Couverture fascicule

Jean-Michel Mouton (dir.), Sadr, une forteresse de Saladin au Sinaï. Histoire et archéologie, 2010

[compte-rendu]

Année 2011 169-4 pp. 359-360
doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 359

Jean-Michel MOutON (dir.), Sadr, une forteresse de Saladin au Sinaï. Histoire et arch éo lo g ie , paris, académie des Inscriptions et Belles-lettres, 2010, 29,7 cm : vol. 1. textes, 392 p. ; vol. 2. Illustrations (455 fig. et ill. en n. et bl. et en coul, cartes, plans, tableaux, schémas). -eaN : 9782877542555, 120 €.

(Mémoires de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, t. 43) Le site de Sadr, aujourd’hui Qal’at alĞindī, était jusqu’à ces dernières années un monument empreint d’une certaine aura de mystère pour la majorité des archéologues et des historiens du Moyen Âge proche-oriental. Découvert seulement au début du xxe siècle, son identification formelle ne fut acquise que dans les années 1920 ; l’archéologue Jules Barthoux en dressa un plan exceptionnellement fiable dès avant la Première Guerre mondiale, mais c’est tout récemment, entre 2001 et 2005, qu’il a été véritablement mis au jour scientifiquement, grâce à une mission archéologique dirigée par Jean-Michel Mouton, soutenue par l’institut français d’archéologie orientale du Caire et le Laboratoire d’archéologie de l’université de Picardie, avec la participation du professeur Philippe Racinet. Cette aura de mystère, Sadr la devait pour une bonne part au fait qu’il s’agissait d’une Bibliographie

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw