2 000 habitants, situé à 15 kilomètres au nord de Saint-Quentin, département de l'Aisne : pays pittoresque et riant, composé de maisons clairement semées au milieu d'épais feuillages. C'est le 12 juillet 1854 que le choléra fit irruption dans la commune de Montbrehain, et vint semer l'épouvante parmi tous ses habitants. Du 12 juillet au 2 août à midi, il y avait eu, tant en cholérines, choléras et suettes, 102 cas de maladie, dont 34 décès.
C'est alors que M. le Sous-Préfet de Saint-Quentin, sur l'avis de M. le Maire de Montbrehain, écrivit à M.Le Ministre de l'agriculture et du commerce, pour le prier d'envoyer dans cette commune un médecin de Paris, à l'effet de combattre le fléau qui désolait ses habitants. Le 1er août, je recevais de M. le ministre la commission suivante »
Le docteur Lunel dresse une description sans complaisance des conditions de vie des habitants du village[26]:
« Mais que voyons-nous à Montbrehain?
1/Des maisons manquant d'air...
2/ Des malades couchés dans des cabanes où l'on ou l'on peut tout juste placer un lit, encore ce lit n'est-il le plus souvent qu'une paillasse malprore.
3/ Des maiosn mal situées, souvent au milieu de fumier fétide, non carrelées, mais sur un sol humide, sale ,boueux, nauséabond.
4/ Au lieu de fenêtres, bon nombre de chambres ont des trous bien bouchés par des planches ou des vitres. Quel spectacles hideux, Messieurs, que celui de la partie de Montbrehain appelée le Désert. Autour de misérables masures inaccessibles à l'air et à la lumière, se trouvent amoncelés des fumiers couverts d'immondices de matières fécales et ruisselant de toutes parts de liquides infects, chargés de miasmes délétères! Et cependant nous avons passé la moitié des jours et des nuits dans ce désert... »
Hommes | Nombre | Femmes | Nombre |
---|---|---|---|
Tisseur | 25 | Tisseuse | 8 |
Journalier | 7 | Fileuse | 1 |
Cultivateur | 1 | Dévideuse de coton | 14 |
Domestique | 1 | Brodeuse | 3 |
Cabaretier | 1 | Couturière | 1 |
Boucher | 2 | Journalière | 11 |
Maçon | 2 | Aubergiste | 1 |
Perruquier | 1 | ||
Berger | 1 | ||
Valet de charrue | 1 | ||
Commissionnaire | 1 | ||
Tailleur d'habits | 1 | ||
Taupier | 1 | ||
Marchand de pierres | 1 | ||
Rentier | 1 | ||
Propriétaire | 2 |
On remarque dans ce tableau que le nombre de personnes décédées travaillant dans le textile (52) est beaucoup plus important que les autres (35). Cela est dû au fait que les métiers à tisser à bras étaient situées dans des caves mi-enterrées pour avoir une humidité constante qui évite aux fils de casser.
C'est cette humidité qui a probablement contribué au décès de ces travailleurs.
Mois | Nombre de décès | Mois | Nombre de décès |
---|---|---|---|
Janvier | 2 | Juillet | 38 |
Février | 2 | Aôut | 51 |
Mars | 4 | Septembre | 25 |
Avril | 4 | Octobre | 8 |
Mai | 3 | Novembre | 5 |
Juin | 1 | Décembre | 3 |
Grâce aux conseil de ce médecin qui a expliqué aux habitants les mesures d’hygiène élémentaires, à l’infirmerie mise en place dans la salle du conseil municipale dont les murs avaient été blanchis à la chaux, la maladie a pu être éradiquée en octobre.
« Les moyens les plus simples à employer sont les suivants[27]:
1/Diminution ou abstinance complète d'aliments
2/ Usage du riz ou de ses préparations
3/Infusion légère de thé
4/ Administration de lavements émollients et calmants
Il importe également de se vêtir chaudement, de se tenir propre...etc. »
« Nous devons parler néanmoins d'un singulier quatrain qui ciorcule dans toutes les bouches à Montbrehain et qui renferme quelques conseils hygiéniques; nous le donnons tel qu'il existe sous le rapport de la facture des vers:
Tiens tes pattes au chaud,
Tiens vides tes boyaux,
Ne vois point Marguerite,
Du choléra tu seras quitte.[26] »
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) « Quebec Cemetery Cherisy », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
- (en) « Quebec Cemetery Cherisy » (consulté le )
- (en) « Quebec Cemetery Cherisy », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
- (en) « Quebec Cemetery Cherisy » (consulté le )
- https://www.cwgc.org/visit-us/find-cemeteries-memorials/cemetery-details/24203/st-vaast-communal-cemetery-extension/
- https://www.cwgc.org/find-a-cemetery/cemetery/33504/ligny-en-cambresis-communal-cemetery/
- https://www.cwgc.org/visit-us/find-cemeteries-memorials/cemetery-details/2000051/bouzincourt-communal-cemetery-extension/
- https://www.cwgc.org/visit-us/find-cemeteries-memorials/cemetery-details/5700/bagneux-british-cemetery-gezaincourt/
- https://www.ww1cemeteries.com/bagneux-british-cemetery.html
- https://www.ww1cemeteries.com/bellacourt-military-cemetery.html
- (en) « Crump Trench British Cemetery, Fampoux », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
- (en) « Cremp Trench British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
- https://www.cwgc.org/visit-us/find-cemeteries-memorials/cemetery-details/2067142/st-erme-communal-cemetery-extension/
- Chris Baker, « The Cambrai Operations: November-December 1917 », The Long, Long Trail: The British Army of 1914-1918, sur The Long, Long Trail: The British Army of 1914-1918, (consulté le )
- « Cambrai Memorial, Louverval », Commonwealth War Graves Commission, sur Commonwealth War Graves Commission, (consulté le )
- « Louverval Military Cemetery, Doignies », Commonwealth War Graves Commission, sur Commonwealth War Graves Commission, (consulté le )
- « Mémorial de Louverval », sur www.tourisme-cambresis.fr (consulté le )
- « The Cambrai Battlefields: Louverval Memorial to the Missing », World War One Battlefields, sur World War One Battlefields, (consulté le )
- « CWGC Memorials » [archive du ], Malvern Remembers, sur Malvern Remembers (consulté le )
- « Ploegsteert Memorial », Commonwealth War Graves Commission, sur Commonwealth War Graves Commission, (consulté le )
- « Louverval », sur Sites funéraires et mémoriels de la première guerre mondiale - Front Ouest (consulté le )
- « The Cambrai Battlefields: Louverval Memorial to the Missing », World War One Battlefields, sur World War One Battlefields, (consulté le )
- « Louverval », sur Sites funéraires et mémoriels de la première guerre mondiale - Front Ouest (consulté le )
- Empreinte Digitale / Ligeo-Archives - https://empreintedigitale.fr/, « 5Mi1416 - 1843 1857 », sur Archives départementales de l'Aisne (consulté le ).
- Empreinte Digitale / Ligeo-Archives - https://empreintedigitale.fr/, « 5Mi1416 - 1843 1857 », sur Archives départementales de l'Aisne (consulté le ).
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5425359q/f8.item.r=Montbrehain
- « Relation de l'épidémie cholérique de Montbrehain (Aisne) ; [suivi du] Rapport des médecins de Montbrehain sur l'épidémie cholérique de 1854 », sur Gallica, (consulté le ).
Résumé de la bataille
[modifier | modifier le code]Sir Douglas Haig a décrit l'objet des opérations de Cambrai comme un succès local par une attaque surprise à un point où l'ennemi ne s'y attendait pas et, dans une certaine mesure, ils ont réussi.
La méthode d'assaut proposée était nouvelle, sans bombardement d'artillerie préliminaire. Au lieu de cela, les chars seraient utilisés pour percer le front allemand, avec l'infanterie à la suite de barrages de fumée. L'attaque a commencé tôt le matin du et les premiers progrès ont été remarquables. Cependant, avant le , un arrêt a été demandé pour le repos et la réorganisation, permettant aux Allemands de se renforcer. Du 23 au , les combats se sont concentrés presque entièrement autour de Bourlon Wood et, le , il était clair que les Allemands étaient prêts pour une contre-attaque majeure. Pendant les combats acharnés des cinq jours suivant, une grande partie du terrain gagné au cours des premiers jours de l’attaque a été perdue. Pour les Alliés, les résultats de la bataille ont finalement été décevants mais de précieuses leçons ont été tirées concernant les stratégies et les approches tactiques au combat. Les Allemands avaient également découvert que leurs lignes de défense fixes, aussi bien préparées soient-elles, étaient vulnérables[1].
44 200 britanniques et 50 000 allemands y perdirent la vie en une quinzaine de jours[2].
Noms notables
[modifier | modifier le code]Sept soldats qui n'ont pas de tombe connue ont reçu la Croix de Victoria[3] :
- Soldat George William Burdett Clare
- Soldat Frederick George Dancox
- Second Lieutenant James Samuel Emerson
- Major Frederick Henry Johnson
- Capitaine Allastair Malcolm Cluny McReady-Diarmid
- Capitaine Walter Napleton Pierre
- Capitaine Richard William Leslie Wain
-
Façade du mémorial. -
Galerie centrale. -
Quelques-uns des 7 048 noms des soldats tombés lors de la Bataille de Cambrai. -
Texte hommage -
Un siècle plus tard, hommage de descendants de soldats.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- https://www.cwgc.org/find-a-cemetery/cemetery/26606/LOUVERVAL%20MILITARY%20CEMETERY,%20DOIGNIES
- « 28 - Mémorial de Louverval », sur www.tourisme-cambresis.fr (consulté le )
- « Names of Victoria Cross holders on the Cambrai Memorial, France », Victoria Cross.org.uk, sur Victoria Cross.org.uk, (consulté le )
Liens externes
[modifier | modifier le code]Catégorie:Cimetière dans le département du Nord Catégorie:Mémoire de la Première Guerre mondiale en France
Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Sepx
[modifier | modifier le code]
Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Sepx | |||
Vue latérale de l'église en mai 2022. | |||
Présentation | |||
---|---|---|---|
Culte | Catholique romain | ||
Type | église paroissiale | ||
Rattachement | Archidiocèse de Toulouse | ||
Début de la construction | Moyen-Age | ||
Fin des travaux | XIXè | ||
Géographie | |||
Pays | France | ||
Région | Occitanie | ||
Département | Haute-Garonne | ||
Ville | Sepx | ||
Coordonnées | 43° 09′ 20″ nord, 0° 50′ 28″ est | ||
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
| |||
modifier |
L' église Notre-Dame-de-l'Assomption de Sepx est une église située dans la commune de Sepx , Haute-Garonne en France.
Localisation
[modifier | modifier le code]L'église, avec son immense clocher blanc visible de très loin, est située au centre du bourg.
Historique
[modifier | modifier le code]Ancienne église fortifiée dont le clocher est flanqué de deux tours et surmonté d'un pignon ajouré. A l'intérieur, les colonnes supportent des chapiteaux historiés, en plâtre fin sculpté, faits en 1880. Ce détail présente un intérêt dans le cadre d'une école de sculpture d'inspiration romane. Le reste de l'église a été entièrement remanié avec, de 1877 à 1884, construction de contreforts, agrandissement de l'église, construction d'une tour au nord du clocher, reconstruction de la voûte. En 1887, construction de la tribune. En 1890, percement du portail.
Description
[modifier | modifier le code]L'église Notre-Dame-de-l'Assomption dont son clocher du XIVe siècle est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 1966[1]. C'est un clocher-mur en pierre de taille, percé de 5 fenêtres à ogive triangulaire et surmonté de créneaux. À sa base, une coursive (ou chemin de ronde) crénelée supportée par de faux mâchicoulis et encadrée par deux tours carrées porte le blason de la famille des Mauléon, qui compte les anciens abbés commandataires de l'abbaye cistercienne de Bonnefont et seigneurs de Sepx. L'église conserve un ancien portail gothique aujourd'hui muré, dont on aperçoit les premières colonnes et le départ des chapiteaux à décor floral (feuilles de vigne). La nef a été rehaussée et partiellement reconstruite au XIXe siècle.
L'église est en pierre calcaire ocre jaune clair.
Le clocher-porche, soutenu par deux contre-forts en façade, culmine à 42 mètres de hauteur.
Au sommet, il est orné de quatre tourelles d'angle, entre lesquelles sont disposés les cadrans d'horloge.
En 1989 pour le centenaire de la consécration de l’église, un bas-relief a été mis en place au-dessus du porche.
Au-dessus du porche d’entrée, un bas-relief a été installé en 1989 pour le centenaire de la consécration de l’église. Ce tympan représente Notre-Dame de Roumé . De chaque côté, sont représentés les apôtres. Assis au premier plan, à la gauche de la vierge, Saint-Barthélémy présente un épi de maïs, symbole de l’unité paroissiale de Cieutat.
Galerie
[modifier | modifier le code]-
L'église Saint-Géry reconstruite dans les années 1920.
Catégorie:Église dans le département du Pas-de-Calais Catégorie:Église dédiée à saint Nicolas Catégorie:Édifice religieux du XXe siècle dans les Hauts-de-France
Église Saint-Nicolas de Bapaume
[modifier | modifier le code]
Église Saint-Nicolas de Bapaume | |||
Présentation | |||
---|---|---|---|
Nom local | Église Saint-Nicolas | ||
Culte | Catholique romain | ||
Dédicataire | saint Nicolas | ||
Type | Église | ||
Rattachement | diocèse d'Arras | ||
Début de la construction | 1548 [2] | ||
Fin des travaux | 1929 | ||
Architecte | Eugène Bidard [3] | ||
Style dominant | Néo-gothique | ||
Géographie | |||
Pays | France | ||
Région | Hauts-de-France | ||
Département | Pas-de-Calais | ||
Ville | Bapaume | ||
Coordonnées | 50° 06′ 07″ nord, 2° 50′ 58″ est | ||
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : France
| |||
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L' église saint-Nicoals de Bapaume est une église située dans la commune de Bapaume , Pas-de-Calais en France.
Historique: l'ancienne église
[modifier | modifier le code]-
. -
. -
.
Edifiée au milieu du XVIè sur les ruines d'une ancienne église, Saint-Nicolas présentait, comme le montrent les documents ci-dessus, un aspect pratiquement identique à l'église actuelle, avec un imposant clocher-tour flanqué sur le côté nord.
Destruction
[modifier | modifier le code]Bapaume est occupée par les Allemands à partir du , puis reprise par les Britanniques en . Le , les Allemands reprennent la ville. Les Nèo-Zélandais vont reconquérir la ville le fin août 1918.
Plusieurs fois bombardées au cours des combats, l'église n'est plus qu'à l'état de ruines à la fin de la guerre.
-
Ruines de l'église en 1917 (phto allamande). -
Carte postale des ruines de l'église en 1918. -
Autre vus des ruines.
Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Sepx
[modifier | modifier le code]= Reconstruction
[modifier | modifier le code]Les travaux de reconstruction de l'édifice dureront cinq ans, de 1924 à 1929, Eugène Bidard étant l'architecte.
L' église sera reconstruite sur le plan de l'ancienne église en conservant les fondations: un plan allongé avec une nef à cinq travées, un bras du transept sur la façade sud, une tour-clocher sur la façade nord et un chœur à chevet polygonal[4]
Galerie ===
-
Vue de la façade, du côté sud et du clocher. -
Le clocher.
-
La nef. -
Le bas-côté sud. -
La chaire. -
Le buffet d'orgue.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- http://www.wikipasdecalais.fr/index.php?title=%C3%89glise_Saint-Nicolas_de_Bapaume.
- https://openchurches.eu/fr/edifices/saint-nicolas-bapaume-ndf.
- https://www.patrimoine-religieux.fr/eglises_edifices/62-Pas-de-Calais/62080-Bapaume/185598-EgliseSaint-Nicolas
Historique
[modifier | modifier le code]Ancienne église fortifiée dont le clocher est flanqué de deux tours et surmonté d'un pignon ajouré. A l'intérieur, les colonnes supportent des chapiteaux historiés, en plâtre fin sculpté, faits en 1880. Ce détail présente un intérêt dans le cadre d'une école de sculpture d'inspiration romane. Le reste de l'église a été entièrement remanié avec, de 1877 à 1884, construction de contreforts, agrandissement de l'église, construction d'une tour au nord du clocher, reconstruction de la voûte. En 1887, construction de la tribune. En 1890, percement du portail.
= Notes et références
[modifier | modifier le code]
Cieutat
Cieutat
Catégorie:Édifice religieux du XIXe siècle en France
Eglise de Saint-Jean-Baptiste de Rochejean
[modifier | modifier le code]
Église Saint-Jean-Baptiste de Rochejean | |
Présentation | |
---|---|
Culte | Catholique romain |
Rattachement | Diocèse de Besançon |
Début de la construction | XVe siècle |
Fin des travaux | XXe siècle |
Géographie | |
Pays | France |
Région | Bourgogne-Franche-Comté |
Département | Doubs |
Ville | Rochejean |
Coordonnées | 46° 44′ 47″ nord, 6° 17′ 46″ est |
modifier |
L' Église Saint-Jean-Baptiste de Rochejean est une église des XVe siècle, XVIIIe siècle et XXe siècle située à Rochejean, dans le Haut-Doubs en Franche-Comté. Elle est dédiée à Saint-Jean-Baptiste.
Localisation
[modifier | modifier le code]L'église est située dans la partie haute du village, sur la rive gauche du Doubs.
Historique
[modifier | modifier le code]L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste fut construite au XVe siècle à l'emplacement d'une ancienne chapelle dédiée à Saint-denis datant du XIVe siècle, époque de la création du village.
En 1753, un incendie ravage le village et l'église est en partie détruite. Le clocher sera démoli et reconstruit en 1779, date gravée sur le fronton.
En 1961, l'église est à nouveau incendiée par la foudre: détruits, la toiture et le dôme seront reconstruits dans leur état actuel [1].
Description
[modifier | modifier le code]L'édifice, en pierre calcaire blanche, est couvert de tuiles plates.
Le clocher-porche de style comtois est surmonté d'un dôme à l'impériale recouvert de tuiles vernissées disposées en losange.
Galerie: extérieur de l'église
[modifier | modifier le code]-
Sur le fronton est écrite le date de la reconstruction du clocher : 1779. -
Le clocher comtois.
Galerie: intérieur de l'église
[modifier | modifier le code]-
Le choeur et les stalles. -
Les vitraux du choeur. -
La chaire datée de 1729. -
Culot d'ogive. -
Chemin de croix Station IV.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]
Attention : la clé de tri par défaut « Rochejean, Eglise » écrase la précédente clé « Eglise Notre-Dame de Seihac ». Catégorie:Église dans le Doubs Rochejean Église Saint Saturnin de Bégadan ===
Église Saint Saturnin de Bégadan
[modifier | modifier le code]Destination actuelle |
utilisation cultuelle |
---|---|
Dédicataire | |
Construction | |
Propriétaire |
Commune |
Patrimonialité |
Pays | |
---|---|
Département | |
Commune |
Coordonnées |
---|
L'église Saint Saturnin de Bégadan est une église catholique située à Bégadan, en France.
Localisation == L'église est située dans le département français de la Gironde, sur la commune de Bégadan, dans le centre du bourg, sur la grand'place où sont implantés également la mairie et le monument aux morts.
Historique
[modifier | modifier le code]Adresse renseignée dans la base Mérimée : 33340 Bégadan - France
Code Insee de la commune : 33038 Gironde [33] - Bordeaux - Aquitaine - Nouvelle-Aquitaine
Adresse approximative issue des coordonnées GPS (latitude et longitude) : 1 Route de Saint-Saturnin 33340 Bégadan
Eléments protégés : Le choeur et l'abside : classement par liste de 1862
Historique : La paroisse dépendait de l'abbaye de Vertheuil. L'église conserve son abside du XIIe siècle. Le reste a été entièrement détruit au XIXe siècle et reconstruit avec clocher surmonté d'une flèche. L'abside, semi-ciruclaire à l'intérieur, présente cinq pans à l'extérieur. A la naissance du choeur, deux tourelles pleines servaient autrefois de contreforts. Les chapiteaux des colonnes s'ornent de feuillages ou d'animaux fantastiques. A l'extérieur, les angles saillants du polygone disparaissent sous des faisceaux de trois colonnes engagées, celle du milieu se terminant par un chapiteau. L'étage supérieur est composé de fenêtres géminées aveugles, avec une colonnette au centre et quatre colonnettes latérales. Deux des chapiteaux sont en marbre et appartiennent à l'ordre corinthien, vestiges sans doute d'un monument antique.
Périodes de construction : 12e siècle, 19e siècle
Propriété de la commune
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes =
[modifier | modifier le code]Liens externes =
[modifier | modifier le code]- Notre-Dame d'Aillas sur le site de l'Église en Langonnais, consulté le .
Notes et références ==
- Portail des monuments historiques français
- Portail de la Gironde
- Portail de l’architecture chrétienne
Attention : la clé de tri par défaut « Eglise Saint-Saturnin Bégadan » écrase la précédente clé « Rochejean, Eglise ».
Page Monument aux morts
[modifier | modifier le code]Type | |
---|---|
Architecte |
Pays | |
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Département | |
Commune |
Coordonnées |
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Le monument aux morts de Tournay (Hautes-Pyrénées, France) est consacré aux soldats de la commune morts lors des conflits du XXe siècle.
Historique
[modifier | modifier le code]La sculpture est réalisée par Firmin Michelet. L'inauguration du monument a eu lieu le .
Description
[modifier | modifier le code]Le monument se compose d'un piédestal sur lequel se dresse la statue qui représente une jeune fille, vêtue d'une longue robe, et qui tient un bouquet de fleurs.
