Guerre Israël - Hamas : retrouvez tous nos contenus

Arrivé dimanche en Israël, le chef de la diplomatie américaine s'est entretenu avec le Premier ministre Benyamin Netanyahou.

Alors que le président américain, Joe Biden, a déclaré qu'un accord de cessez-le-feu n'avait "jamais été aussi proche", un haut responsable du Hamas a démenti cette affirmation.

En nommant à sa tête la figure la plus extrémiste du mouvement, le Hamas, qui n'a pas participé aux négociations pour une trêve à Doha, signifie qu’il est prêt à aller jusqu’au bout dans cette guerre.

Les efforts diplomatiques s’intensifient pour obtenir une trêve à Gaza et éviter une guerre à grande échelle au Moyen-Orient.

Les négociations sont toujours en cours à Doha, alors que le nombre de morts à Gaza vient de dépasser la barre symbolique de 40 000 personnes.

Joe Biden a estimé mardi qu’un cessez-le-feu dans la bande de Gaza pourrait permettre d’éviter une attaque iranienne contre Israël, à l’heure où la communauté internationale redouble de pressions pour éviter un conflit généralisé au Moyen-Orient.

Plus de 2 000 juifs, menés par le ministre israélien d’extrême droite Itamar Ben Gvir, ont prié et hissé le drapeau israélien sur l’esplanade des Mosquées, au cœur de toutes les tensions à Jérusalem-Est.

Alors que Tsahal opère toujours dans la bande de Gaza, Israël a accepté de reprendre les négociations. Mais l’initiative rebute certains membres du gouvernement dont le ministre des Finances, Bezalel Smotrich.

La semaine dernière, le président américain Joe Biden et les dirigeants du Qatar et de l’Egypte ont déclaré que les médiateurs plaidaient pour la reprise urgente des négociations sur les otages détenus par le Hamas.

Une frappe israélienne sur une école de la bande de Gaza aurait tué au moins 93 personnes, ce samedi 10 août, selon le Hamas. Encore invérifié, ce bilan est l’un des plus meurtriers depuis le début du conflit.

Le président français a apporté son "plein soutien aux médiateurs américains, égyptiens et qatariens", alors qu'Israël s’est déclaré en faveur d’une reprise des discussions le 15 août en vue d’une trêve à Gaza.

Israël va renvoyer les diplomates norvégiens auprès de l’Autorité palestinienne. Une mesure qui intervient notamment en représailles de la décision norvégienne de reconnaître l’Etat de Palestine.

Le chef de l’armée israélienne, Herzi Halevi, a promis de "retrouver" le nouveau chef du Hamas, Yahya Sinouar, et de l’éliminer.

Yahya Sinouar a été désigné mardi 6 août comme le nouveau chef politique du Hamas, après l’assassinat d’Ismaël Haniyeh. Il était déjà chef depuis 2017 du mouvement islamiste palestinien à Gaza.

Face aux menaces d’une riposte iranienne contre Tel-Aviv, Washington a réaffirmé son soutien à l’Etat hébreu : "Notre engagement à l’égard d’Israël est inébranlable", a martelé le chef de la diplomatie américaine.

Israël et l’Iran sont prêts à se battre jusqu’au dernier Palestinien, jusqu’au dernier Syrien et jusqu’au dernier Libanais, estime Fouad Khoury-Helou, directeur exécutif du quotidien libanais "L’Orient-Le Jour".

Neuf employés de l'UNRWA vont être licenciés pour leur possible implication dans les attaques du 7 octobre contre Israël.

"Personne n'a intérêt à une escalade", a insisté le président français, appelant "tous les acteurs à la responsabilité et à la retenue pour éviter un embrasement régional".

"Ils ont appelé toutes les parties à sortir de la logique de représailles, à exercer la plus grande retenue et la plus grande responsabilité afin de garantir la sécurité des populations", selon l'Elysée.

Après la mort du numéro un du Hamas, Ismaïl Haniyeh, dans une frappe imputée aux Israéliens mercredi 30 juillet, des questions quant à sa succession émergent.

Le mouvement libanais, désormais, "ne limitera pas sa réponse aux cibles militaires", a déclaré la représentation de l’Iran auprès des Nations Unies.

Après l’assassinat du chef du Hamas à Téhéran, l’Iran a promis une vengeance "sévère" contre Israël. Craignant une escalade dans la région, certains pays ont demandé à leurs ressortissants de quitter la zone.

La dépouille d’Ismaïl Haniyeh, tué mercredi à Téhéran dans une frappe imputée à Israël, est arrivée au Qatar, où le chef politique du mouvement palestinien, qui vivait en exil dans ce pays du Golfe, doit être enterré vendredi.

Selon le New York Times, le chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh, a été tué par une bombe cachée depuis deux mois dans le complexe où il séjournait à Téhéran.

L’ayatollah Khamenei a promis un "châtiment sévère" à Israël après la mort du chef du Hamas à Téhéran, Ismaïl Haniyeh. Cette riposte pourrait provenir du régime de Téhéran, mais aussi du Hamas ou du Hezbollah.

Une frappe de représailles israélienne a tué, mardi, le chef militaire du Hezbollah libanais, Fouad Chokr, près de Beyrouth.

Israël s’est lancé dans un cycle de vengeance contre les leaders du Hamas, cinq décennies après son opération "Colère de dieu". Après la mort d’Ismaïl Haniyeh mercredi, c'est celle du chef militaire de l'organisation terroriste qui a été confirmée ce jeudi.

Si la disparition du chef de son bureau politique constitue une grosse perte pour le Hamas, l’organisation terroriste lui survivra, pointe le chercheur David Rigoulet-Roze.

Après un tir de roquette meurtrier, attribué au Hezbollah libanais, dans un village sur le plateau du Golan annexé, Israël a riposté mardi soir par une frappe près de Beyrouth. De quoi faire craindre l'embrasement des deux côtés de la frontière.

Ismaïl Haniyeh s'était rendu à Téhéran pour assister mardi 30 juillet à la prestation de serment du nouveau président iranien Massoud Pezeshkian devant le Parlement.