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68 – Astérix

9,90 

ASTÉRIX ET REPORTERS SANS FRONTIÈRES, UN IDÉAL DE RÉSISTANCE PARTAGÉ

Alors que paraît Asté­rix et le Grif­fon, le 68e album de Repor­ters sans fron­tières rend hom­mage à un monu­ment de la bande des­si­née. C’est le deuxième de la col­lec­tion consa­cré entiè­re­ment au 9e art.

Irré­duc­tibles, Asté­rix et RSF ? Avec le sou­tien des Edi­tions Albert René, et l’engagement à nos côtés d’Anne Gos­cin­ny, Ada Uder­zo et Syl­vie Uder­zo, Repor­ters sans fron­tières a choi­si la série la plus emblé­ma­tique de la bande des­si­née fran­co-belge pour por­ter ses valeurs. Car Asté­rix est à lui seul un véri­table petit vade­me­cum de résis­tance : les Gau­lois les plus célèbres du monde nous engagent depuis plus de soixante ans à dire non à toutes les oppres­sions, sans jamais renon­cer à notre joie de vivre. Une vision que Repor­ters sans fron­tières par­tage avec Asté­rix, sa bande et tous ses lecteurs.

Le point de départ de cette pos­ture de « joyeux résis­tant », c’est cer­tai­ne­ment la réécri­ture par les deux auteurs d’un jalon impor­tant de notre his­toire : la défaite d’Alésia. Et si l’histoire apprise sur les bancs de l’école n’était pas exac­te­ment celle-là ? Et si Ver­cin­gé­to­rix n’avait pas dépo­sé ses armes aux, mais bien sur les pieds de César, par ailleurs bien inca­pable de sou­mettre un cer­tain petit village ?

Résis­ter comme un Gau­lois, c’est quoi ? C’est incar­ner David contre Goliath, une situa­tion fami­lière à RSF. C’est aus­si manier l’autodérision, qui auto­rise la fraternité.

Le port­fo­lio est éclai­ré par des textes inédits : une lim­pide ana­lyse du vil­lage gau­lois par l’historien Bru­no Fuli­gni ; les rai­sons du suc­cès des aven­tures d’Astérix à l’étranger par Céleste Surugue, direc­teur des Edi­tions Albert René ; des mor­ceaux de choix sur l’alimentation de nos héros, par le bou­cher Yves-Marie Le Bour­don­nec ; la double uto­pie cultu­relle et poli­tique de l’oeuvre, décor­ti­quée par le cher­cheur Nico­las Rou­vière ; et un clin d’oeil au Papy­rus de César par Thi­baut Brut­tin, de Repor­ters sans frontières.

 

ZAINA ERHAIM, « JE SUIS CHARLIE À L’EST D’ALEP »

La jour­na­liste et acti­viste syrienne Zai­na Erhaim, ori­gi­naire d’Idlib, se bat depuis quinze ans pour les droits humains et l’égalité des sexes dans son pays. En jan­vier 2015, alors que les atten­tats contre Char­lie Heb­do endeuillaient Paris, Zai­na rési­dait à Alep-Est, où elle était retour­née vivre pour docu­men­ter la guerre civile. Ayant pris publi­que­ment par­ti pour l’hebdomadaire et ses jour­na­listes, elle a alors subi une véri­table chasse aux sor­cières. La lau­réate en 2015 du prix Peter Mac­k­ler, qui récom­pense un jour­na­lisme éthique et cou­ra­geux, et en 2020 du prix RSF pour la liber­té de la presse, nous raconte com­ment elle a échap­pé au piège qui se refer­mait sur elle.

Un pos­ter de la cou­ver­ture offert !

Toutes les images : ASTERIX® OBELIX® IDEFIX® © 2021 LES EDITIONS ALBERT RENE / GOSCINNY-UDERZO