Il est situé sur la place d'Astarac, au centre du village.
Galerie
[modifier | modifier le code]-
Le monument. -
La statue. -
La stèle.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]
Sur le monument aux morts sont écrits les noms des 14 soldats de la commune tombés aux Champ d'honneur au cours de la guerre.
Dans les années 1920, la reconstruction du village se fera progressivement et peu à peu les habitants évacués vinrent reprendre possesion de leurs biens.
Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Morlancourt
-
La carte des régions dévastées montre que le village a subi de nombreux dégats. Le Moulin Deligny est compètement rasé ainsi que le bois de la carrière.En rouge, le canal est également détruit. -
Ruines du village à l'issue de la guerre14-18. -
Plaque hommage aux soldats canadiens qui ont libéré le village en septembre 1918.
Sur le monument aux morts sont écrits les noms des 14 soldats de la commune tombés aux Champ d'honneur au cours de la guerre.
Dans les années 1920, la reconstruction du village se fera progressivement et peu à peu les habitants évacués vinrent reprendre possesion de leurs biens.
GUERRE 14-18
[modifier | modifier le code]Applincourt - Achiet-le-Grand - Achiet-le-Petit - Ecoust-Saint-Mein
Première Guerre mondiale avec ligne hindenburg
Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village d'Écoust-Saint-Main et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusq'au début de 1917. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
En mars 1917, les Allemands décident de se retirer sur la Ligne Hindenburg , ligne fortifiée située à une quinzaine de km à l'est devant Cambrai. Avant leur départ, le village est évacué de ses habitants et toutes les constructions (église, mairie, maisons) sont systhématiquement dynamitées, tous les arbres sont coupés, les puits pollués avec du fumier [1].
Les troupes britanniques prennent alors possessions des ruines du village le 2 avril 1917. Écoust-Saint-Main repassera aux mains des Allemands en mars 1918 lors de l'Offensive du Kaiser jusqu'au , date à laquelle le village sera définitivement repris par les troupes du Commonwealth après de violents combats, attestés par la présence de nombreux cimetières britanniques ou allemands dans le secteur [2].
Après l'armistice, les habitants reviennent peu à peu au village. Alors commença une longue période de reconstruction.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 le [3].
-
Carte postale de l'église avant 1914. -
<centerRuines de l'église en 1917>.
-
Ruines du village en 1917. -
Troupes britanniques traversant le village en ruines en mars 1918. -
Le village en reconstruction en 1921. -
Le village en reconstruction en 1921. -
Le village en reconstruction en 1921.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Aucun cours d'eau ne traverse le territoire de la commune.
Château de Muret
[modifier | modifier le code]
Château de Muret-et-Crouttes | |
Nom local | Château |
---|---|
Début construction | XIXe siècle |
Destination initiale | Château familial Centre de vacances (à partir de 1954) Centre musical (à partir de 1980) |
Propriétaire actuel | Commune |
Destination actuelle | Bâtiment municipal (depuis 2011) |
Coordonnées | 46° 01′ 13″ nord, 4° 45′ 49″ est |
Pays | France |
Région | Hauts(de(France |
Département | Aisne |
Commune | Muret-et-Crouttes |
modifier |
Le château de Muret-et-Crouttes est un château situé en centre-ville de la commune de Muret-et-Crouttes, à proximité de l'église Notre Dame de l'Assomption, dans l'Ain.
Présentation
[modifier | modifier le code]Le château fut construit au XIXe siècle sur le site d'une ancienne maison bourgeoise[4]. Albert Bouchet (1835 - 1915), avocat lyonnais, maire de Fareins et député de l'Ain, transforme en profondeur l'édifice[4] auquel il donne son nom, ses descendants ajoutant le nom de la commune à leur patronyme pour se distinguer de l'autre branche des Bouchet, implantée non loin de là au château de Beauregard (Beauregard). Parmi les descendants du bâtisseur du château figurent le colonel Pierre Bouchet de Fareins et l'écrivain Serge Bouchet de Fareins. En 1954, la famille Bouchet de Fareins, qui possède aussi le manoir de Bataillard à Saint-Paul-de-Varax, vend le château à la Ville de Paris[5]. Celle-ci l'utilise comme centre de vacances puis à partir des années 1980, le château devient un centre musical[5]. Début 2011, la commune de Fareins rachète le château et son parc de 5,5 hectares[5]. Une réflexion s'est donc initiée pour définir une nouvelle destination à l'édifice. Le château est pour le moment utilisé pour des évènements ponctuels comme pour la fête des écoles en 2013 [6].
Le château a subi trois incendies durant son histoire dont le dernier le [4],[5]. Le parc qui l'entoure regroupe près de 180 essences d’arbres[5].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Ligne_Hindenbourg_Carte_Nord_2.jpg
- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Ecoust-Saint-Main_Lib%C3%A9ration.jpg
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- « Le château Bouchet à Fareins », sur Découvrez la Dombes.
- Marie-Claude Henry, « Fareins : le château Bouchet ouvre ses portes pour la première fois », Voix de l'Ain, (lire en ligne).
- « Fareins. Fête des écoles au château Bouchet », Le Progrès, (lire en ligne).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Bouchet Catégorie:Monument dans le Val de Saône Catégorie:Fareins
Notes et références
[modifier | modifier le code]
- Portail de la Première Guerre mondiale
- Portail du Nord-Pas-de-Calais
- Portail des Hauts-de-France
- Portail du Royaume-Uni
Ontario Cemetery, Sains-lès-Marquion Ontario Cemetery, Sains-lès-Marquion Ontario Cemetery, Sains-lès-Marquion
Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Royaume-Uni | 3599 |
Australie | 51 |
Canada | 3 |
Nouvelle-Zélande | 81 |
Afrique du Sud | 1 |
Indes britanniques | 1 |
Allemagne | 4 |
Total | 4040 |
Jumelages
[modifier | modifier le code]
La municipalité de Soulac a conclu quatre jumelages avec :
Des traités d'amitiés se sont également créés avec la ville canadienne Saint-Quentin du Nouveau-Brunswick[1] (1998), Greiz en Allemagne (2009) mais aussi Dej en Roumanie. |
|
Familles existant au dix-huitième siècle
[modifier | modifier le code]Baverel, Bernard, Bunot, Carmillet, Clerc, Cuinet, Daval, Deleule, Dornier, Dubiez (nom typique du village > racines étymologiques équivalentes), Edme, Girard, Griffond, Guyon, Jacquemot, Jeangirard, Jeannier, Joray, L'Homme, Loriot, Louvier (meunier), Lucas, Maire, Marguet, Naviller, Nicolet (recteur d'école), Paillard, Parnet, Peclet, Periguet, Perny, Roux, Thiebau, Trimaille, Vermot.
Le port de Talais
[modifier | modifier le code]Passé ferroviaire du village
[modifier | modifier le code]De 1880 à 1996, la commune de Saint-Laurent-sur-Gorre a été traversée par la ligne de chemin de fer de Saillat-sur-Vienne à Bussière-Galant , qui, venant de Saint-Auvent se dirigeait ensuite vers la gare d'Oradour-sur-Vayres.
A l' époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
Avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en aux voyageurs en 1940. Le trafic de marchandises a continué jusqu'en 1996 date à laquelle la ligne a été déclassée. Quelques tronçons de l'ancienne ligne subsistent encore de nos jours utilisés comme sentier de randonnée et surtout par le Vélorail de Bussière-Galant à Châlus.
De 1908 à 1948, la commune a également été située sur la ligne 1 des chemins de fer départementaux de la Haute-Vienne allant de Limoges à Saint-Mattieu pour se terminer à Rochechouart.
Cartes postales anciennes
[modifier | modifier le code]De 1882 au 2 mars 1969, la commune de Saint-Thibault a été traversée par la ligne de chemin de fer de Troyes à Gray, qui, venant du nord-ouest de la gare de Buchères-Verrières, suivait la route de Troyes à Bar-sur-Seine, s'arrêtait à la gare de Saint-Thibault et se dirigeait ensuite en ligne droite vers la gare de Clérey.
Les bâtiments de la gare sont encore présents de nos jours, Chemin de la gare.
L'horaire ci-dessus montre qu'en 1914, quatre trains s'arrêtaient chaque jour à la gare dans le sens Troyes-Gray et quatre autres dans l'autre sens.
A une époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
A partir de 1950, avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée le 2 mars 1969 au trafic voyageurs puis désaffectée.
Histoire ferroviaire de la commune
[modifier | modifier le code]Polisot a été un important carrefour de lignes de chemin de fer:
- d'abord, à partir de 1874 jusqu'en 1969, avec la ligne de chemin de fer de Troyes à Gray
- puis, à partir de 1901 Jusqu'in 1952, avec la Ligne de Polisot aux Riceys et à Cunfin.
La ligne de chemin de fer de Troyes à Gray
De 1882 au 2 mars 1969, la commune a été traversée par la ligne de chemin de fer de Troyes à Gray, qui, venant du nord-est de la [[gare de Bar-sur-Seine, passait à l'est et se dirigeait ensuite vers la gare de Gyé-sur-Seine.
L'horaire ci-dessus montre qu'en 1914, 4 trains s'arrêtaient chaque jour à la gare de polisot dans le sens Troyes-Gray et 4 autres dans l'autre sens.
A une époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
A partir de 1950, avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée le 2 mars 1969 au trafic voyageurs puis désaffectée.
La Ligne de Polisot aux Riceys et à Cunfin
Cette ligne à voie métrique a fonctionné de 1897 à 1952. Venant de Polisy, au sud, elle longeait les voies de la ligne de chemin de fer de Troyes à Gray et se dirigeait ensuite vers Celles-sur-Ource.
La ligne a été fermée en 1952.
Les deux gares de Polisot
Polisot a eu la particularité de posséder deux gares qui se faisaient face:
- l'une, construite en 1868 par la Compagnie des chemins de fer de l'Est
- l'autre par la Compagnie des chemins de fer départementaux de l'Aube
Comme le montrent les cartes postales ci-dessus, les deux gares étaient séparées par une barrière; l'écartement des rails n'étant les mêmes pour chaque ligne (1,435 m pour la voie normale et 1 m pour la voie métrique), les marchandises devaient être déchargées en gare de Polisot pour changer de ligne.
=
[modifier | modifier le code]Comme au moment de la création de la ligne, chaque village voulait sa gare, le Conseil général pour satisfaire tout le monde, baptisait la gare du nom de deux communes limitrophes; la gare de Villey-Crécey est située sur le terroir de Villey-sur-Tille à environ 1 km du Crécey-sur-Tille.
=== Contrairement à une gare, une halte était un simple abri en planches ou en briques, sans porte ni fenêtre. Le train ne s'arrêtait u'à la demande des voyageurs. De cette halte, aucune trace ne subsiste de nos jours.
chapelle de Fournol
[modifier | modifier le code]Chapelle Notre-Dame, Un des rares prieurés français du Saint-Sépulcre.
L'ordre des chanoines du Saint-Sépulcre a été fondé à Jérusalem peu après la prise de la ville et le premier règlement le concernant a été rédigé à la fin de 1102 ou au début de 1103. L'ordre fut supprimé en 1489 par le pape Innocent VIII et ses biens passèrent aux Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. Un de ses rares prieurés français était situé dans le diocèse de Limoges, à La Vinadière (commune de Soudaine-Lavinadière).
Ce prieuré, dont on a mis récemment à jour les vestiges, possédait lui-même des chapelles, dont celle de Fournol, perdue au cur du plateau de Millevaches, au milieu des herbes folles, dans un hameau comptant quelques rares maisons.
Dédiée à la Vierge, la chapelle, trappue, avec son clocher-mur à deux baies, peut dans son état actuel être datée du XIVe siècle ; c'est un exemple typique des églises rurales de la Montagne limousine. On remarquera aussi le curieux escalier extérieur qui conduit dans les combles. Couverte en chaume au xvne siècle, elle est accompagnée au sud d'un petit cimetière où l'on voit une tombe médiévale, à toit en bâtière.
La chapelle conservait une statue de la Vierge, en cuivre, des années 1300, placée en 1751 dans une niche au-dessus du tabernacle, et retrouvée voici quelques années, passée à la peinture et méconnaissable, sur un appui de fenêtre. La fontaine Notre-Dame, quelques dizaines de mètres en contrebas.
GUERRE 14-18
[modifier | modifier le code]Première Guerre mondiale
Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village et poursuivent leur route vers l'ouest.[2] Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en octobre 1918.
Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
=
Tableau des maires
[modifier | modifier le code]élu
[modifier | modifier le code]boite déroulante
[modifier | modifier le code]Boîte déroulante
[modifier | modifier le code]Cette chapelle, située à l'écart d'Ornans, près des "Combes de Punay", en direction de Malbrans, est à l'origine celle d'une maladrerie.
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Liste des maires
[modifier | modifier le code]sucrerie en 1875[5]
liste des journaux en 1896[6]
lignes de Thiérache Tres bien[7]
Ligne romery carte Très bien[8]
ligne romey adjudisation[9]
Ligne de Romery Inauguration 6avril 1912[10]
Ligne de Romery à Liart[11]
LignRomery[12]
Ligne de Saint-Gobert à saint-Richaumont[13]
Ligne secondaires [14]
Tarif ligne Romery[15]
Ligne de laon au Cateau[16]
sucrerie en 1875[17]
LAISNE DEVAST2E [18]
Dégats en 1944sur les lignes [19]
Liste des stations de toute le région Thiérache en 1934
[20]<vr>
Embranchement de Guise à Hirson
[21]
Train du nord Laon-Liartest trèsbien
[22]
almanach 1885
[23]
Histoire de Marle et de ses environs [24]
ernest nègre[25]
Sorbais AD[26]
Sorbais s[27]
dictionnaire totpo [28]
dictionnaire topo de la Meurthe[29]
protestantisme Parfon de val Montbrehain[30]
description de l'église deparfondeval[31]
Parfondeval Eglise[32]
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est traversé du sud-est au nord-ouest par le ruisseau le Ton qui pas au nord-est du village.
Voies de communication
[modifier | modifier le code]Le terroir de la commune est traversé à l'est, du nord au sud, par l'Autoroute A31 (A31). Le péage de Til-châtel, sortie N°5, se trouve à 1 km au nord-est.
Citation bloc
[modifier | modifier le code]« Tantôt un protestant y a signé sa foi, tantôt un ligueur y a maudit Henry IV. Quelque bourgeois y a gravé les insignes de sa noblesse de cloches, la gloire de son échevinage oublié. (Honoré de Balzac - Eugénie Grandet) »
Passé ferroviaire du village
[modifier | modifier le code]La médaille de la Ville de Saint-Quentin évoque son histoire, ancienne et contemporaine: les remparts, la royauté, les clés de la Ville, l'épée pour les batailles, la Marianne, la Légion d'Honneur, la Croix de Guerre 14-18.
La devise : PRO DEO REGE ET PATRIA (Pour dieu, le roi et la patrie) |
De 1883 à 1963, la commune d'Aprey a été traversée par la ligne de chemin de fer de Poinson - Beneuvre à Langres, qui, venant de Brennes , contournait le village par le nord et se dirigeait vers Aujeurres.
La ligne passait au nord et la gare était située à environ 1 km à au nord du village.
A une époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
A partir de 1950, avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en 1963. Les rails ont été retirés. Quelques tronçons de l'ancienne ligne subsistent encore de nos jours utilisés comme sentier de randonnée ou chemin d'exploitation agricole.
-
L'église. -
Porche de l'église daté de 1927. -
Le moulin et le passage à niveau. -
Le calvaire-autel du cimetière classé Monument Historique [33] en 1909. -
Détail du socle et de l'autel du calvaire.
Quelqueq dessins d'Amédée Piette
[modifier | modifier le code]Passé ferroviaire du village
[modifier | modifier le code]L'église Notre-Dame de la Vie
[modifier | modifier le code]Saint-Cannat[34] L'église paroissiale Autrefois, la chapelle Notre-Dame de l'Annonciation était la propriété d'une confrérie d'hommes. Suite au mauvais état de l'église paroissiale située alors sur les hauteurs du château qui risquait de s'écrouler, elle est devenue église paroissiale à la fin du XVIIIè siècle. Des travaux d'agrandissement ont ensuité été réalisés ainsi que la construction du clocher [35]. Comme le montrent les deux cartes postales ci-dessus, l'église de Saint-Cannat a été très endommagée par le Tremblement de terre du 11 juin 1909. Il a fallu la raser entièrement. Elle a été reconstruite au même endroit et inaugurée en 1927.
Galerie
[modifier | modifier le code]-
.Récit de la destruction de Neuville-sur-Margival en mars 1917 -
Carte du village dévasté en 1918.
Le village était construit sur en réseau de creutes, cavernes creusées au fil des temps pour se protéger des invasions, pour en extraire le pierre.
Avant d'abanconner le village en mars 1917, les Allemands ont dynamité ces creutes ce qui a entraîné la destruction de toutes les habitations.
La carte des régions dévastées montre que Neuville-sur-Margival a été complètement détruit. Des bois qui poussaient au sud, rien ne subsiste après la guerre.
Le village qui comptait 135 habitants en 1911 a perdu plus de la moitié de sa population en 1921.
Le chemin de croix d'Alleins
[modifier | modifier le code]Le
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le village est cité pour la première fois en l'an 1258 sous le nom de Loognis puis Longnis en 1261 dans une charte du chapitre de la cathédrale de Laon. Le nom évoluera encore de nombreuses fois en fonction des différents transcripteurs: Lonnis, Lonnys, Longny, Longni, Longni-les-Aubenton, Longny-les-Aubenton en 1765 et enfin la dénomination actuelle Logny-lès-Aubenton au XIXè siècle [36].
Carte de Cassini
[modifier | modifier le code]
La carte de Cassini ci-dessus montre qu'au XVIIIè siècle, Grévillers est une paroisse située sur une hauteur entre deux vallées dans lesquelles est figuré un ruisseau qui est tari aujourd-hui.
Un moulin à vent en bois fonctionnait au nord-ouest près de la Chapelle Notre-Dame aujourd'hui disparue. Son nom est évoqué dans le lieu-dit Fond de la chapelle.
Au sud est représenté un calvaire en pierre.
M. Ramage a écrit en 1888 une intéressante monographie sur le village consultable sur le site des Archives départementales de l'Aisne en cliquant sur la référence ci-après [37]
Vignolles [38]
Ambrief, a écrit en 1887 une monographie sur le village consultable sur le site des Archives départementales de l'Aisne en cliquant sur la référence ci-après [39].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Ces noms de localités se terminant par -court sont le plus souvent des hameaux ou de petits villages. Ferdinand Lot a montré que les noms terminés en court était des noms formés par des gens parlant une langue romane[40]. Le préfixe était souvent - mais pas toujours - le nom d'une personne germanique. Court est dérivé du latin vulgaire curtis signifiant, cour de ferme, ferme puis village. La formation des toponymes de ce type remonte au haut Moyen Âge et cesse au Xe siècle[41].
Le toponyme « Gueudecourt » serait lié à l'apport germanique du VIe siècle[Note 1],[42].
Le premier élément Gueude- s'expliquerait par un nom de personne germanique[43].
v
[modifier | modifier le code]An nord, La Maladière était une chapelle aujourd'hui disparue. A côté de cette chapelle, La Justice était un lieu situé à l'extérieur du bourg, qui comportait souvent un Gibet, où le seigneur du lieu rendait la justice seigneuriale.
Au sud sont représentées La Chapelle Sainte-Pétronille et La Commanderie de Fontenotte
Un moulin à eau, dont les bâtiments sont encore présents de nos jours, symbolisé par une roue dentée, est représenté sur le cours de la rivière dans sa traversée du village.
Au nord-ouest, près d'un autre moulin à eau, Le Fossé était un hameau avec une ferme fortifiée encore prsésente actuellement.
Au nord-ouest, près d'un autre moulin à eau, Le Fossé était représenté. Les maillets du moulin servaient à battre le fer extrait du minerai présent dans le secteur. Des vestiges ont encore présents de nos jours au lieu-dit Les Forges.
Deux fermes sont représentées au sud-ouest Bonvent' et la Brulée.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les 4 années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la croix de guerre 1914-1918 (France) le [44].
Dans le cimetière, sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 5 Vendellois morts pour la
- Première Guerre mondiale dictionnair[45]
Le village est occupé par l'armée allemande dès le et le restera jusqu'au début de 1917. Après le retrait allemand sur la ligne Hindenburg, les Français reprennent possession de Neuville le et les ruines du village se trouvent pendant plusieurs mois à proximité du front et des combats de Vauxaillon ou du Moulin de Laffaux, servant de base de départ à ceux-ci. Neuville, réoccupé le , est définitivement libéré le
En , le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages seraient détruits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. Dès le , les habitants de Jeancourt furent emmenés à la gare d'Hervilly-Montigny, installés dans des wagons à bestiaux, emmenés à Saint-Quentin et dispersés dans des lieux occupés, jusqu'en Belgique. En [46], avant du retrait des troupes allemandes sur la ligne Hindenburg, le long du canal de Saint-Quentin, les maisons ont été pillées et incendiées, le village a été systématiquement détruit . L'église, le temple protestant, la mairie et toutes les maisons ont été dynamités et les arbres sciés à 1 m de hauteur ; seules deux chapelles du cimetière sont restées intactes.
Le village, vidé de ses habitants, est resté occupé par les Allemands et a été repris le après de durs combats par les troupes britanniques[47]; Jeancourt restera sur la ligne de combats jusqu'au , début de la bataille de la ligne Hindenburg (voir la carte ci-dessous).
Après l'Armistice, de nombreux habitants ne revinrent pas s'installer à Jeancourt et, avec les dommages de guerre, commencèrent une nouvelle vie dans d'autres lieux. Pour ceux qui furent de retour commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes. De 600 habitants avant la guerre, Jeancourt n'en comptait plus que 300 en 1921.
Le monument aux morts fut inauguré en 1923 : il porte les noms des 16 soldats de la commune morts pour la France[48].
Dans le cimetière militaire
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[49] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [50].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom du village apparaît pour la première fois dans les écrits en 1047, dans une charte de l'Abbaye de Beaulieu, sous l'appellation latine de Ecclesia S. Petri de Balcema. Le nom évoluera de nombreuses fois par la suite en fonction des différents transcripteurs: Lamela, Balcema, en 1107, Ballesma en 1218 dans une charte de l'Abbaye de la Merci-Dieu, puis Paroschia de Balesma, Balisma, Ballème sur la Carte de Cassini au XVIIIe siècle, et enfin la dénomination actuelle Balesmes au XIXe siècle [51]
.
Cimetière militaire de la Somme - Crucifix Corner Cemetery
[modifier | modifier le code]Pays | |
---|---|
Région | |
Département | |
Commune | |
Tombes |
804 |
Mise en service |
août 1918 |
Coordonnées |
Le Crucifix Corner Cemetery est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale situé sur le territoire de la commune de Fouilloy, dans le département de la Somme, à l'est d'Amiens.
Localisation
[modifier | modifier le code]Ce cimetière est situé à la limite sud de l'agglomération sur la D23 à proximité de se l'autoroute A29.
Histoire
[modifier | modifier le code]En mars 1918, l'armée allemande lance, depuis les environs de Saint-Quentin, son Offensive du Printemps en vue conquérir Amiens. Villers-Bretonneux est prise par les chars et l'infanterie allemande le 23 avril. Ce sera leur ultime point d'avancée puisque , dès le lendemain, des milliers de soldats australiens, qui étaient venus renforcer les effectifs de l'armée britannique reprennent possesssion des ruines de la ville. Le 24 avril 1918, le premier combat de chars de l'histoire eut lieu entre Villers-Bretonneux et Cachy, et oppose trois Mark IV britanniques et trois A7V allemands. Le secteur fut le théâtre de nombreux combats d'avril jusque mi-août 1918, date à laquelle le secteur fut défintivement libéré. Le cimetière, qui doit son nom à un calvaire détruit situé à proximité, a été commencé par le Corps canadien en août 1918. Après l'armistice, il fut considérablement agrandi lorsque des tombes furent rapportées de cimetières provisoires des environs. Ce cimetière comporte les tombes de 804 soldats de la Première guerre mondiale, dont 191 ne sont pas identifiées [52],[53]
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Ce cimetière présente un plan rectangulaire de 60 m sur 20. Il est entouré d'une haie d'arbustes sur les deux longueurs et d'un muret de pierre.
Il a été conçu par Sir Edwin Lutyens.
Sépultures
[modifier | modifier le code]Pays | Sépultures |
---|---|
Royaume-Uni | 288 |
Australie | 296 |
Canada | 76 |
France | 142 |
Empire russe | 2 |
Total | 804 |
Galerie
[modifier | modifier le code]-
A gauche, tombes de soldats français.
Liens internes
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires de la Somme
- Commonwealth War Graves
- Offensive du Printemps
- Bataille de Villers-Bretonneux (1918)
- Villers-Bretonneux
[[Catégorie:Cimetière militaire britannique dans la Somme
[[Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans la Somme
Vidéos mises
[modifier | modifier le code]-
L'Arros près du moulin de Sarlabous mise le 30 juin 2022 -
Fressies Péniche sur le canal de la Sensée mise le 6 juillet 2022
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Cochonou Caravane mise le 8 juillet 2022
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Tourtel caravane mise le 8 juillet 2022
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Haribo caravane mise le 8 juillet 2022
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Caravane Skoda mise le 8 juillet 2022
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Caravane Le Gaulois mise le 8 juillet 2022
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Tour de France Fressins mise le 12 juillet 2022
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Aître de Briscaret - Montivillers mise le 12 juillet 2022
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Aître de Briscaret - Montivillers mise le 13 juillet 2022
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Aître de Briscaret - Montivillers mise le 13 juillet 2022
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Abbaye de Montivilliers mise le 14 juillet 2022
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Abbaye de Montivillers 15 juiilet 2022
-
Douche des pigeons à Montivilliers mise le 15 juillet 2022
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Entre-les-Fourgs- Remontée de vaches mise le 16 juillet 2022
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Entre-les-Fourgs- Remontée de vaches mise le 16 juillet 2022
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Carcans- Eglise mise le 21 juillet 2022
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Rocquigny- Eglise mise le 31 juillet 2022
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Rocquigny- Eglise mise le 31 juillet 2022
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Le conifer - mise le 16 août 2022
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Le conifer - mise le 18 août 2022
-
Le conifer mise le 19 août 2022 -
Eglise des Hôpitaux mise le 19 août 2022
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Eglise de Mouthe mise le 27 août 2022
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Intérieur de l'église de Rochejean vidéo mise le 10 septembre
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Intérieur de l'église de Rochejean vidéo mise le 10 septembre
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Lisbonne Couvent des carmes Mise le 3 octobre 2022
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Vidéo de l'église Notre-Dame d'aubenton- vidéo mise le 11 octobre 2022 -
Sqbb Ambiance palais des Sports 14 oct 2022 Vidéo mise le 15 oct 2022 -
Sqbb Ambiance palais des Sports 14 oct 2022 Vidéo mise le 15 oct 2022 -
Eglise Saint-Nicolasce Bancigny vidéo mise le 16 octpbre 2022 -
Harcigny vidéo église mise le 17 oct 2022
-
Vidéo de l'intérieur de l'église. mise le 18 oct 2022 -
Bapaume intérieur de l'église mise le 19 oct -
Bapaume intérieur de l'église mise le 19 oct -
Eglise des Hôpitaus-neufs mise le 8 novembre 2022
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Brunehamel mise le 17 novembre 2022
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Eglise deJougne mise le 19 novembre
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Couvent de Carme mise le 4 décembre 2022
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Couvent de Carme mise le 4 décembre 2022
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Couvent de Carme mise le 4 décembre 2022
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mise le 12 décembre 2022
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Les azukejos mise le 12 décembre 2022
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Sintra Palais Nationa mise le 16 décembre 2022
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Lisbonne - Vidéo tranway
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Porto croisière sur le Douro
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Porto en tramway
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Porto ous le pont Dom luis
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Porto Pont Dom luis 1
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Porto pont Dom luis
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Porto La Ribeira
Cadran solaire
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Eglise de Suzy
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Ceffonds Cadran solaire daté de 1666.
Chemin de croix
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Faucoucourt
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Ceffonds
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Abbaye de Saint-Michel
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Sains-Richaumont
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Eglise de Plomion
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Soissons -Cathédrale
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Chavanges
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Chasséricourt
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Droyes
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Braucourt
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Ussel
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Queyrac
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Basilique de Saint-Quentin
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Eglise de Guémappe
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Eglise de Gavrelle (Pas-de-Calais)
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Eglise de Rue (Somme)
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Le Touquet
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Merlimont
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Cucq
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Cucq
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Eglise Saint-Jean-Baptiste de Berck - Chemin de croix- Station XIV -
Ville de Corrèze. -
Sommeron -
Gergny -
Eglise de Beuvron-en-Auge (Calvados) -
Cathédrale Saint-Vincent de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) -
Cathédrale Notre-Dame du Havre (Seine-Maritime) -
Eglise Notre-Dame de Dives-sur-Mer (Calvados). -
Eglise Saint-Sauveur de Caen (Calvados) -
Abbaye aux Hommes de Caen (Calvados) -
Eglise d'Oyrières (Haute-Saône) -
Cathédrale Notre-Dame de Bayeux (Calvados) -
Eglise de Dozulé (Calvados) -
Eglise Saint-Jacques de Reims (Marne) -
Eglise Saint-Remi de Reims (Marne) -
Eglise de Vendays-Montalivet (Gironde) -
Eglise de Vensac (Gironde) -
Eglise de Montboyer (Charente) -
Eglise de Ronsenac (Charente) -
Eglise Saint-Malo de Dinan (Côtes-d'Armor) -
Eglise de Pleslin-Trivagou (Côtes-d'Armor) -
Eglise de La Fresnais (Ille-et-Vilaine) -
Cathédrale Saint-Samson de Dol-de-Bretagne (Ille-et-Vilaine) -
Saint-Méloir-des-Ondes (Ille-et-Vilaine) -
Eglise de Saint-Suliac (Ille-et-Vilaine) -
Cathédrale Notre-Dame de Bayeux (Calvados) -
Eglise Saint-Michel de Pont-l'Evêque (Calvados) -
Eglise Saint-Thomas de Touques (Calvados) -
Eglise de Chaumeil (Corrèze) -
Eglise de Saint-Salvadour (Corrèze) -
Eglise abbatiale Saint-André de Meymac (Corrèze) -
Eglise Pérols-sur-Vézère (Corrèze) -
Chapelle Notre-Dame de Fournol (Corrèze) -
Eglise de Gourdon-Murat <Corrèze) -
Eglise Saint-Pardoux de Bugeat (Ccorrèze) -
Abbaye Saint-Pierre de Vertheuil (Gironde) -
Chelin de croix extérieur de Sombacour (Doubs) -
Eglise Pauillac (Gironde) -
Eglise de Saint-Laurent-Médoc (Gironde) -
Eglise de Carcans (Gironde) -
Eglise de Jougne (Doubs) -
Eglise d'Harfleur (Seine-Maritime) -
Eglise d'Octeville-sur-Mer (Seine-Maritime) -
Eglise de Masnières (Nord) -
Eglise de Masnières (Nord) -
Chemin de croix extérieur à Labarthe-Inard (Haute-Garonne) -
Rocquigny (Pas-de-Calais) -
Villedieu-les-Mouthe (Doubs) -
Gellin (Doubs). -
Malbuisson (Doubs) -
Labergement Sainte-Marie (Doubs) -
Mouthe (Doubs) -
Eglise de Chaux-Neuve (Doubs) -
Rochejean (Doubs) -
Péronne (Somme) -
Saint-Estèphe (Gironde) -
Sepx (Haute-Garonne) -
Haplincourt (Pas-de-Calais) -
Monastère de Batalha (Portugal) -
Eglise d'Aubenton (Aisne) -
Eglise de Brunehamel (Aisne) -
Eglise de Brunehamel (Aisne) -
Eglise de Bancigny (Aisne) -
Harcigny (Aisne) -
Plomion (Aisne) -
Eglise fortifiée de Beaurain (Aisne) -
Eglise de Bapaume (Pas-de-Calais) -
Flagey (Doubs) -
Les Hôpitaux-Neufs (Doubs) -
Longevilles-Mont-d'Or (Doubs) -
Gray (Haute-Saône) -
Musée des Carmes Lisbonne (Portugal) -
Musée des Carmes -Lisbonne (Portugal) -
Saint-Jouan-des-Guérets (Ille-et-Vilaine) -
Igreja de Nossa Senhora da Vitoria - Lisbonne (Portugal) -
Igreja de Santo Antonio dos Congregados -Porto (Portugal) -
Igreja Paroquial de Cinfaes (Portugal) -
Pleurtuit (Ille-et-Vilaine) -
Marac (Haute-Marne) -
Eglise de-Saint-Nicolas-de-Véroce (Haute-Savoie) -
Taninges (Haute-Savoie) -
Uzerche (Corrèze) -
Lécussan (Haute-Garonne) -
Boulogne-sur-Gesse (Haute-Garonne) -
Sarran (Corrèze) -
Saint-Gervais (Haute-Savoie) -
Le Sourd (Aisne) -
Flixecourt (Somme) -
Saint-Père-Marc-en-Poulet (Ille-et-Vilaine) -
Saint-Marcan (Ille-et-Vilaine) -
Fourdrain (Aisne) -
Villers-sur-Mer (Calvados) -
Houlgate (Calvados) -
Oyrières (Haute-Saône) -
Marnay (Haute-Saône) -
Saint-Benoît-des-Ondes (Ille-et-Vilaine)
Arrêt de volet
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Forme de S inversé -
Forme de pomme de pin -
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Troncs d'église
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Ceffonds
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Ceffonds
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Plomion
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Châtillon-sur-Broué
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Chasséricourt
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Chasséricourt
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Bailly-le-Franc
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droyes
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Droyes
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Braucourt - Tronc désaffecté
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Aubarède
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Aubarède
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Queyrac
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Queyrac
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Guémappe
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Gavrelle
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Eglise de Rue (Somme)
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Le Touquet
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Merlimont
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Eglise d'Etaples-sur-Mer -
Cathédrale Saint-Vincent-de Saint-Malo -
Cathédrale Saint-Vincent-de Saint-Malo -
Eglise Notre-Dame de Dives-sur-Mer. -
Cathédrale de Reims -
Cathédrale de Reims -
Eglise de Saint-Méloir-des-Ondes (Ille-et-Vilaine) -
Eglise de Bancigny (Aisne) -
Eglise de Jeantes (Aisne) -
Chapelle Saint-Claude - Jougne (Doubs) -
Eglise Saint-Isidore de Flagey (Haute-Marne) -
Eglise des Hôpitaux- Neufs (Doubs) -
Cathédrale de Gray (Haute-Saône) -
Eglise de Cinfaes - Portugal -
Moulis-en-Médoc (Gironde) -
Eglise de Pradines (Corrèze) -
Eglise de Saint-Jouan-les-Guérets (Ille-et-Vilaine) -
Eglise de Marac (Haute-Marne) -
Eglise de Marac (Haute-Marne) -
Eglise de Saint-Nicolas-de-Véroce (Hautes-Pyrénées) -
Eglise de Saint-Nicolas-de-Véroce (Hautes-Pyrénées) -
Le Sourd (Aisne) -
Eglise de Fourdrain (Aisne) -
Eglise de Saint-Suliac (Ille-et-Vilaine)
Cadrans solaire
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Arrembécourt
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Abbaye de Saint-Riquier.
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Eglise d'Oye-et-Palet Doubs.
Monument aux morts avec soldat
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center>Vertheuil (Gironde)
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Saint-Laurent-Médoc. -
Lesparre-en-Médoc. -
Villers-au-Tertre -
Fressain -
Cauville -sur-Mer. -
Agnicourt et Séchelles -
Latoue -
Doignt somme -
Plomion -
Ecoust-Saint-Mein -
Sarrageois -
Graincourt-les-Avrincourt -
la Fère. -
Mory Pas de Calais
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Domagné Ile et villaine -
Lerm-et-Musset Gironde -
grignols Gironde -
Cocumont lot-et-Garonne -
Birac Gironde -
Ayette - Pas-de-Calais -
Saint-Jouan-des-Guérets -
Fourdrain
Croix
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Lespugue
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Montmaurin
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Ciadoux
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Ciadoux
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Ciadoux
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Ciadoux
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Ciadoux
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Ciadoux
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Ciadoux
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Garaison
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Garaison
-
Garaison
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Proupiary (Haute-Garonne) -
Proupiary (Haute-Garonne) -
Croix de cimetière Proupiary (Haute-Garonne) -
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Beauchalot -
Beauchalot -
Beauchalot -
Beauchalot -
Pradines -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Marac. -
Balesta.
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Chaumeil
Bornes frontières canton de Vaud
[modifier | modifier le code]-
Borne 8 France
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Borne 8 France
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Borne 8 Suisse
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Borne 9 France
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Borne 9 Suisse
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Borne 10 France
-
Borne 10 Suisse
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Borne 11 France
-
Borne 11 Suisse
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Borne 12 Suisse
-
Borne 12
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Borne 13 Suisse
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Borne 13 France
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Borne 14 France
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Borne 14 Suisse
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Borne 15 Suisse
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Borne 15 France
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Borne 16 France
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Borne 16 Suisse
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Borne 17 Suisse
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Borne 17 France
-
Borne 18 France
-
Borne 19 Suisse
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Borne n°19. -
Borne n°20. -
Borne n°21. -
Borne n°22. -
Borne n°23. -
Borne double n°24 et 25. -
Borne n°26. -
La borne n°27 portant la date de 1587. -
La borne n°28. -
La borne n°29. -
Borne n°30. -
Borne n°31. -
Borne n°35. -
Borne n°36. -
Borne n°37. -
Borne n°38. -
Borne n°39. -
Borne n°40. -
Borne n°41. -
Borne n°42. -
Borne n°43. -
Borne n°44. -
Borne n°45. -
Borne n°46. -
Borne n°47. -
Borne n°48. -
Borne n°49. -
Borne n°50. -
Borne n°51. -
Borne n°52. -
Borne n°53. -
Borne n°54. -
Borne n°55. -
Borne n°56. -
Borne n°57. -
Borne n°58. -
Borne n°59. -
Borne n°60. -
Borne N° 61 près du poste frontière du Creux. -
Borne n°62. -
Borne n°63. -
Borne n°64. -
Borne N° 69. -
Borne N° 69 côté France . -
Borne N° 69 côté France . -
Borne N° 70 côté France . -
Borne N° 70 côté France . -
Borne N° 71 côté France . -
Borne N° 71 côté France . -
Borne N° 71 côté France . -
Borne N° 72 côté France . -
Borne N° 72 côté Suiise . -
Borne N° 73 côté France . -
Borne N° 73 côté Suisse . -
Borne N° 74 côté France . -
Borne N° 74 côté Suisse . -
Borne N° 75 côté France . -
Borne N° 75 côté Suisse . -
Borne N° 77 côté France . -
Borne N° 77 côté Suisse . -
Borne N° 78 côté France . -
Borne N° 78 côté Suisse . -
Borne N° 93 -
Borne N° 93 -
Borne N°94 -
Borne N° 95 -
Borne N° 95 -
Borne N°96 -
Borne N°96 -
Borne N° 97 -
Borne N°97 -
Borne N° 98 -
Borne N° 99 -
Borne N° 100 -
Borne N° 101 -
Borne N° 101 -
Borne N°102 -
146F. -
147F. -
147F. -
148F. -
148S. -
149F. -
150F. -
150F. -
151S. -
151F. -
152F. -
152S. -
153S. -
153F. -
154S. -
154S. -
155F. -
155S. -
156F. -
157F. -
<center157F>.
-
157F. -
158F.
Photomontage
[modifier | modifier le code]
lisrte des commune[54]
Dictons et sobriquets[55]
Au siècle dernier, les habitants des communes alentour affublaient les saintois du sobriquet de Gagins de Sains[56].
Ambulant postal
[modifier | modifier le code]Un service d' ambulant postal a fonctionné sur cette ligne avant la guerre 14. Les lettres étaient déposées dans les gares et, dans le train, un employé oblitérait le courrier avec un timbre à date rond à créneaux, typique des cachets d'ambulants postaux français du début du XXè siècle.
Passé ferroviaire de la commune
[modifier | modifier le code]-
Carte postale de la gare de Noailles vers 1910 vue côté voies. -
Carte postale de la gare de Noailles vers 1910, vue côté route. -
Horaire de la ligne en mai 1914.
De 1880 à 1950, le village a été traversé par la Ligne de chemin de fer de Hermes à Beaumont, qui , venant de Berthecourt, passait au nord de la commune et se dirigeait ensuite vers la gare de Sainte-Geneviève.
A une époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises. Avant 1914, cinq trains s'arrêtaient à Noailles dans chaque sens chaque jour.
Après la Seconde Guerre mondiale, avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en 1948. Les rails ont été retirés et la gare désaffectée.
De nos jours, la Rue des Ecoles et la Rue Maupéou suivent le tracé de l'ancienne voie.
Passé ferroviaire de la commune
[modifier | modifier le code]-
Tracé de la ligne en 1920. -
Carte postale de la gare d'Acheux-Varennes vers 1910 vue côté voies. -
Horaire de la ligne en mai 1914.
De 1891 à 1949, le village d'Acheux-en-Amiénois a été relié à la Ligne de chemin de fer de Doullens à Albert, qui , venant de Léalvillers, passait au mord de la commune et se dirigeait ensuite vers la halte de Bertrancourt. La gare commune aux villages d'Acheux et de Varennes était située au nord de la commune.
A une époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises. En 1914, cinq trains s'arrêtaient dans chaque sens chaque jour à la gare commune aux villages d'Acheux et de Varennes, située à 1,5 km au nord de la commune sur le territoire de la commune d'Acheux-en-Amiénois.
Après la Seconde Guerre mondiale, avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en 1949. Les rails ont été retirés et la gare désaffectée.
De nos jours, le tracé de l'ancienne voie est encore présent dans le sud de la commune.
Historique
[modifier | modifier le code]Cette ligne était destinée à compléter le maillage des voies de chemin de fer fer du département de l'Aisne en reliant la ligne de chemin de fer de Saint-Quentin à Guise ouverte en 1874 à la Ligne de Creil à Jeumont qui passe à Saint-Quentin.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Saint-Quentin et le Saint-Quentinois », Office de tourisme de Saint-Quentin (consulté le )
- http://www.carto1418.fr/target/19140831.html
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5702838h/f129.image.r=Ribemont%20La%20Fert%C3%A9-Chevresis?rk=214593;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9311352/f6.image.r=Ligne%20de%20Hirson%20%C3%A0%20Guise?rk=386268;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5702838h/f129.image.r=Ribemont%20La%20Fert%C3%A9-Chevresis?rk=214593;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9311352/f6.image.r=Ligne%20de%20Hirson%20%C3%A0%20Guise?rk=386268;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738133j/f111.item.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4753648p/f3.item.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart.zoom
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6290001k/f7.image.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart?rk=278971;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54884691/f8.image.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart?rk=214593;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65116054/f2.image.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart?rk=42918;4
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55044158/f21.image.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart?rk=64378;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55044158/f23.image.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart?rk=64378;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55044158/f63.image.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart?rk=64378;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6521358h/f3.image.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart?rk=85837;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9766412m/f44.image.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart?rk=193134;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5702838h/f129.image.r=Ribemont%20La%20Fert%C3%A9-Chevresis?rk=214593;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738133j/f1.item.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart.zoom
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k873944t/f2.item.r=Ligne%20de%20Busigny%20%C3%A0%20Hirson.zoom
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4140352/f6.item.r=Ligne%20de%20Marle-sur-Serre%20%C3%A0%20Montcornet.zoom
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9766412m/f42.item.r=ligne%20de%20Marle-sur-Serre%20%C3%A0%20Montcornet
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9766412m/f44.item.r=ligne%20de%20Marle-sur-Serre%20%C3%A0%20Montcornet
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8667954j/f1.planchecontact
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1434621.r=Montigny-sous-marle?rk=64378;0
- https://books.google.fr/books?id=rsNpi7IVulEC&printsec=frontcover#v=onepage&q&f=false
- https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta7e5134316812c2e9/dao/0/layout:linear/idsearch:RECH_a168f8719fad8715a79f3bb76e4e8ce1#id:1819221050?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=4322.000,-2701.000&zoom=8&rotation=0.000
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- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96349681/f14.image
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k657877/f108.image.r=Parfondeval?rk=64378;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k408881m/f192.image.r=Parfondeval?rk=257512;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1434621/f246.item.r=Parfondeval
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00079071
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9688981h/f11.item.r=Saint-Cannat.zoom
- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Alleins_Eglise_10.jpg
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f202.item.zoom
- https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta551aa8c743d94/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_c43b630b4b70c22d34c0cff3d10f1728#id:925041089?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2320.000,-1749.000&zoom=6&rotation=0.000
- https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta551aa8c743d94/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_c43b630b4b70c22d34c0cff3d10f1728#id:919499963?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=3066.183,-1615.704&zoom=9&rotation=0.000
- https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta551a427267fe2/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_d177818c73bdb6465c70116734b9ad5e#id:1056448553?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1120.000,-1746.000&zoom=5&rotation=0.000
- Romania, LIX, 1933
- Charles Rostaing, Les Noms de lieux, Paris, Presses universitaires de France, 1969
- Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, éditions Bonneton, 232 p., novembre 2000, p. 71 à p. 80, (ISBN 978-2-862-53265-3).
- Ernest Nègre, op. cit.
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- http://dictionnaireduchemindesdames.blogspot.com/2009/02/l-comme-laffaux.html
- « Carte des positions 16 mars 2017 », sur www.carto1418.fr.
- L'Echo d'Alger : journal républicain du matin, 2 avril 1917 sur Gallica.
- « Jeancourt - Monument aux Morts », sur Geneanet.
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 28 octobre 1920, p. 16685.
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2100400/f123.item
- (en) « Crucifix Corner Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
- (en) « Crucifix Corner Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k408869z/f139.image.r=chevennes
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5831522c/f1.image.r=Sains-Richaumont
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5831522c/f164.image.r=Sains-Richaumont?rk=751076;4
Ligne Laon au Cateau
[modifier | modifier le code]historique ligne[1]
Gares et stations | PK[2] | Les gares à l'origine. | État actuel. | |
---|---|---|---|---|
Le Cateau-Cambrésis | 76 km | |||
Le Cateau-Cambrésis | ||||
Saint-Souplet | 73 km | |||
Demi-Lieu | 70 km | |||
Wassigny | 66 km | |||
Mennevret | 62 km | |||
Petit-Verly | 60 km | |||
Tupigny | 57 km | |||
Le pont de Vadencourt | ||||
Grand-Verly | 54 km | |||
Lesquielles | 52 km | |||
Guise | 49 km | |||
Faubourg-de-Guise | 47 km | |||
Flavigny-le-Grand | 44 km | |||
Puisieux-et-Canlieux | 41 km | |||
Saint-Richaumont | 37 km | |||
Le Hérie-la-Viéville | 34 km | [[Fichier:|centre| Le Hérie-la-Viéville a possédé une halte située sur la ligne de chemin de fer de Laon au Cateau qui a fonctionné de 1892 à 1972. En 1910, quatre trains s'y arrêtaient dans chaque sens chaque jour. Cette halte, située à 4 km au sud du village en direction de Marle n'existe plus de nos jours (voir les horaires)[3]. .]] |
||
Faucouzy | 31 km | |||
Monceau-le-Neuf-et-Faucouzy | 28 km | |||
Chevresis-Monceau | 24 km | |||
La Ferté-Chevresis | 22 km | |||
Mesbresourt-Richecourt | 18 km | |||
Pouilly-sur-Serre | 14 km | |||
Chéry-lès-Pouilly | 10 km | |||
Aulnois-sous-Laon | 5 km | |||
Laon | 0 km |
Ligne de Romery à Liart
[modifier | modifier le code]Aisne, Ardennes
56 km
Gares : Wiège/Faty/Romery (correspondance pour Guise et Hirson), Wiège, Le Sourd, La Vallée-aux-Bleds/Lemé, Voulpaix, Cambron, Vervins (correspondance pour Laon et Hirson), Vervins-Ville, Thenailles, Harcigny, Plomion/Bancigny, Jeantes, Coutenval, Coingt, Iviers, Brunehamel, Mont-Saint-Jean, Blanchefosse, Bay/Grands-Caillaux, La Férée, Liart (correspondance pour Charleville-Mézières, Hirson, Amagne/Lucquy et Laon)
Ligne ouverte en 1912 (Wiège Brunehamel) et 1913 (Brunehamel Liart) ; mise à voie normale en 1920 (Wiège Iviers), 1923 (Iviers Brunehamel), 1924 (Brunehamel Blanchefosse) et 1925 (Blanchefosse Liart) ; fermée en 1935 (Vervins Liart) et 1951 (Wiège Vervins)
Compagnie des chemins de fer départementaux de l’Aisne
Gares et stations | PK[4] | Les gares à l'origine. | État actuel1. | ||
---|---|---|---|---|---|
Romery | 32 km | ||||
Wiège | 36 km | ||||
Le Sourd | 36 km | ||||
La Vallée-au-Blé, Lemé | 36 km | ||||
Voulpaix | 36 km | ||||
Cambron | 36 km | ||||
Vervins | 36 km | ||||
Thenailles | 36 km | ||||
Harcigny | 36 km | ||||
Plomion | 36 km | ||||
Jeantes | 36 km | ||||
Coutenval | 36 km | ||||
Coingt | 36 km | ||||
Corneaux | 36 km | ||||
Iviers | 36 km | ||||
Brunehamel | 36 km | ||||
Blanchefosse | 36 km | ||||
Bay Grand-Caillaux | 36 km | ||||
La férée | 36 km | ||||
Liart | 36 km |
Ligne d'Hirson à Amagne - Lucquy
[modifier | modifier le code]Gares et stations | PK[5] | Les gares à l'origine. | État actuel1. | ||
---|---|---|---|---|---|
Hirson | 32 km | [[Fichier:|vignette|centre| | |||
Martigny | 36 km | ||||
Aubenton | 32 km | [[Fichier:|vignette|centre| | |||
Rumigny | 32 km | [[Fichier:|vignette|centre| | |||
Aouste | 32 km | [[Fichier:|vignette|centre| | |||
Romery | 32 km | [[Fichier:|vignette|centre| |
Ligne de Busigny à Hirson
[modifier | modifier le code]viaduc Ohis[6]
Gares et stations | PK[7] | Les gares à l'origine. | État actuel1. | |
---|---|---|---|---|
Busigny | km | |||
Busigny | 32 km | |||
Becquigny | 36 km | |||
Vaux-Andigny | 32 km | |||
La Vallée-Mulâtre | 32 km | |||
Wassigny | 32 km | |||
Wassigny | 32 km | |||
Etreux | 32 km | |||
Boué | 32 km | |||
Le Nouvion-en-Thiérache | 32 km | |||
Buironfosse | 32 km | |||
La Capelle | 32 km | |||
Clairfontaine | 32 km | |||
Wimy- | ||||
Ohis-Neuve-Maison | 32 km | |||
Hirson | km | |||
Hirson | km | |||
Ligne de Laon à Hirson
[modifier | modifier le code]Gares et stations | PK[8] | Les gares à l'origine. | État actuel1. | |
---|---|---|---|---|
Hirson | km | |||
Buire | km | |||
Origny-en-Thiérache | km | |||
La Bouteille | km | |||
Vervins | km | |||
Saint-Gobert, Rougeries | km | |||
Lugny | km | |||
Marle-sur-Serre | km | |||
Voyenne | km | |||
Dercy, Froidmont | km | |||
Dercy, Mortier | km | |||
Barenton, Cohardille | km | |||
Verneuil-sur-Serre | km | |||
Barenton-Bugny | km | vignette|centre| | ||
Port-Sec, Chambry | km | |||
Laon | km |
Ligne du Cambrésis
[modifier | modifier le code]Gares et stations | PK[9] | Les gares à l'origine. | État actuel1. | |
---|---|---|---|---|
Saint-Quentin | 0 | |||
Rocourt | 2,1 | |||
Hirson | km | |||
Saint-Quentin Cambréisis | km | |||
Omissy | km | |||
Lesdins | km | |||
Levergies | km | |||
Joncourt | km | |||
Estrées | km | |||
Bellicourt | km | |||
Gouy | km | |||
Aubencheul-aux-Bois | km | |||
Villers-Outréaux- | km | |||
Malincourt | km | |||
Walincourt | km | |||
Clary | km | |||
Caudry Nord | km | |||
Caudry Camnbrésis | km |
Ligne de Marle à Montcornet
[modifier | modifier le code]Gares et stations | PK[10] | Les gares à l'origine. | État actuel1. | |
---|---|---|---|---|
Marle | 0 | |||
Montigny-sous-marle | 2,1 | |||
Cilly | 0 | |||
Bosmont-sur-Serre | 2,1 | |||
Saint-Pierremont | 0 | |||
Tavaux-et-Ponséricourt | 2,1 | |||
Agnicourt | 0 | |||
Séchelles | 2,1 | |||
Chaourse | 0 | |||
Montcornet | 2,1 |
Les moulin
[modifier | modifier le code]Les nombreux cours d'eau serpentant en Thiérache en permis l'installation de nombreux moulins à eau: beaucoup ont permis de moudre le grain pour obtenir la farine et d'autres ont fabriqué du papier[11].
La monographie écrite par M.Blanche indique qu'en 1888 Il existait trois moulins à eau dans la commune: le Moulin des Moines, le Moulin Neuf et le moulin de Lambercy. Le moulin des Moines a été incendié le 1er novembre 1885 et les deux autres chôment depuis plusieurs années [12].
Ces moulins, installés sur de petits cours d'eau à petit débit, souffraient du manque d'eau pendant les mois d'été. Peu rentables la plupart des moulins de Thiérache ont été abandonnés.
Première guerre mondiale
Le 29 août 1914, soit moins d'un mois après la déclaration de la guerre, le village est occupé par les Allemands après le défaite de l'armée française lors de le bataille de Guise. Pendant toute la guerre, Dagny-Lambercy restera loin du front qui se stabilisera à environ 150 km à l'est aux alentours de Péronne. Les habitants vivront sous le joug de l'ennemi: réquisitions de logements, de matériel, de nourriture, travaux forcés.
Ce n'est que début novembre 1918 que le village sera libéré.
Sur le monument aux morts sont écrits les noms des 14 soldats de la commune morts au Champ d'Honneur lors de la Grande Guerre. [13].
Les moulins
Les nombreux cours d'eau serpentant en Thiérache en permis l'installation de nombreux moulins à eau: beaucoup ont permis de moudre le grain pour obtenir la farine et d'autres ont fabriqué du papier [14].
La monographie écrite par M.Gosse indique qu'en 1888 Il existait deux moulins à eau dans la commune [15].
Ces moulins, installés sur de petits cours d'eau à petit débit, souffraient du manque d'eau pendant les mois d'été. Peu rentables la plupart des moulins de Thiérache ont été abandonnés au début du XXè siècle.
Ligne de chemin de fer
L'ancienne ligne de chemin de fer de Guise à Hirson
Sorbais a possédé une gare située sur la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson qui a fonctionné de 1910 à 1978. A l'ouverture de ligne en 1910, quatre trains s'arrêtaient chaque jour dans cette gare (voir les horaires en 1910 [16]).
Son emprise est utilisée depuis 2014 par l'Axe vert de la Thiérache.
Première guerre mondiale
Le 29 août 1914, soit moins d'un mois après la déclaration de la guerre, le village est occupé par les Allemands après le défaite de l'armée française lors de le bataille de Guise. Pendant toute la guerre, Dagny-Lambercy restera loin du front qui se stabilisera à environ 150 km à l'est aux alentours de Péronne. Les habitants vivront sous le joug de l'ennemi: réquisitions de logements, de matériel, de nourriture, travaux forcés.
Ce n'est que début novembre 1918 que le village sera libéré.
Sur le monument aux morts sont écrits les noms des 14 soldats de la commune morts au Champ d'Honneur lors de la Grande Guerre. [17].
Les églises fortifiées de Thiérache
[modifier | modifier le code]Fortifications des églises
Au XVIè siècle, lors des affrontements entre François 1er et Charles Quint, et lors de la Guerre franco-espagnole de 1635 à 1659, les villages de la Thiérache furent constamment ravagés aussi bien par les troupes françaises qu'étrangères. C'est à cette époque que la plupart des villages de Thiérache, comme Autreppes, fortifient leurs églises pour permettre aux habitants de s'y réfugier an cas d'attaque. Le clocher ou la nef, faits de hauts murs de briques et surmontés d'un étage, sont flanqués de tours percées de meurtrières. En cas d'attaque de bandes de pillards, les habitants du village s'y réfugiaient avec provisions pour tenir un siège de plusieurs jours[18].
papeteries del'aisne[19]
Histoire de la ville de Marle
[20]
Lire l'exhaustive description de l'église faite par M. Leroy, instituteur, dans sa monographie sur le village de Sa ouvriers en 1884 int-Pierre-lès-Franqueville su
r le site des Archives Départementales de l'Aisne en 1880 [21].
Une monographie communale de 1884 écrite par M.Moura consultable sur le site des Archives Départementales de l'Aisne, indique qu'il n'y a pratiquement plus de traces du château; les deux moulins à eau existant fabriquent de la farine [22].
papeteris
[modifier | modifier le code]Les papeteries
Les nombreux cours d'eau serpentant en Thiérache en permis l'installation de nombreux moulins à eau: beaucoup ont permis de moudre le grain pour obtenir la farine et d'autres, notamment à Saint-Gobert, Rougeries, Faty, Romery, Voulpaix, Franqueville, Vervins, Thenailles, Harcigny sont devenus des papeteries [23].
La roue à aube du moulin entraînait un axe sur lequel étaient fixés des plots avec des maillets qui frappaient la matière première composée pour un quart de déchets de chanvre et de chiffons et le reste de papier recyclé. La pâte obtenue était ensuite travaillée en fonction d'un cahier des charges très strict [24] pour obtenir différents types de papiers qui servaient notamment d'emballage des produits alimentaires dans les épiceries.
Jean-Louis Créplet créa en 1797 une papeterie à Saint-Gobert au lieudit "le Pré à la Barre" à la jonction des ruisseau du Cher-Temps et du Vilpion. En 1811, elle occupait dix ouvriers. Cette papeterie fut détruite par un incendie en septembre 1875 [25]
[26].<br
====Voulpaix
Les papeteries
Les nombreux cours d'eau serpentant en Thiérache en permis l'installation de nombreux moulins à eau: beaucoup ont permis de moudre le grain pour obtenir la farine et d'autres, notamment à Voulpaix , Franqueville, Saint-Gobert, Rougeries, Wiège-Faty, Romery, Vervins, Thenailles, Harcigny sont devenus des papeteries.
La roue à aube du moulin entraînait un axe sur lequel étaient fixés des plots avec des maillets qui frappaient la matière première composée pour un quart de déchets de chanvre et de chiffons et le reste de papier recyclé. La pâte obtenue était ensuite travaillée en fonction d'un cahier des charges très strict [27] pour obtenir différents types de papiers qui servaient notamment d'emballage des produits alimentaires dans les épiceries.
La papeterie de Voulpaix est fort ancienne puisque le 16 octobre 1649, Claude Roger de Comminge loua le moulin de Voupaix et son cours d'eau [28],
Carte de Cassini La Hérie
[modifier | modifier le code]Toponymie
Le village apparaît pour la première fois en 1144 sous l'appellation de Lahéris dans un cartulaire de l'Abbaye de Thenailles. L'orthographe variera ensuite de nombreuses fois en fonction des différents transcripteurs: Leeris, Leherie, Lanheris, Leharis, Leheries, Le Herys en 1556, Leeheries et la Viefville en 1568, Leheri, Lherys, Leherues en Vermandois, La Herry, Hérie, Laheries, la Hairie-la-Vieville en 1709. [29].
La Viéville était une ferme déjà disparue en 1880. Son nom était Viesville en 1353, La Viezville, Cense de Wiefville. Cette ferme a été acquise au XIIè siècle par l'Abbaye de Ribemont [30].
Carte de Cassini
La carte de Cassini montre qu'au XVIIIè siècle, Le Hérie (écrit le Héry est une paroisse. A l'ouest, est représenté le château qui fut construit en 1671 par la famille De Malortie. Incendié partiellement par les Allemands en 1916 et endommagé par les bombardements de novembre 1918, ce château a été reconstruit par la suite.
A l'ouest, sur les hauteurs est dessiné un moulin aujourd'hui disparu. Le chemin La pièce du moulin, près du château d'eau, rappelle la présence de ce moulin.
Au nord, existait une ferme dénommée Bretagne qui était déjà disparue en 1880.
A l'est est représentée le ferme La Viéville dont le nom a été joint à celui de Le Héry pour former le village de Le Hérie-la-Viéville à la fin du XVIIIè siècle.
L'ancienne ligne de chemin de fer de Laon au Cateau
Le Hérie-la-Viéville a possédé une halte située sur la ligne de chemin de fer de Laon au Cateau qui a fonctionné de 1892 à 1972. En 1910, quatre trains s'y arrêtaient dans chaque sens chaque jour. Désaffectée en 1972, cette halte, située à 4 km au sud du village en direction de Marle existe en core de nos jours. (voir les horaires)[31].
Première guerre mondiale
Après les combats des 29 et 30 août 1914 aux alentours de la commune, [32], soit moins d'un mois après la déclaration de la guerre, le village est occupé par les troupes allemandes après le défaite de l'armée française lors de le bataille de Guise. Pendant toute la guerre, Le Hérie-la-Viéville restera loin du front qui se stabilisera à environ 150 km à l'est aux alentours de Péronne. Les habitants vivront sous le joug des Allemands: réquisitions de logements, de matériel, de nourriture, travaux forcés. Ce n'est que début novembre 1918 que les Allemands seront chassés du village par les troupes françaises. Sur le monument aux morts sont écrits les noms des dix-neuf soldats de la commune morts au Champ d'honneur.
papeteruie 1871[33]
papeteries del'aisne[34]
Lire l'exhaustive description de l'église faite par M. Leroy, instituteur, dans sa monographie sur le village de Saint-Pierre-lès-Franqueville sur le site des Archives Départementales de l'Aisne en 1880 [35].
M. Leroy, instituteur, a publié une monographie sur le village consultable sur le site des Archives Départementales de l'Aisne en 1880 [36].
Canal de Saint-Quentin
Inauguré en 1810 par Napoléon, le Canal de Saint-Quentin apporta un important essor économique au village avec l'implantation d'un quai de chargement.
Guerre14 18 Bohain[37]
Eaves[38]
fontaine uerte[39]
caulaincourt[40]
morcourt lesdins[41]
hombmières prémont[42]
holnon[43]
germaine[44]
vendhuille page 120!Foreste 142: villerssaint b 152:Fayet 162
>
Gouy 14_18[45]
1827. Le village fut presque entièrement détruit pendant la Première Guerre mondiale.
===Guerre 14-18===Déplacement a Vraignes des habitants de Maissemy, caumaincourt, Trefcon, poeuilley, moncjy, gricourt Villevque[46]
Palmarès
[modifier | modifier le code]- Coupe de Macédoine : 2018
Notes et références
[modifier | modifier le code]- https://www.lignes-oubliees.com/index.php?page=cateau1
- Les points kilométriques sont ceux mentionnés au Livret Chaix de mai 1914
- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Ligne_Laon_-_Guise_-_Wassigny-Busigny_1910.jpg
- Les points kilométriques sont ceux mentionnés au Livret Chaix de mai 1914
- Les points kilométriques sont ceux mentionnés au Livret Chaix de mai 1914
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6239072s/f33.image.r=Ligne%20de%20Busigny%20%C3%A0%20Hirson?rk=150215;2
- Les points kilométriques sont ceux mentionnés au Livret Chaix de mai 1914
- Les points kilométriques sont ceux mentionnés au Livret Chaix de mai 1914
- Les points kilométriques sont ceux mentionnés au Livret Chaix de mai 1914
- Les points kilométriques sont ceux mentionnés au Livret Chaix de mai 1914
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f82.item.r=Saint-Gobert
- https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta551644d773309/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_b859f8c0daf1c6e97e6358a3c926d94a#id:649670711?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1120.000,-1774.500&zoom=6&rotation=0.000
- https://en.geneanet.org/cemetery/search/?go=1&name=&niveaux_1___1875158291__=monuments&page=2&place__0__=Dagny-Lambercy&prenom=
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f82.item.r=Saint-Gobert
- https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta7e5134316812c2e9/dao/0/layout:linear/idsearch:RECH_a168f8719fad8715a79f3bb76e4e8ce1#id:1819221050?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=4322.000,-2701.000&zoom=8&rotation=0.000
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- https://en.geneanet.org/cemetery/search/?go=1&name=&niveaux_1___1875158291__=monuments&page=2&place__0__=Dagny-Lambercy&prenom=
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k408887w/f32.image.r=burelles?rk=236052;4
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n.r=Saint-Pierre-l%C3%A8s-franqueville?rk=21459;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1434621.r=Gronard?rk=150215;
- https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta5519639883b28/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_5a90f5173d0b24f1655476354f9db035#id:51018508?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1120.000,-1742.000&zoom=6&rotation=0.000
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- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n.r=Saint-Pierre-l%C3%A8s-franqueville?rk=21459;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f22.item.r=Saint-Pierre-l%C3%A8s-franqueville
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f82.item.r=Saint-Gobert
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f73.item.r=Saint-Pierre-l%C3%A8s-franqueville
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f22.item.r=Saint-Pierre-l%C3%A8s-franqueville
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f34.image.r=Saint-Pierre-l%C3%A8s-
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f185.item.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s.zoom
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f336.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Ligne_Laon_-_Guise_-_Wassigny-Busigny_1910.jpg
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6556253g/f102.image.r=Le%20H%C3%A9rie
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f76.image.r=Rougeries
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n.r=Saint-Pierre-l%C3%A8s-franqueville?rk=21459;2
- https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta5519639883b28/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_5a90f5173d0b24f1655476354f9db035#id:51018508?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1120.000,-1742.000&zoom=6&rotation=0.000
- https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta5519639883b28/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_5a90f5173d0b24f1655476354f9db035#id:49171466?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1370.000,-1785.500&zoom=6&rotation=0.000
- https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/14707/a011435678431aLzPq8/74b46ae923
- https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/14707/a011435678431aLzPq8/71fdb0a021
- https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/14707/a011435678431aLzPq8/77c3bced1b
- https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/14707/a011435678431aLzPq8/77c3bced1b
- https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/14707/a011435678431aLzPq8/77c3bced1b
- https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/14707/a011435678431aLzPq8/75d483c7c8
- https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/14707/a011435678431aLzPq8/edafc92a94
- https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/1470 nauro7/a011435678431aLzPq8/55cd366a8f
- https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/14707/a011435678431aLzPq8/d17ea3dbf6
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6530584n/f219.image.r=Tertry?rk=364808;4
Liste de communes comportant une nombre dans leur nom
[modifier | modifier le code]- Deux-Chaises
- Septsarges
- Danne-et-Quatre-Vents
- Chémery-les-Deux
- Les Trois-Pierres
- Colombey-les-Deux-Églises
- Les Cent-Acres
- Sept-Meules
- Les Trois-Îlets
- Les Trois-Moutiers
- Les Trois-Bassins
- Les Deux-Fays
- Calleville-les-Deux-Églises
- Quatre-Champs
- Sept-Saulx
- Treize-Vents
- Trois-Fontaines-l'Abbaye
- Trois-Fontaines
- Trois-Puits
- Trois-Fontaines
- Rogny-les-Sept-Écluses
- Troisfontaines
- Mandres-aux-Quatre-Tours
- Wingersheim les Quatre Bans
- Treize-Septiers
- Saint-André-Treize-Voies
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[modifier | modifier le code]6 ou 7 mots
- Beaujeu-Saint-Vallier-Pierrejux-et-Quitteur
- Saint-Remy-en-Bouzemont-Saint-Genest-et-Isson
- Saint-Germain-de-Tallevende-la-Lande-Vaumont
- Sainte-Marie-du-Lac-Nuisement
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[modifier | modifier le code]animal
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[modifier | modifier le code]fruits
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[modifier | modifier le code]Première guerre mondiale
Après la bataille des frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'état-major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Le , les Allemands s'emparent du village et poursuivent leur route vers l'ouest [1]. Dès lors commença l'occupation qui dura jusqu'en octobre 1918. Pendant toute cette période, Beauvois restera loin des combats, le front se situant à une vingtaine de kilomètres à l'ouest vers Péronne. Le village servira de base arrière pour l'armée allemande.
En , le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front ; cette ligne Hindenburg de fortifications s'appuiera sur le canal de Saint-Quentin. Comme tous les villages se trouvant à l'avant de cette ligne, Beauvois sera rasé [2]: l'église, l'école, et les habitations seront dynamitées et incendiées; tous les arbres seront sciés à 1 m du sol. Auparavant, les habitants du village seront évacués vers Vraignes-en-Vermandois qui sera épargné pour servir d'abri à la population civile [3].
Après l'Armistice, peu à peu, les habitants évacués sont revenus Pour ceux qui furent de retour commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes et la population de 465 habitants en 1911 ne sera plus que de 284 en 1921.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le [4].
Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 12 soldats de la commune Morts pour la France ainsi que de 5
victimes civiles [5].
Le village sera repris le 24 septembre 1918 par les troupes franco-britanniques [6] [7]
=
[modifier | modifier le code] Canal de Saint-Quentin
Inauguré en 1810 par Napoléon, le Canal de Saint-Quentin apporta un important essor économique au village avec l'implantation d'un quai de chargement et l'établissement de nombreux commerces jusque dans les années 1980. Situé à l'entrée du tunnel du Tronquoy, les nombreuses péniches attendaient le toueur pour traverser en convoi ce tunnel et celui de Riqueval. avec l'implantation d'un quai de chargement et l'établissement de nombreux commerces jusque dans les années 1980.
L'ancienne ligne de chemin de fer du Cambrésis
La ligne de chemin de fer du Cambrésis a fonctionné de 1892 à 1954. Chaque jour, 6 trains partis de la gare du Cambrésis à Saint-Quentin, s'arrêtaient à Lesdins et partaient en direction de Cambrai [8] et 6 autres venaient de Cambrai pour se diriger vers Saint-Quentin. La gare que l'on peut voir sur la carte postale ci-contre n'existe plus depuis quelques années (voir les horaires [9]).
L'ancienne gare de chemin de fer sur la Ligne de Creil à Jeumont
En 1855 fut mise en service la portion de Saint-Quentin à Jeumont de la ligne de chemin de fer de Saint-Quentin à Jeumont. La gare d'Omissy a fonctoionné jusqu'en
En septembre 1918, après de durs combats, la Ligne Hindenburg est franchie sur le Canal de Saint-Quentin et peu à peu les Allemands, attaqués par les troupes franco-australiennes reculent de village en village.
D'abord libéré le 2 octobre par les troupes britanniques, le village a été repris le lendemain par les Allemands puis de nouveau libéré par les Britanniques après de violents combats [10]. Dans les deux cimetières britanniques de la commune sont inhumés 106 soldats britanniques tombés lors de ces combats [11] [12]. Le village a subi de nombreux dégâts suite aux bombardements.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le 26 octobre 1920[13].
Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 20 soldats de la commune morts pour la France ainsi s'une victime civile[14].
Lesdins fut libéré entre le 4 et le 8 octobre 1918 après de durs combats [15].
Le Tronqoy[16]
DICTIONNAIRE Toponymique Aisne
[modifier | modifier le code]Lettre A[17]>br>
TOPO DEBUT[18]
topo Brancourt[19]
topo Cauvigny[20]
topoCO[21]
topo fonsomme [22]
Topo Lempire[23]
Topo Montbrehain[24]
Topo letttre N [25]
Topo Lettre O[26]
Toponymieaisne Roupy[27]
Toponymie Aisne LettreT[28]
Toponymie aisne Vermand[29]
Trefon
Adjudication en 1792 "La ferme de Saint-Martin-des-Prés, située terroir de Trefcon, canton de Vermand, maiosn de fermier et bâtiments, cour jardin patagern..[30]
Courtigny[31]
Courtigny2[32]
harfleur histoire[33]
Renhour48/Brouillon2.
Toponymi Aisne[34]
Toponumie de l4aisne[35]
Toponymie aisne début[36]
Toponymie de la Meuse [37]
Le nom de la localité est attesté sous la forme Abecurt en 1151[38].
Fabrique de Sucre
[modifier | modifier le code]Sucreries en [39]
Il s'agit d'une formation en -court, caractéristique du haut Moyen Âge et du Nord de la France. Le mot court (curt, cort en ancien français) avait autrefois le sens de « cour de ferme, ferme, domaine rural » (parallèle au mot germanique hof cf. allemand Hof « cour, ferme »). Il est issu du bas latin cōrtem[40], comprendre gallo-roman CŌRTE, issus du latin classique cohors, cohortis. Le mot cour qui en procède, a une orthographe différente par analogie avec le latin curia.
Cassini Saint-Quentin[41]
Cassini Somme -Amiens [42]
Cassini Nord Cambrai[43]
Cassini Chalons sur Marne[44]
Carte de Cassini Chaumont [45]
Carte de Cassini Langres[46]
Carte de Cassini Creuse[47]
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095113v.r=carte%20de%20Cassini%20de%20la%20marne?rk=214593;2</ref>
Carte de Cassini Chateau-Thierrey sud[48]
Cassini Somme Albert[49]
Cassini Creuse Aubusson[50]
Cassini crese Evauxles-Bains[51]
Cassini Creuse bon[52]
Géographie de la Cresue [53]
Hameau de la Creuse Le monteil [54]
[55]
lazrbroye
[modifier | modifier le code]Sur la Carte de Cassini (vers 1750), le nom du village est écrit l'Arbroye.
Larbroye possèdait des carrières de pierre de bonne qualité dont certaines servirent à la construction du beffroi de Noyon en 1328 [56].
Au XVIIIè siècle, des vignes étaient cultivées sur territoire de la paroisse: un ordonnance royale du 27 août 1771 nomme un garde pour surveiller les vignobles [57]. Le village possédait un pressoir banal [58].
Première Guerre Mondiale
[modifier | modifier le code]Dès le début du mois de septembre 1914, Larbroye, comme toute la région, est occupé par l'armée allemande et restera loin du front qui se stabilisera à quelques kilomètres à sud-ouest vers Lassigny et Ribécourt-Dreslincourt jusqu'au début de 1917. Les occupants se livreront à de nombreuses exactions sur les habitations. Le propriétaire du château, soupçonné d'espionnage fut emprisonné à Noyon. Quand il revint fin septembre son château avait été pillé et incendié par l'ennemi [59] [60]. Pendant 30 mois les habitants vivront sous le joug des occupants qui réquisitionnent des pièces dans les habitations, le matériel, la nourriture et obligent hommes et femmes à travailler dans les champs pour nourrir les soldats du front. En février 1917, lors du retrait des Allemands sur la ligne Hindenburg, le village est évacué par l'ennemi [61]. Le secteur passe sous contrôle allié et sera de nouveau repris par l'ennemi lors de l'offensive du printemps de mars 1918. C'est au cours de cette période que les bombardements feront de nombreux dégâts à la mairie, à l'église et aux habitations. Ce n'est que début octobre 1918 que le secteur sera définitivement repris. Après l'Armistice, peu à peu les habitants revinrent s'installer à Larbroye. Pour eux commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes. chateau[62] chateay[63]
dépositio,ns Guerre violationIMPORTANT
[modifier | modifier le code]Liste des communes [64] Sermaize[65] Toponymie Pontl'Évêque doit son nom au Pont de l'Évêque qui fut construit au-dessus de l'Oise au XIIè siècle sur ordre de l'évêque de Noyon.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le Pont-sur-l'Oise était autrefois un important Peages[66]
histoire Varesne
[modifier | modifier le code]Louis 13[67]
Liste des articles divers que j'ai créés depuis mon inscription le 7 août 2018 Total 213 articles
[modifier | modifier le code]2018
[modifier | modifier le code]- Clédat village abandonné article le 23 novembre 2018 (3 218/an)
TOTAL: 1 article
2019
[modifier | modifier le code]- Liste de monuments aux morts français surmontés d'une croix latine artcicle créé le 13 avril 2019 (820/an)
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires du Nord artcicle créé le 15 avril 2018 (1713/an)
- Monument aux morts de Jougne article crée le 7 août 2019 (178/an)
TOTAL: 3 artcicles
2020
[modifier | modifier le code]- Saint-Martin-des-Prés (Aisne) village disparu artcicle créé le 27 janvier 2020 (1591/an)
- Ligne de Marle à Montcornet article créé le 25 octobre 2020 (256/an]
- Chemin de fer de Saint-Quentin à Guise article créé le 12 novembre 2020 (631 vues /an)
- Ligne de Ribemont à La Ferté-Chevresis article créé le 23 novembre 2020 (153/an)
- Ligne de Mézières-sur-Oise à La Fère article créé le 26 novembre 2020 ( 156/an)
- Parc des Champs-Élysées de Saint-Quentin artcicle créé le 17 décembre 2020 (947/an)
- Bornes frontière entre Jougne et la Suisse article crée le 25 décembre 2020 (841/an)
TOTAL: 7 article
2021
[modifier | modifier le code]- Hugo Besson basketteur artcicle créé le 5 mai 2021(31 000/an)
- William Pfisterbasketteur artcicle créé le 9 mai 2021 (672/an)
- Parker Jackson-Cartwright basketteur artcicle créé le 9 mai 2021 (181/an)
- Deane Williams basketteur artcicle créé le 24 juillet 2021 (723/an)
- Jhornan Zamora basketteur artcicle créé le 29 juillet 2021 (816/an)
- Krešimir Ljubičić basketteur artcicle créé le 31 juillet 2021 (400/an)
- Justin Pitts basketteur artcicle créé le 1er août 2021 (66/an)
- Neftali Difuidi basketteur artcicle créé le 2 septembre 2021 (744/an)
- Ligne de Dercy-Mortiers à Versigny artcicle créé le 15 octobre 2021 (186/an)
- Épidémie de choléra de Montbrehain en 1854 page créée le 1er novembre 2021 (103/an)
TOTAL: 11 articles
2022
[modifier | modifier le code]- Brandon Horvath SQBB artcicle créé le 8 septembre 2022
- Terrell Gomez SQBB artcicle crééle 8 septembre 2022
- Emmanuel Wembi SQBB artcicle créé le septembre 2022
- Melvin Ajinça SQBB artcicle créé le 9 septembre 2022
- Gare d'Aubenton artcicle créé le 11 octobre 2022
TOTAL: 5 articles
2023
[modifier | modifier le code]- Loïc Schwartz SQBB artcicle créé le 21 février 2023 / 150 la 6 octobre 2023
- Liste des 139 sites funéraires et mémoriaux de la Première Guerre mondiale inscrits sur la liste du Patrimoine mondial de l'Unesco créé le 4 octobre 2023 272 vues en 2jours
Liste des artciles Eglise + édifice religieux faites
[modifier | modifier le code]2018
[modifier | modifier le code]- Chapelle Notre-Dame de Brue-Auriac Var, page mise le 16 juillet 2018 (211/1an)
- Chapelle Saint-Claude d'Entre-les-Fourgs, Jougne page créée le 5 décembre 2018 (92/an)
TOTAL: 2 articles
2020
[modifier | modifier le code]- Croix de cimetière de Verseilles-le-Haut 7 janvier 2020 (30/an)
- Fontaine de saint-Algis page créée le 10 octobre 2020 (59/an)
TOTAL: 2 artciles
2021
[modifier | modifier le code]- Chemin de croix d'Alleins page mise le 13 septembre 2021 (189/an)
TOTAL: 1 articles
2022
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Martin de Masnières, nord Page mise le 20 juillet 2022
- Église paroissiale Saint-Théodule page créée le 27 août 2022
- Église Saint-Jean-Baptiste de Rochejean page créée le 30 août 2022
- Église Saint-Barthélémy de Cieutat page créée le 3 septembre 2022
- Chapelle Notre-Dame-de-Roumé Cieutat page créee le 4 septembre 2022
- Église Saint-Nicolas de Bapaume Bapaume page créé le 20 octobre 2020
- Église Saint-Isidore de Flagey Flagey, haute Marne créée le 4 novembre 2022
TOTAL: 7 artcicles
2023
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Georges de Pradines page créée le 5 juillet 2023
- Église Notre-Dame de Seilhac page créée le 7 juillet 2023
- Église Saint-Médard de Bonnefond page créée le 11 juillet 2023
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Brethenay page crée le 18 juillet 2023
- Église Saint-Pierre de Saint-Père-Marc-en-Poulet page mise le 24 août 2023
- Église Saint-Pierre-Saint-Paul de Neuilly-sur-Suize page mise le 4 septembre 2023
- Église Saint-Eutrope-de-Saintes de Grandsaigne page mise le 17 septembre 2023
- Église Saint-Martin de Féron page mise le 6 octobre 2023
- Église de la Nativité-de-Saint-Jean-Baptiste d'Oyrières page mise le 20 Octobre
- Église Saint-Benoît de Saint-Benoît-des-Ondes page mise le 7 novembre
- Église Saint-Méloir de Saint-Méloir-des-Ondes page mise le 13 novembre
- Église Saint-Martin de Beuvron-en-Auge page mise le 31 décembre
Total 2023: 12 pages
2024
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Pierre-ès-Liens de Sarran page créée le 26 février 2024
Liste des articles cimetières militaires
[modifier | modifier le code]2018
- High Tree Cemetery,crée le 18 avril 2018, mise à jour près de l'Arbre-Haut 29 avril 2022 (19/an)
- Calvaire Cemetery crée le 23 avril 2018 ,mise à jour Montbrehain juin 2022 29 avril 2022 (53/an)
- Cimetière britannique de Montbrehain, crée le 23 avril 2018, mise à jour route de Fontaine 29 avril 2022 (25/an)
- Cimetière militaire allemand de Selvigny page créée le 25 avril 2018 (180/an)
- Cimetière militaire britannique de Roisel page créée le 28 avril 2018 modifiée le 1 er septembre 2022 (32/an)
- Joncourt East British Cemetery, crée le 1er mai 2018, modifiée le 31 août 2022 (27/an)
- Joncourt British Cemetery crée le 1er mai 2018, modifiée le 31 août 2022 (30/an)
- Extension britannique du cimetière communal de Beaurevoir, page créée le 3 mai 2018, mise à jour le 27 août 2018 (27/an)
- Extension britannique du cimetière communal de Beaurevoir, page crée le 4 mai 2018, mise à jour le 27 août 2022 (71 vues /an)
- Cimetière militaire allemand de Cambrai page créée le 12 mai 2018 (250/an)
- Jeancourt Communal Cemetery Extension page créée le 30 mai 2018 modifiée le 25 août 2022 (23/an)
- Cimetière militaire allemand de Caudry page créée le 5 juin 2018 (94/an)
- Cimetière militaire russe de Cambrai page créée le 13 juin 2018, mise à jour le 28 aôut 2022 (108/an)
- Targelle Ravine British Cemetery Villers-Guislain page créée le 23 juillet 2018, modifiée le 25 août 2022 (31/an]
- Gauche Wood Cemetery Villers Guislain page créée le 23 juillet 2018, modifiée le 25 août 2022 (39/an)
- Villers Hill British Cemetery page créée le 23 juillet 2018, modifiée le 25 août 2022 (32/an)
- Meath Cemetery Villers-Guislain page créée le 23 juillet 2018, modifiée le 25 août 2022 (47/an)
- Villers-Guislain Communal Cemetery page créée le 24 juillet 2018, modifiée le 25 août 2022 (22/an)
- Cimetière militaire Pigeon Ravine d'Epehy, page créée le 26 juillet 2018, mofifiée le 27 août 2022 (48/an)
- Cimetière militaire de Marteville page créée le 17 août 2018 mise à jour le 27 août 2022 (46/an)
- Prémont British Cemetery page crée le 24 août 2018, modifiée le 11 septembre 2022 (44/an)
- Landrecies British Cemetery page créée le 26 août 2018
- Landrecies Communal Cemetery page créée le 26 août 2018
- Preux-au-Bois Communal Cemetery page créée le 27 août 2018
- Cross Roads Cemetery de Fontaine-au-Bois page créée le 27 août 2018
- Fontaine-au-Bois Communal Cemetery page créée le 27 août 2018
- Englefontaine British Cemetery page créée le 27 août 2018
- Cimetière militaire britannique de Brancourt-le-Grand page créée le 28 août 2018, mise à jour le 24 août 2022 (38/an)
- Cimetière militaire britannique Domino d'Epehy, Epehy Somme page créée le 6 septembre 2018 mise à jour le 27 août 2022 (30/an)
- Cimetière militaire britannique Wood Farm d'Epehy, Epehy Somme page créée le 6 septembre 2018 mise à jour le 27 août 2022 (47/an)
- Conde-sur-l'Escaut Communal Cemetery page mise le 9 septembre 2018 photos ajoutées le 27 mars 2024
- Vaulx Hill Cemetery Vaulx-Vraucourt page créée le 18 septembre 2018 (57/an)
- Cimetière militaire britannique de Denain page crée le 19 septembre 2018
- Cimetière militaire allemand de Bouchain page crée le 20 septembre 2018 (188/an)
- York Cemetery (Haspres) page créée le 21 septembre 2018
- Haspres Coppice Cemetery page créée le 21 septembre 2018
- Avesnes-le-Sec Communal Cemetery Extension page créée le 21 septembre 2018
- Cimetière militaire allemand du Cateau-Cambrésis page créée le 14 octobre 2018 (136/an)
- Cimetière militaire britannique d'Aulnoy-lez-Valenciennes page crée le 20 novembre 2018
- Verchain-Maugré British Cemetery page créée le 20 novembre 2018 pas de photos
- Cimetière militaire d'Aulnoye page créée le 28 novembre 2018 pas de photos
- Berlaimont Communal Cemetery Extensionpage créée le 1er décembre 2018 2018 pas de photos
- Dourlers Communal Cemetery page créée le 1er décembre 2018 2018 pas de photos
- Avesnes-sur-Helpe Communal Cemetery page créée le 1er décembre 2018 2018 pas de photos
- Ghissignies British Cemetery page créée le 1er décembre 2018
- Glageon Communal Cemetery and Extension page créée le 1er décembre 2018 pas de photos
- Maing Communal Cemetery Extension page créée le 7 décembre 2018 Pas de photos
- Thiant Communal Cemetery age créée le 7 décembre 2018 Pas de photos
- Sebourg British Cemetery page créée le 8 décembre 2018 Pas de photos
- Valenciennes (St-Roch) Communal Cemetery page créée le 8 décembre 2018 Pas de photos
- Conde-sur-l'Escaut Communal Cemetery page créée le 9 décembre 2018
- Famars Communal Cemetery Extension page créée le 9 décembre 2018 pas de photos
- Preseau Communal Cemetery Extension page créée le 9 décembre 2018 pas de photos
- Villers-Pol Communal Cemetery Extension page créée le 10 décembre 2018 pas de photos
- Ruesnes Communal Cemetery page créée le 11 décembre 2018 pas de photos
- Vendegies-au-Bois British Cemetery page créée le 11 décembre 2018 pas de photos
- Pont-sur-Sambre Communal Cemetery page créée le 11 décembre 2018 pas de photos
- Sancourt British Cemetery page créée le 14 décembre 2018, mise à jour Sancourt Nord le 5 juillet 2022 (43/an)
- Cantimpré Canadian Cemetery, Sailly,créée le 18 décembre 2018, mise à jourSailly-lez-Cambrai, 4 juillet 2022 ((55/an)
- Poix-du-Nord Communal Cemetery Extension page créée le 28 décembre 2018 pas de photos
- Cimetière communal de Hautmont page créée le 30 décembre 2018 pas de photos
- Maubeuge Centre Cemetery page créée le 31 décembre 2018 pas de photos
- Maubeuge (Sous-le-Bois) Cemetery page créée le 31 décembre 2018 pas de photos
TOTAL: 63 pages cimetière pour 2018
2019
[modifier | modifier le code]- Drummond Cemetery, Raillencourt page créée le 4 janvier 2019 pas de photos (39/an)
- Raillencourt Communal Cemetery Extension page créée le 5 janvier 2019 pas de photos (38/an)
- Warhem Communal Cemetery page créée le 9 janvier 2019 (53/an)
- Croix-Rouge Military Cemetery page créée le 9 janvier 2019 les photos ne sont pas de moi (51/an)
- West-Cappel Churchyard Cemetery page créée le 10 janvier 2019 les photos ne sont pas de moi (51/an)
- Ligny-en-Cambrésis Communal Cemetery page créée le 12 janvier 2019 - photos mise en avril 2023 (45/an)
- Naves Communal Cemetery Extension page créée le 13 janvier 2019 pas de photos (15/an)
- Boulogne Eastern Cemetery page créée le 13 janvier 2019 fini (315/an)
- Terlincthun British Cemetery, Wimille page créée le 15 janvier 2019 pas de photos (260/an)
- Cimetière militaire allemand de Dourges page créée le 16 janvier 2019 fini (154/an)
- Cimetière militaire allemand de Lens-Sallaumines page créée le 18 janvier 2019 fini (214/an)
- Cimetière militaire allemand de Billy-Montigny page créée le 19 janvier 2019 une seule photo (157/an)
- Cimetière militaire allemand de Courrières page créée le 19 janvier 2019 aucune photo (137/an)
- Cimetière militaire allemand de Meurchin page créée le 20 janvier 2019 aucune photo (87/an)
- Cimetière militaire allemand de Pont-à-Vendin page créée le 20 janvier 2019 aucune photo
- Cimetière militaire allemand de Rumaucourt page créée le 20 janvier 2019 aucune photo (126/an)
- Cimetière militaire allemand d'Achiet-le-Petit page créée le 21 janvier 2019 (87/an)
- Cimetière militaire allemand de Villers-au-Flos page créée le 22 janvier 2019 photos perso mises le 13 septembre 2022 (100/an)
- Cimetière militaire allemand de Wicres Village page créée le 24 janvier 2019
- Cimetière militaire allemand de Wicres (Route de La Bassée) page créée le 25 janvier 2019
- Cimetière militaire allemand de Wavrin page créée le 26 janvier 2019une seule photo
- Cimetière militaire allemand du Sourd page créée le 30 janvier 2019 -j'ai fait (90/an)
- Cimetière militaire allemand de Mennevret page créée le 31 janvier 2019 -j'ai fait (65/an)
- Cimetière militaire allemand de Crécy-au-Mont page créée le 1er février 2019 j'ai fait (69/an)
- Cimetière militaire allemand de Fourdrain page créée le 1er février 2019 Photos mises le 11 septembre 2023
- Vailly-sur-Aisne British Cemetery page créée le 4 février 2019 fini (51/an)
- Vignacourt British Cemetery page créée le 11 février 2019 fini (77/an)
- Cimetière militaire allemand d'Origny-Sainte-Benoite page créée le 13 février 2019 fini (86/an)
- Cimetière militaire allemand de Loupeigne page créée le 14 février 2019 pas de photos (57/an)
- Cimetière militaire allemand de Chauny page créée le 14 février 2019 pas de photos (106/an)
- Cimetière militaire allemand d'Hirson page créée le 15 février 2019 fini (111/an)
- Nécropole nationale de Crécy-au-Mont page créée le 13 février 2019 fini (148/an)
- Vaux-Andigny British Cemetery page créée le 13 avril 2019 fini (28/an)
TOTAL: 33 artciles
2020
[modifier | modifier le code]- Nécropole nationale d'Origny-Sainte-Benoite (ossuaire) page mise le 6 juillet 2020 fini (94/an)
- Nécropole nationale d'Effry page mise le 4 octobre 2020 fini (67/an)
- Montcornet Military Cemetery page mise le 23 octobre 2020 fini (120/an)
TOTAL: 3 articles
2022
[modifier | modifier le code]- Cimetière militaire britannique de la ferme de Hem page créée le 5 mars 2022 (44/an)
- Peronne Road Cemetery page créée le 7 mars 2022 (58/an)
- Quarry Cemetery page créée le 8 mars 2022 (39/an)
- Bernafay Wood british Cemetery, Montauban page créée le 10 mars 2022
- Fricourt New Military Cemetery page créée le 11 mars 2022
- Citadel New Military Cemetery, Fricourt page créée le 11 mars 2022
- Fricourt British Cemetery (Bray Road) page créée le 11 mars 2022
- Peake Wood Cemetery, Fricourt page créée le 12 mars 2022
- Point 110 New Military Cemetery, Fricourt page créée le 12 mars 2022
- Point 110 Old Military Cemetery, Fricourt page créée le 12 mars 2022
- Suzanne Military Cemetery n°3 page créée le 22 mars 2022
- Suzanne Communal Cemetery Extension page créée le 22 mars 2022
- Bray Vale British Cemetery page créée le 24 mars 2022
- Bray Hill British Cemetery page créée le 25 mars 2022
- Grove Town Cemetery Méaulte page créée le 25 mars 2022
- Méaulte Military Cemetery page créée le 25 mars 2022
- Rancourt British Cemetery page créée le 26 mars 2022
- Guards' Cemetery, Combles page créée le 28 mars 2022
- Bulls Road Cemetery, Flers page créée le 30 mars 2022
- Thistle Dump Cemetery, High Wood page créée le 1er avril 2022 (27/an)
- Longueval Road Cemetery page créée le 2 avril 2022
- Bazentin-le-Petit Communal Cemetery Extension page créée le 2 avril 2022
- Bazentin-le-Petit Military Cemetery page créée le 3 avril 2022
- Bapaume Post Military Cemetery, Albert Albert page créée le 4 avril 2022 (38/ 4mois)
- Albert Communal Cemetery Extension page crée le 5 avril 2022 (45/ 4 mois)
- Adanac Military Cemetery, Miraumont page créée le 4 juin 2022 (33/4mois)
- Auchonvillers Military Cemetery page créée le 5 juin 2022 (15/3mois)
- Auchonvillers Military Cemetery page crée le 6 juin 2022 (20/2mois)
- Auchonvillers Military Cemetery page crée le 6 juin 2022 (14/3mois)
- Sucrerie Cemetery, Épinoy créé le 9 juillet 2022
- Sains-lès-Marquion British Cemeterycréé le 11 juillet 2022
- Ontario Cemetery, Sains-lès-Marquioncréé le 11 juillet 2022
- Quarry Wood Cemetery, Sains-lès-Marquioncréé le 11 juillet 2022
- Bourlon Wood Cemetery créé le 11 juillet 2022
- Cimetière militaire britannique de Vignacourt modifiée taille photos + photo tombe mise + modif drapeau 16 juillet 2022
- New Munich Trench British Cemetery beaumont - Hamel page faite le 26 juillet 2022
- Beaumont-Hamel British Cemetery page faite le 26 juillet 2022
- Cimetière militaire britannique de Sailly-Saillisel ajout photos le 31 juillet 2022
- Thilloy Road Cemetery, Beaulencourt, Beaulencourt page mise le 1er août 2022
- Beaulencourt British Cemetery de Ligny-Thilloy page mise le 1er août 2022
- Grevillers British Cemetery Grévillers 3 août 2022
- Warlencourt British Cemetery Warlencourt-Eaucourt page mise le 4 août 2022
- Serre Road Cemetery N°1 Puisieux page mise le 12 août 2022
- Serre Road Cemetery N°3 Puisieux page mise le 12 août 2022
- Luke Copse British Cemetery Puisieux page mise le 13 Août 2022
- Queens Cemetery, Puisieux Puisieux page mise le 14 Août 2022
- Railway Hollow Cemetery Hébuterne page mise le 15 août 2022
- Rossignol Wood Cemetery Hébuterne page mise le 17 août 2022
- Gordon Cemetery crée le 21 août 2022, Carnoy-Mametz
- Knightsbridge Cemetery Mesnil-Martinsart, page crée le 22 août 2022
- Knightsbridge Cemetery Mesnil-Martinsart, page crée le 23 août 2022
- Lonsdale Cemetery, Authuille page mise le 23 août 2022
- Authuille Military Cemetery Athuille page mise le 23 août 2022
- Blighty Valley Cemetery, Authuille page mise le 24 août 2022
- Aveluy Communal Cemetery Extension, Aveluy Somme page mise le 25 août 2022
- Sainte-Emilie Valley Cemetery, Villers-Faucon page créée le 31 août 2022
- Villers-Faucon Communal Cemetery and Extension, Villers-Faudon page créée le 31 août 2022
- Tincourt New British Cemetery Tincourt page créée le 1 er septembre 2022
- Doingt Communal Cemetery Extension Doingt page créée le 1 erseptembre 2022
- La Chapellette British And Indian Cemetery Péronnepage créée le 2 septembre 2022
- Owl Trench Cemetery Hébuterne, page créée le 11 septembre 2022
- Shrine Cemetery, Bucquoy, page créée le 11 septembre 2022
- Gommecourt British Cemetery N°2 Hébuterne, page créée le 11 septembre 2022
- Bancourt British Cemetery Bancourt, page mise le 14 se^ptembre 2022
- Red Cross Corner Cemetery Beugny page mise le 15 septembre 2022
- Vraucourt Copse Cemetery Vaulx-Vraucourt page créée le 17 octobre 2022
- Vaulx Australian Field Ambulance Cemetery Vaulx-Vraucourt page créée le 17 octobre 2022
- Bapaume Australian Cemetery Bapaume page mise le 20 octobre 2022
- Achiet-le-Grand Communal Cemetery Extension page mise le 31 octobre 2022
- Serre Road Cemetery N°2 Hébuterne page mise le 3 novembre 2022
- Quesnoy Farm Military Cemetery page mise le 6 novembre 2022
- Queens Cemetery (Bucquoy)page mise le 7 novembre 2022
- Bucquoy Communal Cemetery Extension page mise le 7 novembre 2022
- Dominion Cemetery Hendecourt-lès-Cagnicourt page mis ele 6 décembre 2022
- Monchy British Cemetery Monchy-le-preux mis le 11 décembre 2022
- Orange Trench Cemetery Monchy-le-preux mis le 11 décembre 2022
- Point-du-Jour Military Cemetery, Athies page créée le 31 décembre 2022
- Athies Communal Cemetery Extension page créée le 31 décembre 2022
TOTAL: 78 articles
2023
[modifier | modifier le code]- Agny Military Cemetery page mise le 2 janvier 2023
- Queant Road Cemetery page mise le 3 janvier 2023
- Cagnicourt British Cemetery page mise le 3 janvier 2023
- Dainville British Cemetery page mise le 5 janvier 2023
- Duisans British Cemetery page mise le 6 janvier 2023
- Dury Crucifix Cemetery page mise le 7 janvier 2023
- Dury Mill British Cemetery page mise le 8 janvier 2023
- Eterpigny British Cemetery page mise le 9 janvier 2023
- Naval Trench Cemetery page mise le 10 janvier 2023
- Chili Trench Cemetery page mise le 10 janvier 2023
- H.A.C. Cemetery, Ecoust Saint-Mein mise le 1er mars 2023
- Écoust Military Cemetery, Ecoust Saint-Mein mise le 1er mars 2023
- Écoust-Saint-Mein British Cemetery, Ecoust Saint-Mein mise le 2 mars 2023
- L'Homme Mort British Cemetery, Ecoust Saint-Mein mise le 2 mars 2023
- Mory Abbey Military Cemetery, Mory mise le 2 mars 2023
- Ervillers Military Cemetery mise le 3 mars 2023
- Saint-Léger British Cemetery mise le 4 mars 2023
- Mory Street Military Cemetery (Saint-Léger) mise le 4 mars
- Croisilles British Cemetery mis e 5 mars
- Croisilles Railway Cemetery mise le 5 mars 2023
- Summit Trench Cemetery mis el e5 mars 2023
- Hénin Communal Cemetery Extension mise le 5 mars 2023
- Hénin Crucifix Cemetery artcicle créé le 6 mars 2023
- Saint-Martin Calvaire British Cemetery artcicle créé le 6 mars 2023
- Cojeul British Cemetery artcicle créé le 7 mars 2023
- Héninel-Croisilles Road Cemetery artcicle créé le 7 mars 2023
- Bootham Cemetery, Héninel artcicle créé le 8 mars 2023
- Chérisy Road East Cemetery artcicle créé le 8 mars 2023
- Héninel Communal Cemetery Extension artcicle créé le 8 mars 2023
- Rookery British Cemetery artcicle créé le 8 mars 2023
- Cuckoo Passage Cemetery artcicle créé le 6 mars 2023
- Vendresse British Cemetery Vendresse et Beaulne Aisne mise le 20 mars
- Vendresse Churchyard Vendresse et Beaulne Aisne mise le 20 mars
- Euston Road Cemetery Colincamps mise le 27 mars 2023
- Cimetière militaire de la Sucrerie de Colincamps mise le 17 mars 2023
- Redan Ridge Cemetery No1 mise le 30 mars 2023
- Redan Ridge Cemetery No2 mise le 31 mars 2023
- Redan Ridge Cemetery No3 mise le 31 mars 2023
- Hamel Military Cemetery page mmise le 2 avril 2023
- Hunter's Cemetery page mise le 8 avril 2023
- Railway Cutting Cemetery page mise le 9 juin 2023
- Warry Copse Cemetery page mise le 10 juin 2023
- Gomiécourt South Cemetery page mise le 12 juin 2023
- Ayette Indian And Chinese Cemetery page mise le 13 juin 2023
- Hannescamps New Military Cemetery, page mise le 14 juin 2023
- Berles-au-Bois Churchyard Extension page mise le 14 juin 2023
- Berles-au-Bois New Military Cemetery page mise le 14 juin 2023
- Berles Position Military Cemetery page mise le 14 juin 2023
- Foncquevillers Military Cemetery page mise le 15 juin 2023
- Gommecourt Wood New Cemetery, Foncquevillers page mise le 16 juin 2023
- Bienvillers Military Cemetery page mise le 17 juin 2023
- Humbercamps Communal Cemetery Extension page mise le 17 juin 2023
- Bac-du-Sud British Cemetery, Bailleulval page mise le 18 juin 2023
- De Cusine Ravine British Cemetery, Basseux page mise le 19 juin 2023
- Bellacourt Military Cemetery, Rivière page mise le 20 juin 2023
- Le Fermont Military Cemetery, Rivière page mise le 20 juin 2023
- Morlancourt British Cemetery N°1 page créée le 1er septembre 2023
- Morlancourt British Cemetery N°2 page créée le 1er septembre 2023
- Dive Copse British Cemetery page créée le 3 septembre 2023
- Beacon Cemetery page créée le 7 septembre 2023*
- Ville-sur-Ancre Communal Cemetery Extension page créée le 8 septembre 2023*
- Dernancourt Communal Cemetery Extension page mise le 9 septembre
- Bouzincourt Communal Cemetery Extension page mise le 17 septembre 2023
- Martinsart British Cemetery page mise le 6 octobre 2023
- Mesnil Communal Cemetery Extension page mise le 6 octobre 2023
- Englebelmer Communal Cemetery Extension page mise le 7 octobre 2023
- Englebelmer Communal Cemetery page mise le 8 octobre 2023
- Aveluy Wood Cemeterypage mise le 9 octobre 2023
- Hédauville Communal Cemetery Extension le 9 octobre 2023
- Forceville Communal Cemetery and Extension le 11 octobre 2023
- Cimetière militaire allemand de Chauny le 11 octobre
- Chauny Communal Cemetery British Extension le 13 octobre
- Nécropole nationale de Chauny le 13 octobre
- Varennes Military Cemetery le 16 octobre
- Senlis Communal Cemetery Extension le 16 octobre
- Acheux British Cemetery le 30 octobre
- Tourgéville Military Cemetery le 2 novembre
- Happy Valley British Cemetery le 6 novembre
- Canadian Cemetery N°2 le 13 novembre 2023
- Arras Road Cemetery le 15 novembre 2023
- Highland Cemetery (Roclincourt) le 15 novembre 2023
- Roclincourt Military Cemetery le 16 novembre 2023
- Roclincourt Valley Cemetery le 18 novembre 2023
- Feuchy British Cemetery page mise le 21 novembre 2023
- Orange Hill Cemetery (Feuchy) page mise le 24 novembre 2023
- Achicourt Road Cemetery page mise le 21 décembre 2023
Total 2023 : 79 pages
2024
[modifier | modifier le code]- Hervin Farm British Cemetery Saint-laurent-Blangy le 14 janvier 2024
- Bailleul Road West Cemetery Saint-laurent-Blangy le 14 janvier 2024
- Bailleul Road East Cemetery Saint-laurent-Blangy le 14 janvier 2024
- Mindel Trench British Cemetery Saint-laurent-Blangy le 14 janvier 2024
- Contay British Cemetery Contay Somme le 19 janvier 2024
- Corbie Communal Cemetery and Extension Corbie le 21 janvier 2024
- La Neuville British Cemetery page mise le 23 janvier 2024
- Aubigny British Cemetery aubigny page mise le 25 janvier 2024
- Fienvillers British Cemetery page mise le 28 janvier 2024
- Doullens Communal Cemetery Extension No.1 page mise le 1er février 2024
- Doullens Communal Cemetery Extension N°2 page mise le 13 février 2024
- Gézaincourt Communal Cemetery Extension page mise le 16 février 2024
- Bagneux British Cemetery page mise le 16 février 2024
- Warloy-Baillon Communal Cemetery Extension page mise le 17 février
- Caix British Cemetery page mise le 18 février 2024
- Manitoba Cemetery, Caix page mise le 18 février 2024
- Démuin British Cemetery page mise le 20 février 2024
- Toronto Cemetery, Démuin page mise le 20 février 2024
- Adelaïde Cemetery page mise le 14 mars 2024
- Saint-Riquier British Cemetery page mise le 29 mars 2024
- Crump Trench British Cemetery page mise le 15 avril 2024
- Fampoux British Cemetery page mise le 15 avril 2024
- Level Crossing Cemetery page mise le 15 avril 2024
- Sunken Road Cemetery page mise le 15 avril 2024
- Roeux British Cemetery page mise le 17 avril 2024
- Brown's Copse Cemetery Roeux page mise le 21 avril 2024
- Bunyans Cemetery Tillooy-lès-Mofflaines page mise le 23 avril 2024
- Gourock Trench Cemetery Tillooy-lès-Mofflaines page mise le 23 avril 2024
- Houdain Lane Cemetery Tillooy-lès-Mofflaines page mise le 23 avril 2024
- Tilloy British Cemetery Tillooy-lès-Mofflaines page mise le 23 avril 2024
Localisation
[modifier | modifier le code]Construite au sud du bourg, elle domine la vallée de la Jougnena et la route des Alpes arrivant de la Suisse.
Historique
[modifier | modifier le code]S'appuyant sur les anciennes fortifications, elle servait à protéger le bourg des invasions pouvant venir de la Suisse ou de la vallée de la Jougnena ; ce passage était fermé par une porte dont il reste les deux piliers et les gonds. L'église d'origine ayant été jugée trop vétuste et trop petite du fait du fort développement de la population des forges du hameau de La Ferrière (en effet, la population de Jougne est passée de 1 317 habitants en 1856 à 2020 en 1872, soit pratiquement 50% en une quinzaine d'années), une nouvelle église plus grande a été construite vers 1860 en conservant le clocher d'origine. Mais un incendie détruisit en partie l'édifice en 1870. Pour raisons d'économies, la commune rebâtit un clocher plus simple comme on le voit sur la carte postale ; ce n'est qu'en 1981 qu'un nouveau clocher dans le style comtois fut reconstruit[68].
Galerie
[modifier | modifier le code]-
Carte postale de l'église vers 1910. -
Murs et chapelle bâtis sur les anciennes fortifications; -
Piliers de l'ancienne porte qui protégeait la route venant de le vallée de la Jougnena. -
Façade de l'église. -
La nef. -
Détail d'un vitrail de la chapelle centrale. -
Plaque commémorative des victimes des deux guerres.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- http://www.carto1418.fr/19140828.php
- http://www.carto1418.fr/target/19170316.html
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6530584n/f219.image.r=trefcon?rk=1158804;0
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- https://www.geneanet.org/gallery/?action=detail&id=208062&individu_filter=AUDIN&rubrique=monuments
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6235195w/f37.image.r=francilly?rk=85837;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6466497c/f6.image.r=francilly?rk=107296;4
- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Horaire_St-Quentin,_Le_Catelet,_Caudry_en_1898.jpg
- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Horaire_de_la_ligne_du_Cambr%C3%A9siis_1.jpg
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7579741p/f1.item.r=Sequehart.zoom
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6530268h/f6.image.r=Sequehart?rk=85837;2
- http://www.carto1418.fr/target/19181010.html
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- https://www.geneanet.org/gallery/?action=detail&id=197456&individu_filter=DESCHATRES&rubrique=monuments
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k63409679/f11.image.r=lesdins?rk=21459;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2993669/f1.item.r=Lesdins.zoom
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f46
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f46.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f83.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f96.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f123.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f159.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f198.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f224.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f240.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f249.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f282.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f312.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f332.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65772162/f8.image.r=trefcon?rk=64378;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k141681d/f134.image.r=courtigny?rk=257512;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k141681d/f134.image.r=courtigny?rk=257512;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65470080/f10.image.r=harfleur
- https://gallica.bnf.fr/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&collapsing=disabled&rk=321890;0&query=%28gallica%20all%20%22Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s%22%29%20and%20dc.relation%20all%20%22cb37326793g%22
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f396.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f46.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k392996/f50.image.r=cate%20de%20cassini%20de%20la%20meuse
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6), p. 1.
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5702838h/f129.image
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095286g/f1.item.r=carte%20de%20cassini%20du%20d%C3%A9partement%20de%20l'aisne.zoom
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095205q.r=Carte%20de%20Cassini%20de%20la%20Somme?rk=42918;4
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095239r/f1.item.r=Carte%20de%20Cassini%20du%20Nord.zoom
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095244x.r=carte%20de%20Cassini%20de%20la%20marne?rk=85837;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b530952421/f1.item.r=carte%20de%20Cassini%20de%20la%20marne
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095113v.r=Carte%20de%20Cassini%20de%20Langres?rk=64378;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b530951880.r=carte%20de%20Cassini%20de%20la%20Creuse?rk=85837;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095173b.r=carte%20de%20Cassini%20de%20la%20marne?rk=321890;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095180d.r=Carte%20de%20Cassini%20de%20la%20somme?rk=85837;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b530951880.r=Carte%20de%20Cassini%20de%20la%20Creuse?rk=85837;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095185n.r=Carte%20de%20Cassini%20de%20la%20Creuse?rk=128756;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b530951880.r=Carte%20de%20Cassini%20de%20la%20Creuse?rk=85837;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k503890d/f2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k503890d/f145.image.r=Le%20Monteil-au-Vicomte
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b530951880/f1.item.r=carte%20de%20Cassini%20de%20la%20Creuse
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57889096/f265.image.r=larbroye
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k453741r/f291.image.r=larbroye?rk=64378;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k453741r/f249.image.r=larbroye?rk=64378;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9770208f/f127.image.r=Larbroye
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9770208f/f127.image.r=Larbroye
- http://www.carto1418.fr/target/19170316.html
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6530584n/f113.image.r=sermaize-oise
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9770208f/f127.image.r=Larbroye
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6530584n/f268.image.r=sermaize-oise
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6530584n/f150.image.r=sermaize-oise
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8625084b/f13.image.r=Pont-l'Ev%C3%AAque
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57889096/f306.image.r=Varesnes
- Panneaux d'informations touristique apposés à l'intérieur de l'église
La première guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Comme d'autres villages de la région, Berzy-le-Sec est sorti meurtri de la Grande Guerre car le village est resté sur la ligne de front tout au long de la guerre.
Le , soit moins d'un mois après la déclaration de guerre, l'armée française bat en retraite vers l'ouest et les Allemands arrivent à Berzy-le-Sec[1].
En octobre de la même année, le secteur sera repris par les troupes françaises et le front se stabilisera à une vingtaine de kilomètres au nord de Soissons[2].
Le 31 mars 1917, M Raymond Poincarré, Président de la République, accompagné du Général Nivelle, descendent à la gare de Berzy pour visiter le front[3].
En mai 1917, les soldats français tiennent les hauteurs du village. Des combats meurtriers se dérouleront le 30 mai car les Allemands essayaient de reprendre la position[4]
Le village sortira définitivement de la zone des combats le 21 juillet 1918, la commune est reprise par la 69e division d'infanterie[5].
Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 28 soldats berziciens Morts pour la France.
-
La carte des régions dévastées établie à l'issue de la guerre. En hachuré rouge, zones complètement détruite -
Carte du front les 6 et 7 septembre 1918 montrant la progression des troupes françaises dans le secteur nord de Soissons. Berzy est alors en dehors du front
suite
[modifier | modifier le code]La carte des régions dévastées montre qu'à la fin de la guerre, le village de Margival est complètement détruit; il ne compte plus que 180 habitants contre 286 avant la guerre.
La ferme de Montgarny est également détruites.
Deux cimetères militaires provisoires sont implantés dans le village.
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[6] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [7].
Première Guerre Mondiale
[modifier | modifier le code]Dès le début du mois de septembre 1914, le village, comme toute la région, est occupé par l'armée allemande et restera loin du front qui se stabilisera à une vingtaine de kilomètres à sud-ouest vers Lassigny et Ribécourt-Dreslincourt jusqu'au début de 1917. Pendant 30 mois les habitants vivront sous le joug des occupants qui réquisitionnent des pièces dans les habitations, le matériel, la nourriture et obligent hommes et femmes à travailler dans les champs pour nourrir les soldats du front.
En février 1917, lors du retrait des Allemands sur la ligne Hindenburg, les habitants sont évacués et le village est systématiquement détruit: les constructions sont dynamitées, incendiées et tous les arbres coupés. Le secteur passe sous contrôle allié et sera de nouveau repris par l'ennemi lors de l'offensive du printemps de mars 1918. Ce n'est que le 4 octobre 1918 que le secteur sera définitivement repris. Après l'Armistice, peu à peu les habitants revinrent s'installer à Mondescourt. Pour eux commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes.
Pontoise[8]
eglise dtruites en 1917
[modifier | modifier le code]ef[9]
==Liste des monumnets détruits 14-18==
Liste[10]
Département de l'Aisne[11]
Liste des localités membres du réseau Les Plus Beaux Villages de France
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]La forme la plus ancienne est Brivisara dans l'Itinéraire d'Antonin, milieu du IIe siècle; puis Brunsara[12] sur la table de Peutinger, milieu du IIIe siècle; Briva Isaræ IVe siècle[13]; Pontem Hiserae, 874-900[14],[13]; Pontizara en 1174[15]; Pontisaram, 1185[13]; Puntesia en 1189[15]; Pons Isaræ en 1195[13]. Ces derniers noms viennent du latin pontem qui traduit le gaulois briva "pont" + isaram "rivière Oise" (Cf. Samarobriva) et Isara (Cf. Isère, Isar) nom celtique de la rivière qui a donné « Oise », d'où la traduction romane « Pontoise ».
=Notice hictoriaques ur les vcommunes de l'arrondissement de Compiègne
[modifier | modifier le code]Notice [16]
Varesnes =
[modifier | modifier le code]Histoire[17]
Guerre 14-18
[modifier | modifier le code]Liste des communes détruites Oise et aisne [18] Brétigny pierre de Saint-hubert[19]
=
[modifier | modifier le code]Calendrier qui marche Site officiel
Calendrier qui marche Modèle:Site de la LNB
Cliquer pour voir la calendrier ProB de la saison 2019 / 2020 Site officiel
=
[modifier | modifier le code]QUESMY[20]
IMPORTANT==
[modifier | modifier le code]eglises dgats[21] phots éfglises[22]
Commune | Texte de l’en-tête |
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Texte de la cellule | Texte de la cellule |
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citation
[modifier | modifier le code]« C'était dimanche.leur du clair soleil. »
Articles de Wikipédia
[modifier | modifier le code]Première guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Le 1er septembre 1914, soit un mois après le début de la guerre, le village fut occupé par troupes allemandes [23] et resta sur la ligne de front jusqu'en mars 1917. Les tranchées allemandes (en rouge sur le carte) se situaient au sud-est du village tandus que les tranchées alliées (en bleu sur la carte) étaient à 2 km au nord-est du village de Plessis-de-Roye; Cette situatio perdura ors du retrait des Allemands sur la Ligne Hindenburg. Comme la plupart des villages des environs, [24] Gallica[25]
En février 1917, le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages seraient détruits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. Dès le 15 février, les habitants de Jeancourt furent emmenés à la gare d'Hervilly-Montigny, installés dans des wagons à bestiaux, emmenés à Saint-Quentin et dispersés dans des lieux occupés, jusqu'en Belgique. En mars 1917[26], avant du retrait des troupes allemandes sur la ligne Hindenburg, le long du canal de Saint-Quentin, les maisons ont été pillées et incendiées, le village a été systématiquement détruit . L'église, le temple protestant, la mairie et toutes les maisons ont été dynamités et les arbres sciés à 1 m de hauteur ; seules deux chapelles du cimetière sont restées intactes.
Le village, vidé de ses habitants, est resté occupé par les Allemands et a été repris le 31 mars 1917 après de durs combats par les troupes britanniques[27]; Jeancourt restera sur la ligne de combats jusqu'au 18 septembre 1918, début de la bataille de la ligne Hindenburg (voir la carte ci-dessous).
Après l'Armistice, de nombreux habitants ne revinrent pas s'installer à Jeancourt et, avec les dommages de guerre, commencèrent une nouvelle vie dans d'autres lieux. Pour ceux qui furent de retour commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes. De 600 habitants avant la guerre, Jeancourt n'en comptait plus que 300 en 1921.
Le monument aux morts fut inauguré en 1923 : il porte les noms des 16 soldats de la commune morts pour la FranceErreur de référence : Balise fermante </ref>
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.
Fin août 1914, la Première Armée allemande envahit l’Oise et le Soissonnais. Entre le 6 et le 12 septembre 1914 les troupes françaises et britanniques stoppent les Allemands lors de la Première bataille de la Marne et les repoussent sur la rive droite de l'Aisne. Après de violents combats dans le Noyonnais et le Soissonnais, les tentatives réciproques de contournement d'aile des deux armées conduisent à la "Course à la mer". Le front se fixe alors pendant 30 mois entre la Somme et le Chemin des Dames, en passant par Lassigny, Ribécourt, Autrêches, Vic-sur-Aisne et s'étend en direction de Soissons. Si les villages proches du front sont progressivement évacués, ceux qui sont situés à l'arrière sont au contact des troupes. Villers-Cotterêts comme Noyon, villes de cantonnement et d’hôpitaux militaires, vivent au rythme du passage des troupes, des cérémonies militaires, des bombardements.
Grandvilliers:Lors de la Première Guerre mondiale, la commune est située à l'arrière du front, et sa gare sert au déplacement des troupes et des matériels ainsi qu'à l'évacuation des malades et prisonniers.
Un aérodrome militaire est aménagé en 1918 à la limite de Sommereux, sensiblement à l'emplacement des éoliennes actuelles. Il accueille début avril les 5e et 141e escadrilles, équipées de Sopwith, la 207e équipée de Breguet 16, sans doute dans le cadre de la Bataille d'Amiens. À la fin du même mois, le terrain voit passer la 237e escadrille équipée de Sopwith 1½ Strutter puis de Breguet 16, la 286e équipée de SPAD S.XVI, la 21e équipée de 10 Dorand AR.1 puis de SPAD bi-places. La 45e escadrille séjourne au terrain de Grandvilliers/Sommereux du 26 avril au 14 juin 1918, avec ses Breguet XIV A-2, suivie de la 102e, du 26 avril au 9 septembre 1918, avec ses SPAD puis Breguet XIV. D'autres escadrilles stationnent également, plus ou moins longuement, sur ce terrain2
La commune subit également un bombardement le 19 ou le 28 mai 1918, rue de Rouen, soulevant, selon les sources, un caisson d'artillerie ou une cuisine roulante et la projetant sur le toit d'une ferme3,4, .
Lassigny_Zouaves (Agrandir l'image).
Zouaves à Lassigny - © collection GIUVILI Livio Une première libération, avant une reprise violente des combats En mars 1917, l'Oise et une partie de l'Aisne sont libérées suite au repli allemand sur la ligne Hindeburg. Peu de temps après, le 16 avril 1917, la bataille du Chemin des Dames est déclenchée. Un an plus tard, au printemps 1918, les offensives allemandes bouleversent à nouveau la région. Après les batailles de Noyon (24-25 mars), du Mont-Renaud (26 mars-30 avril) et du Matz (9-11 juin) et l'enfoncement des lignes au Chemin des Dames, le front se fixe une nouvelle fois dans l'Oise et l'Aisne.
Vers la fin de la guerre Le 18 juillet 1918, la contre-offensive savamment organisée depuis la forêt de Retz par le général Mangin surprend les Allemands. Les plateaux en direction de Soissons et les villages sont libérés : c'est le début de la fin de la guerre. Celle-ci s'achève véritablement le 11 novembre 1918 avec la signature de l'Armistice dans la Clairière de Rethondes en forêt de Compiègne, symbole de la paix retrouvée.
Cent ans après, ces territoires de l'Aisne et de l'Oise restent marqués par le premier conflit mondial. Un patrimoine mémoriel riche et varié, parfois insolite attend le visiteur d'un bout à l'autre de la Ligne Rouge.
Tableaux Cassini Thiérache
[modifier | modifier le code]Commune | commentaires | Date |
---|---|---|
[[]] | ||
Dolignon | Cassini + cp allemande +guerre 14 | |
Lugny | Cassini + CP gare +topo + histoire + ligne + guerre | 21 juillet 2020 |
Le Hérie-la-Viéville | Cassini + cp village +topo +histoire + texte gare + guerre avec monu +château | 4 juillet 2020 |
Saint-Gobert | Cassini + CP gare + église + papeterie + guerre | 28 juin 2020 |
Laigny | Cassini + CP eglise+text histoire +cassini +mono+ moulins+ 14-18 | 17 juin 2020 |
Marly-Gomont | cassini + CP gare + topo +train +eglise fortifiée | 16 juin 2020 |
Autreppes | Cassini + CP gare + topo | 13 juin 2020 |
Erloy | Cassini + photo moulin + topo +cassini +moulin +monuments | 4 juin 20120 |
Englancourt | Cassini + Photo moulin +topo+Eglise fortifiée +mono+ monu | 3 juiin 2020 |
Flavigny-le-Grand-et-Beaurain | Cassini + dessin filature+ topo +mono | 30 mai 2020 |
Gronard | Topo + cassini (pas de CP) + histoire +insertion + mono +fontaine | 16 mai 2020 |
Voulpaix | Cassini + Carte postale moulin + texte Cassini + papeteries + vignttes Train sur pont | 4 mai 2020 |
Gercy | Topo + Cassini +carte postale + long texte histoire + papeterie + monument + monographie | 2 mai 2020 |
[[]] | ||
Rougeries | Cassini/+ carte postale papeterie + texte +toponymie + monographie + papeterie + monument | 28 avril 2020 |
Saint-Pierre-lès-Franqueville | Topo + cassini +pas de photo + Texte histoire + monographie | 23 avril 2020 |
Franqueville | Cassini/carte postale moulin + toponymie + papeterie + monographie + pas de monument | 22 avril 2020 |
Marfontaine | Topo + Cassini + CP +texte inséré +Texte | 20 avril 2020 |
Chevennes | Topo + Cassini + CP =Texte = Insertion texte | 19 avril 2020 |
Sains-Richaumont | Cassini + photo ancien gare + topo + histoite + ancienne gare | 19 avril 2020 |
Malzy | Cassini+ phto Bon Guerre + topo +Histoire + texte intégé + Monu | 18 avril 2020 |
Haution | Topo + Cassini +CP + Texte histoire + Réf AD = Monu | 15 avril 2020 |
La Vallée-au-Blé | Cassini + CP GARe =Topo + texte déjà mis + Ancienne ligne + Monu | 14 avril 2020 |
Lemé | Topo + cassini + CP gare + histoire + ancienne gare | 14 avril 2020 |
Colonfay | Topo + Cassini + pas de carte + texte histoire + Monu | 13 avril 2020 |
Le Sourd | Cassini + photo Gare + Topo + Texte + Anvienne ligne + topo | 13 avril 2020 |
Monceau-sur-Oise | Cassini + photo Gare + Topo + Texte histoire + églises fortifiées + monu | 13 avril 2020 |
Proisy | Cassini + CP + TOPO = Histoire + Texte intégr + ancienne ligne + monu | 12 avril 2020 |
Romery | Cassini/photo gare + texte +toponymie + papeterie + ligne de chemin de fer + monographie + réf plan cadastral | 11 avril 2020 |
Puisieux-et-Clanlieu | Topo + cassini+ photo gare +chateau +ancienne ligne + monu + Rien aux AD | 11 avril 2020 |
Wiège-Faty | Topo + cassini + CP moulin + histoire + texte papeterie + ref cadastre + gare | 10 avril 2020 |
[[]] |
}
Tableaux Eglises fortifiées=
[modifier | modifier le code]Commune | Photos septembre 2020 | Descriprtion | Intérieur | Date |
---|---|---|---|---|
[[]] | ||||
Église Saint-Martin de Féron | Page créée | Créée | 19 photos | 19 octobre 2023 |
Église Saint-Martin de Chaourse | 6 photos de moi avec légendes | déjà fait | 6 photos de moi avec légendes | 18 octobre 2020 |
Église Notre-Dame de Tavaux | 6 photos de moi avec légendes | non | 12 octobre 2020 | |
Église Saint-Rémi de Bosmont-sur-Serre | photo titre + 5 photos avec légendes | non | 11 octobre 2020 | |
Église Saint-Martin de Cilly | photo titre + 5 photos avec légendes | j'ai fait histoire | non | 7 octobre 2020 |
Église Saint-Martin de Wimy | 2 déjà mise + 3 de moi avec légendes | Déjà fait très bien | 7 photos de moi | 29 septembre 2020 |
Église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte d'Origny-en-Thiérache | 1 seule photo de moi 3 déjà mises | Travail très important déjà fait | non | 11 septembre 2020 |
Église Saint-Martin de Fontaine-lès-Vervins | 3 photos avec légende + 1 en place | non | non | 9 septembre 2020 |
Église Notre-Dame de La Bouteille | 5 photos avec légende | déjà faite | non | 9 septembre 2020 |
Église Saint-Martin de Sorbais | 4 photos avec légende | à faire | 6 photos avec légende | 4 septembre 2020 |
Église Saint-Martin de Macquigny | 6 photos avec légende | fait | non | 29 août 2020 |
Église Saint-Nicolas de Morgny-en-Thiérache | 5 photos avec légende | à faire | non | 25 août 2020 |
Église Saint-Martin de Cuiry-lès-Iviers | 6 photos avec légende | à faire | non | 24 août 2020 |
Église Saint-Médard de Parfondeval | 6 photos sans légende | pas de moi | 6 photos sans légende | 23 août 2020 |
Église Saint-Martin d'Archon | 6 photos avec légende | pas de moi | 4 photos avec légende | 21 août 2020 |
Église Notre-Dame de Renneval | 5 photos avec légende | j'ai fait | non | 18 août 2020 |
Église Saint-Martin de Vigneux-Hocquet | 5 photos avec légende | à compléter | 4 photos avec légende | 17 août 2020 |
Église Saint-Martin de Nampcelles-la-Cour | 5 photos avec légende | à faire | 1 seule | 16 août 2020 |
Église Saint-Martin d'Harcigny | 4 photos avec légendes | non | 5 photos avec légende | 14 août 2020 |
Église Saint-Corneille-et-Saint-Cyprien d'Hary | 6 photos avec légendes | énorme déjà faite | 1 seule prise à travers la grille | 4 août 2020 |
Église Saint-Martin de Burelles | 7 photos avec légendes | déjà faite | 7 photos avec légendes | 3 août 2020 |
Église Saint-Théodulphe de Gronard | 5 photos avec légendes | 8 photos avec légendes | 31 juillet 2020 | |
Église Saint-Médard d'Houry | 4 avec légendes | à faire | 30 juillet 2020 | |
Église Saint-Médard de Prisces | 6 sans légende | à faire | non | 27 juillet 2020 |
Église Saint-Évent de Rogny | 6 sans légende | à faire | 22 juillet 2020 | |
Église Saint-Rémi de Saint-Gobert | 7 photos avec légende | à faire | 22 juillet 2020 | |
Église Saint-Quentin de Lugny | 6 photos avec légendes | à faire | 21 juillet 2020 | |
Église Saint-Rémy de Marly-Gomont | 5 photos avec légende | à faire | 5 photos avec legende | 21 juillet 2020 |
Église Saint-Jean-Baptiste de Franqueville | 6 avec légendes | à faire | 24 juin 2020 | |
[[]] | ||||
Église Saint-Martin de Laigny | 8 sans légendes | à faire | 17 juin 2020 | |
[[]] | ||||
Église Saint-Hilaire d'Autreppes | 13 à compléter | Oui | 12 juin 2020 | |
[[]] | ||||
Église Saint-Algis de Saint-Algis | 6 photos avec légendes | à compléter | J'ai mis 5 photos avec légendes | 8 juin 2020 |
Église Saint-Nicolas d'Englancourt | 6 avec légende | j'ai fait mais à compléter | J'ai mis 5 photos avec légendes | 6 juin 2020 |
[[]] | ||||
Église Saint-Martin de Faty | 6 j'ai fait légendes | non | 21 mai 2020 | |
Église Saint-Médard de Flavigny-le-Grand-et-Beaurain | 6 avec légendes | non | 20 mai 2020 |
Tableau cassini aisne
[modifier | modifier le code]Commune | Date | Commune | Date | Commune | Date | Commune | Date| style="background:#DFFF00;" |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Bernes | 14 novembre 2019 | Hancourt | 14 novembre 2019 | Vraignes-en-Vermandois | 14 novembre 2019 | Poeuilly | 14 novembre 2019 |
Caulaincourt | 14 novembre 2019 | Attilly | 14 novembre 2019 | [[]] | [[]] | ||
Germaine | 4 décembre 2019 | Bony | 5 décembre 2019 | Vendhuile | 5 décembre 2018 | Beaurevoir | 10 décembre 2019 |
Nauroy | 11 décembre 2019 | Magny-la-Fosse | 12 décembre 2019 | Bellenglise | 12 décembre 2019 | Levergies | 16 décembre 2019 |
Joncourt | 17 décembre 2019 | Ramicourt | 17 décembre 2019 | Montbrehain | 18 décembre 2019 | Brancourt-le-Grand | 18 décembre 2019 |
Serain | 21 décembre 2019 | Fresnoy-le-Grand | 21 décembre 2019 | Prémont | 20 décembre 2019 | Aubencheul-aux-Bois | 24 décembre 2019 |
Roupy | 22 novembre 2019 | Gouy | 26 décembre 2019 | Le Catelet | 27 décembre 2029 | Abbaye du Mont-Saint-Martin | 27 décembre 2017 |
Fonsommes | 28 décembre 2019 | Croix-Fonsomme | 28 décembre 2019 | Fontaine-Uterte | 28 décembre 2019 | [[]] | |
[[]] | Lesdins | 15 janvier 2020 | Remaucourt | 17 janvier 2020 | Morcourt | 20 janvier 2020 | |
Omissy | 21 janvier 2020 | Essigny-le-Petit | 24 janvier 2020 | Trefcon | 27 janvier 2020 | Beauvois-en-Vermandois | 31 janvier 2020 |
[[]] | [[]] | [[]] | [[]] | ||||
[[]] | [[]] | [[]] |
Liste des départements terminés pour les bandeaux localisation
[modifier | modifier le code]Département | Date | Département | Date | Département | Date | Département | Date |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Drôme | août 2018 | Corrèze | octobre 2018 | Aisne | décembre 2018 | somme | février 2019 |
Cantal | 7 mai 2019 | Vosges | 6 juin 2019 | Oise | 17 Août 2019 | Haute-Marne | 23 octobre 2019 |
Creuse | 8 décembre 2019 | Morbihan | 17 février 2020 | Seine-Maritime | 19 mars 2020 | Aube | 18 avril 2020 |
Ardennes | 19 mai 2020 | Marne | 23 juin 2020 | Moselle | 10 septembre 2020 | Meurthe-et-Moselle | 15 novembre 2020 |
Bas-Rhin | 17 février 2021 | Haut-Rhin | 14 mars 2021 | Côtes-d'Armor | 28 mars 2021 | Loire | 10 avril 2021 |
Haute-Loire | 24 avril 1921 | Finistère | 6 mai 2021 | Vaucluse | 1er octobre 2021 | Vendée | 11 novembre 2021 |
Indre-et-Loire | 25 janvier 2022 | [[]] | [[]] | []] |
Liste des photos montages
[modifier | modifier le code]Commune | Date | Commune | Date | Commune | Date | Commune | Date |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Jougne | 2 février 2019 | Péronne | 8 février 2019 | Noyon | 6 mars 2019 | Douai | 8 mars 2019 |
Le Crotoy | 8 mars 2019 | Saint-Valery-sur-Somme | 8 mars2019 | Neussargues en Pinatelle | 9 mars 2019 | Le Rouget-Pers | 9 mras2019 |
Plateau d'Hauteville | 9 mars 2019 | Cesny-les-Sources | 9 mars 2019 | Surjoux-Lhopital | 10 mars 2019 | Valromey-sur-Séran | 10 mars 2019 |
Évry-Courcouronnes | 11 mars 2019 | Treigny-Perreuse-Sainte-Colombe | 11 mars 2019 | Guillon-Terre-Plaine | 11 mars 2019 | Rives-d'Autise | 11 mars 2019 |
Les Velluire-sur-Vendée | 11 mars 2019 | Montaigu-Vendée | 12 mars 2019 | Chanverrie | 12 mars 2019 | Bâgé-Dommartin | 13 mars 2019 |
Aubessagne | 13 mars 2019 | Val-de-Bonnieure | 13 mars 2019 | La Devise | 14 mars 2019 | Floirac | 14 mars 2019 |
Marchaux-Chaudefontaine | 14 mars 2019 | Dangeau | 15 mars 2019 | Arinthod | 15 mars 2019 | Amiens | 16 mars 2019 |
Blaignan-Prignac | 16 mars 2019 | Porte-de-Benauge | 16 mars 2019 | Entre-Vignes | 16 mars 2019 | Arvière-en-Valromey | 17 mars 2019 |
Bresse Vallons | 17 mars 2019 | Cessières-Suzy | 18 mars 2019 | Abriès-Ristolas | 18 mars 2019 | Crépy-en-Valois | 20 mars 2019 |
Duvy | 20 mars 2019 | Allonne | 20 mars 2019 | Frocourt | 20 mars 2019 | Vallouise-Pelvoux | 20 mars 2019 |
Bordes-Uchentein | 23 mars 2019 | Arcisses | 23 mars 2019 | Eole-en-Beauce | 23 mars 2019 | Cambrai | 25 mars 2019 |
Laon | 25 mars 2019 | Bassoues | 26 mars 2019 | Amblainville | 30 mars 2019 | Fay-les-Etangs | 30 mars 2019 |
Douzy | 31 mars 2019 | Notre-Dame-d'Estrées-Corbon | 31 mars 2019 | Saint Antoine l'Abbaye | 31 mars 2019 | Beaupréau-en-Mauges | 1er avril 2019 |
|Beaupréau-en-Mauges | 1er avril 2019 | Magnieu | 10 avril 2019 | Bierné-les-Villages | 10 varil 2019 | Saint-Quentin | 12 avril 21019 |
Les Hôpitaux-Neufs | 24 avril 2019 | Rochejean | 26 avril 2019 | Moret-Loing-et-Orvanne | 26 avril 2019 | Neufchâteau | 27 avril 2019 |
Erdre-en-Anjou | 28 avril 2019 | Mauges-sur-Loire | 30 avril 2019 | Orée d'Anjou | 30 avril 2019 | Saint-Crépin-Ibouvillers | 30 avril 2019 |
Villeneuve-en-Perseigne | 3 mai 2019 | La Romaine (Haute-Saône) | 3 mai 2019 | Champdor-Corcelles | 3 mai 2019 | Haut Valromey | 4 mai 2019 |
Groslée-Saint-Benoit | 6 mai 2019 | Val-Revermont | 6 mai 2019 | Poissons | 6 mai 2019 | Plombières-les-Bains | 18 mai 2019 |
Vittel | 18 mai 2019 | La Corne en Vexin | 19 mai 2019 | Joinville | 19 mai 2019 | Charleville-Mézières | 22 mai 2019 |
Clermont (Oise) | 7 juillet 2019 | Creil | 7 juillet 2019 | Méru | 11 juillet 2019 | Sérifontaine | 11 juillet 2019 |
Gisors | 13 juillet 2019 | Ermenonville | 13 juillet 2019 | Dieppe | 16 juillet 2019 | Orthez | 17 juillet 2019 |
Gerberoy | 18 juillet 2019 | Pont-l'Évêque | 12 septembre 2019 | Harfleur | 14 septembre 2019 | Ponts sur Seulles | 16 octobre 2019 |
Crozant | 29 octobre 2019 | Boussac | 3 novembre 2019 | Les Hauts-de-Caux | 19 décembre 2019 | Terres-de-Caux | 19 décembre 2019 |
Petit-Caux | 1er janvier 2020 | Pluméliau-Bieuzy | 3 février 2020 | Port-Jérôme-sur-Seine | 8 mars 2020 | Soissons | 17 mai 2020 |
Monthermé | 18 mai 2020 | Revin | 19 mai 2020 | Givet | 20 mai 2020 | Aÿ-Champagne | 24 mai 2020 |
Épernay | 24 mai 2020 | Andlau | 16 novembre 2020 | Kaysersberg Vignoble | 21 février 2021 | Bon Repos sur Blavet | 13 mars 2021 |
Quessoy | 17 mars 2021 | [[]] | [[]] | [[]] | |||
[[]] | [[]] | [[]] | [[]] |
Tableau Stat
[modifier | modifier le code]DATES | Nombre de Pages | Nombre de jours | Taille réelle | Nombre de pages vues | Moyenne par jour |
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14 juillet 2023 | 435 | 2153 | 2 226 964 | 324 | |
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3 novembre 2023 | 461 | 2 261 | 112 339 | ||
25 juillet 2023 |
Brasseries de Saint-Quentin
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Ancienne cheminée du Naind'Alsace.
- Bière des Deux Cignognes
BRASSERIE ALSACIENNE DES DEUX CIGOGNES (1920-1970)
02100 SAINT QUENTIN Ex Grandes Brasseries Réunies Saint-Quentinoises Bières: Bière des deux Cigognes, Cigogne (export, pils, extra), Cigogne 51, Cristal, Grand Luxe, Grande Garde, bière de table et bière bock.
Cette publicité peinte sur la façade d’un ancien « Routier » rappelle une des grandes brasseries de Saint-Quentin. Elle se trouvait 251 rue de la Fère. Elle était née, après la Grande Guerre de la fusion de 10 brasseries et prit le nom de « Les Brasseries Saint-Quentinoises ». Elle avait son siège 84 rue Michelet (ancienne brasserie Vandenbroeck).
Elle produira vers 1930 « Les bières des 2 Cigognes » et en 1943 prendra l’appellation « Grandes Brasseries Alsaciennes des 2 Cigognes ».
Elle se développera jusqu’au début des années 60, mais après une reprise par la brasserie de « La Comète » fermera ses portes en 1970.
BRASSERIE POMME ROUGE
02100 SAINT QUENTIN Bières: Pomme Rouge, Bocdor, Grande Conserve, Bock, Bière de luxe.
Historique Vers 1848, Louis Mouturier fonde cette brasserie qu'il exploite probablement jusqu'au milieu des années 1870. Elle prend probablement dès lors l'appellation courante de Brasserie de la Pomme Rouge, du nom de la rue où elle se situe. Les bâtiments de production sont agrandis en 1867 et en 1869. La brasserie est acquise en 1876 par Julien Boucquey, auquel succède sa veuve en 1889, Rosalie Waëls, associée à ses fils Elie et Sylvain Boucquey, sous la raison sociale Vve Boucquey & fils. Les sociétés se succèdent entre 1896 et 1920 : Vve Boucquey & Fils & Jumez (époux Boucquey) en 1896, Boucquey & Savoye (Mme Waëls veuve Julien Boucquey et Mme Boucquey Vve Savoye) en 1906, la Brasserie et Malterie Coopérative de la Pomme Rouge (fondée par Omer Boucquey, industriel de La Madeleine-lez-Lille) en 1910 et dissoute en 1920. La brasserie est durement touchée durant la Première Guerre mondiale au cours de laquelle ses vastes caves sont reconverties en abris par l'armée allemande. En 1920, la brasserie, et les dommages de guerre qui lui sont associés, sont acquis par Henri Berlaimont et Georges Bourdon qui font reconstruire la partie des ateliers de fabrication détruits et le logement patronal. Remise en route en avril 1920, la brasserie cessera son activité au début des années 1960, après s'être associée quelques années à la Brasserie des Deux Cigognes, route de la Fère. Dans les années 1960, les anciens ateliers (aujourd'hui détruits) sont occupés par une entreprise spécialisée dans le commerce d'aliments pour les animaux (Société de Subsistances Nutritives Concentrées). Seuls subsistent actuellement le logement patronal et les anciens bureaux. La brasserie est équipée en 1858 de deux chaudières, d'une capacité totale de 58 hl. Les ateliers de production, aujourd'hui détruits, portaient la date de 1879 en façade. Elle ne semble pourtant pas correspondre à la construction de l'édifice proprement dit, mais peut-être plutôt au rééquipement de l'usine par Julien Boucquey, alors propriétaire de l'établissement depuis 3 ans. Dans les rôles des patentes, Julien Boucquey est imposé sur la basse de 101 hl en 1877, puis 185 hl en 1881. La brasserie est équipée de deux machines à vapeur de 10 et 25 ch. en 1914. En 1921, la brasserie produit 30 000 hl de bière, qu'elle vend dans un rayon de 25 Km autour de Saint-Quentin.
Afficher le détail de l'historique Description Le logement patronal, en briques partiellement enduites, se compose de caves, d'un rez-de-chaussée surmonté d'un étage carré et partiellement d'un étage de comble. Il est couvert de toits à longs pans en ardoise. La façade alignée sur la rue de Bagatelle porte l'inscription "BRASSERIE DE LA POMME ROUGE". Dans le prolongement du logement patronal s'élèvent les anciens bureaux, dotés d'un étage carré. Ils sont en brique enduite, couvert de toits à longs pans en ardoise artificielle.
- Brasserie La Populaire
BRASSERIE LA POPULAIRE (1900-1970)
02100 SAINT QUENTIN Devient GRANDE BRASSERIE DE HAUTE PICARDIE en 1959 Bières: Bière de Saint Quentin, Bock Stélio, Etoile d'Or, Populaire, Stella Pils, Stella Luxe.
Historique La Brasserie Coopérative La Populaire est fondée en 1910. Elle est implantée initialement rue Dachery, sur le site de la brasserie, rachetée quelques années plus tôt à la famille Diéval par Emile Capelle et fondée en 1885 par Honoré Lahaye et Jean Vatin. Emile Capelle devient le premier administrateur de la coopérative. En 1925, une nouvelle usine est édifiée rue Jacquard : les ateliers de la rue Dachery, pourtant rééquipés après les destructions de la Première Guerre mondiale, ne pouvaient probablement plus suffire aux volontés d'expansion de l'entreprise. Repris dans les années 1950 par la société anonyme Brasserie La Comète, l'établissement ferme ses portes avant 1967. Les locaux sont alors transformés en garage de réparation automobile, mutation au cours de laquelle les ateliers de fabrication sont en partie modifiés, tandis qu'une partie des caves de garde est détruite pour laisser place à un vaste atelier de montage de pneus (1968). En 1949, la brasserie est dotée de deux cuves de 175 hl chacun, de deux générateurs de vapeur, de cinq caves et salles de garde. Elle est alimenté en eau par un puits artésien profond de 93 mètres. La capacité de production annuelle est alors de 150 000 d°hl. La brasserie emploie 50 personnes en 1949 (contre seulement 14 dans les anciens locaux de la rue Dachery en 1914), et 57 en 1960.
Afficher le détail de l'historique Fiche Brasserie Adresse: Brasserie La populaire - 78 Rue Jacquart - Saint Quentin 02
Création: environ 1900 Activité: cessation vers 1970 Bieres brassées: Biere de Saint Quentin, Bock Stelio, Etoile d'Or, Populaire, Steliopils, Stella Lux, Stellapils Histoire de la Brasserie : voir ce document tres complet fait par Cedric Clement au format pdf.
BRASSERIE DU NAIN D'ALSACE (1896-1979)
33-33 rue Quentin Barré 02100 SAINT QUENTIN Elle s'est appelée Brasserie ALLIANCE de 1896 à 1955 Bières: Nain d'Alsace (pils, stout), Deux Nains, Dame Blanche, Dwarf Export Beer, Bitter Excellence, Tabou (pils, negro, super), Pastel, Zwergen pils, Swerg, Swerg Brau, Swergen Export, Nain (super, export), Trois Nains, Troïka, Armbrust Spezial Pils.
Historique En avril 1896, Ernest Tailliez, brasseur à Saint-Quentin, fonde la société anonyme de la Grande Brasserie Coopérative de Saint-Quentin. En 1898 il fait construire un nouvel établissement industriel, entraînant la fermeture du site initial implanté à l'angle des rues Charlevoix et de Lignières. Suivent la construction de caves, chais et magasins en 1900, d'une malterie en 1904, l'agrandissement de la salle des générateurs en 1910, puis celui de la salle de brassage et le renouvellement de ses équipements en 1913. Durant la Première Guerre mondiale, les outils de production sont soit enlevés, soit détruits. L'usine est remise en marche dès février 1921.
Au début des années 1950, la brasserie prend l'appellation Brasserie du Nain d'Alsace, dont la devise est "Ma force est dans la qualité". Parallèlement à la bière, elle produit aussi des boissons non alcoolisées telles que des sirops et des sodas. Dirigée par Joseph et Louis Armbrust dans les années 1960, la brasserie est l'une des deux dernières de Saint-Quentin, aux côtés de la Brasserie Alsacienne des Deux Cigognes. Spécialisée dans la fabrication de bières fines conditionnées en petites bouteilles, la production atteint 60 000 hl par an en 1960, et 100 000 hl dans les années 1970. L'établissement, dernière brasserie saint-quentinoise, ferme ses portes définitivement en novembre 1979. L'usine, en friche, est détruite en 1992 pour laisser place à un ensemble de logements HLM. Seuls subsistent les anciens bureaux, reconvertis en logements étudiants et la cheminée d'usine se dressant au centre de la cour formée par les immeubles.
L'usine est dotée en 1910 d'une machine à vapeur de 60 ch. ; cette dernière est remplacée en 1911 par une machine à vapeur Moret (constructeur à Saint-Quentin) de 70 à 80 ch., secondée par une machine de secours Van Hoegarden (Blanc Misseron) de 20 ch. La capacité des cuves de la brasserie est de 152 hl en 1901. Le matériel de la brasserie est renouvelé à 80 % en 1957. Elle est imposée pour environ 100 000 degrés hl en 1907, 180 000 degrés hl en 1961, 198 000 degrés hl en 1967.
La brasserie emploie 33 personnes en 1914, environ 45 salariés dans les années 1960, et 47 salariés en 1977.
Nom de plus de 7 mots
[modifier | modifier le code]Saint-Martin-Lars-en-Sainte-Hermine
Saint-Remy-en-Bouzemont-Saint-Genest-et-Isson
Saint-Etienne-du-Gué-de-l'Isle
Beaujeu-Saint-Vallier-Pierrejux-et-Quitteur
Le bâtiment des anciens bureaux se compose d'un rez-de-chaussée, d'un étage carré et d'un étage de comble. Il est construit en brique et couvert d'un toit à longs pans en ardoise. Sa façade est ordonnancée. Les baies de la façade antérieure sont à meneaux et linteaux droits en pierre de taille. Le chambranle du tiers supérieur de ces baies est en pierre de taille, avec une mouluration qui se prolonge entre les baies au niveau des impostes, et qui est répétée au niveau des appuis de fenêtre. Les baies de la façade postérieure et des pignons sont couvertes d'arcs segmentaires, où alternent pierre de taille et brique. L'entrée des bureaux est implantée dans un angle de l'édifice traité en pan coupé uniquement au niveau du rez-de-chaussée. Elle est encadrée de lourds pilastres et consoles portant une pierre de taille en surplomb, où l'on distingue encore l'inscription BUREAU. Le bâtiment est couvert d'une corniche avec modillons à volute en pierre de taille. Les pignons se prolongent au-dessus du faîtage sous la forme d'un petit pignon carré, portant une table d'attente en pierre de taille. La cheminée d'usine, circulaire, en brique, a été abaissée. Elle porte à son extrêmité une sculpture.
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- https://www.carto1418.fr/target/19141023.html
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k931469j/f106.image.r=Berzy%20le%20Sec?rk=536483;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64470258/f267.image.r=Berzy%20le%20Sec?rk=236052;4
- 'Carnets de secrets de la grande guerre' Maéchel Fayolle, 1964, p. 127
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 28 octobre 1920, p. 16685.
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57889096/f286.image.r=Pontoise-les-noyon?rk=85837
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k130929s/f235.image.r=pontoise-l%C3%A8s-Noyon?rk=128756;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k130929s/f1.item.r=pontoise-l%C3%A8s-Noyon
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k130929s/f272.item.r=pontoise-l%C3%A8s-Noyon.zoom
- Le Magasin pittoresque (1875), t. 43, p. 14.
- NEGRE (E.) Toponymie de France. (1990), t. 1, p. 363.
- DAUZAT (Albert) et ROSTAING (Charles), Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse 1968. Librairie Guénégaud 1978.
- COCHERIS (Hyppolyte), Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57889096.r=morlincourt?rk=450646;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4864570/f107.image.r=Varesnes
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65571395/f13.image.r=br%C3%A9tigny-oise?rk=128756;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k408371q/f413.image.r=br%C3%A9tigny-oise
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6399538c/f34.image.r=quesmy?rk=128756;0
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k130929s/f234.image.r=quesmy?rk=1824043;2
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k130929s/f232.image.r=quesmy
- https://www.carto1418.fr/target/19140903.html
- https://www.carto1418.fr/target/19170315.html
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6507193k/f9.image.r=lassigny
- « Carte des positions 16 mars 2017 », sur www.carto1418.fr.
- L'Echo d'Alger : journal républicain du matin, 2 avril 1917 sur Gallica.